Skip to content

affaire dunand auxerre

affaire dunand auxerre. Dans les années 1980, un réseau sadomasochiste a été découvert dans le pavillon qu’il partageait avec sa femme. Claude Dunand attrape et enlève des jeunes femmes. Pour des frais exorbitants, ce dernier invite ses clients à torturer ses victimes dans son repaire souterrain. En 1983, l’une des victimes a pu s’enfuir. Huguette a couru vers la police et a décrit les atrocités dont elle avait été témoin, y compris des brûlures de cigarettes, des brûlures aux torches, des viols et d’autres formes de torture.

affaire dunand auxerre
affaire dunand auxerre

La jeune femme s’est libérée un jour à l’aide de photographies et de carnets d’adresses volés. Documentation conservée par les clients, qui disparaît mystérieusement de l’arène. Un médecin qui soignait la jeune victime à domicile a informé Ren Meyer, le procureur local.

En 1991, Claude et Monique Dunand ont été reconnus coupables de commerce, de proxénétisme, de sadomasochisme et d’actes de barbarie impliquant des filles DASS et condamnés à de longues peines de prison. Il a été condamné à la prison à vie sans possibilité de libération conditionnelle. Dans dix ans, Claude Dunand bénéficiera d’une certaine liberté. La cour d’assises de l’Yonne a condamné son épouse Monique à cinq ans de prison. Le procès a révélé qu’un client a finalement été condamné à six mois de prison. Personne n’a jamais été tenu responsable de ce que les autres ont fait. Claude Dunand était très discret sur l’identité de ses clients.

Vingt ans plus tard, trois jours s’écoulent entre le moment où le procureur est averti et le moment où la police intervient au pavillon d’Appoigny pour libérer Michaela, malgré le récit d’Huguette, étayé par les carnets et photos qu’elle a pris lors de son évasion et qu’elle remet à la police.

affaire dunand auxerre
affaire dunand auxerre

error: Content is protected !!