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Affaire marinescu

Affaire marinescu; La justice, 28 ans après le double meurtre de Michèle Marinescu, 43 ans, et de sa fille Christine, 13 ans, an annoncé ce mercredi 16 juin, l’interpellation du père de famille (époux d’une victime, père de l’ autre). Double meurtre résolu 28 ans après : commenter l’ADN élucide les “cold cases”. Une deuxième explication d’un “cold case” à une période de temps inférieure à un an. Suite aux événements du scandale des Marinescu, les détectives de la section de recherche de la gendarmerie de Grenoble n’ont résolu que récemment l’énigme de la disparition de Marie-Thérèse Bonfanti.

https://en.wikipedia.org/wiki/Marinescu

Affaire marinescu
Affaire marinescu

Le procureur de la République, Eric Vaillant, a déclaré jeudi après-midi en conférence de presse qu’un homme de 56 ans avait été mis en examen pour “enlèvement, séquestration et meurtre” dans les événements d’il y a 36 ans. Dans un communiqué publié dimanche, il a confirmé les informations de RTL et du Dauphiné Libéré selon lesquelles le suspect aurait passé aux aveux. la possibilité de faire un état des lieux des éléments de l’affaire qui ont été rendus publics jeudi.

Qui était Marie Thérèse Bonfanti et quelle a été son histoire ?

La victime, alors âgée de 25 ans, était mariée et mère de deux enfants, dont le plus jeune n’avait que six mois. Elle est arrivée au 1140 avenue de la gare à Pontcharra le 22 mai 1986, après y avoir conduit. Là, elle est obligée de livrer les journaux à un tiers, qui est ensuite en charge de la distribution des journaux dans la communauté. Une maison qui se trouvait autrefois à l’emplacement prévu mais qui a depuis été démolie comprenait six appartements loués à différentes personnes. Le propriétaire du logement locatif habitait une autre habitation liée à cette structure.

A 3h30 de l’après-midi, un voisin la repère debout à côté de son véhicule en tenant un paquet de journaux dans ses mains. Après cela, elle se dirige vers l’entrée des locataires. “C’est la dernière fois qu’on la verra vivante”, assure Boris Duffau, procureur adjoint. Son mari, inquiet de ne pas l’avoir vue rentrer à la maison dans la soirée, contacte les autorités pour signaler qu’elle a disparu.

Quels sont les principaux aspects de l’enquête qui doivent être abordés en premier ?
Le lendemain soir, les troupes ont repéré l’automobile de la victime à proximité de la résidence. Son sac à main est situé sur le siège avant et les clés de la voiture sont situées sur le tableau de bord. Pendant les 10 prochains jours, les détectives exploreront les environs pour tenter de la localiser. En vain. Ils ont trois personnes dans leur ligne de mire, à commencer par le conjoint.

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Cependant, en raison de son emploi du temps chargé, il est excusé assez rapidement. Il est également possible que le suspect soit le receveur des journaux. A la suite de la vérification qui a été effectuée, il est disculpé de toute faute puisque le 22 mai 1986, il était présent à la maternité de Chambéry alors que sa femme accouchait. Yves C, un jeune de 21 ans et propriétaire des logements locatifs, est le seul à rester. La personne qui habite la maison d’à côté, c’est lui.

Marian Marinescu a été placée en détention provisoire après l’assassinat de sa femme Michèle et le meurtre de sa fille Christine, survenus le 7 janvier 1993, à Sassenage, selon le procureur Éric Vaillant de la République française de Grenoble, qui a annoncé la retenue.

28 ans après la détention des faits, Marian Marinescu a été placée en détention provisoire pour l’assassinat de sa femme Michèle et pour le meurtre entraîné ou accompagné du viol de sa fille Christine.

Le 7 janvier 1993, en début de soirée, les corps sans vie de Michèle Marinescu, 43 ans, et de la fille Christine, 13 ans, sont découverts par les gendarmes dans leur habitation de Sassenage. Ces derniers avaient été prévenus par l’employeur de la mère de famille, elle-même membre du réseau d’affaires électroniques du père de famille, et s’étaient étonnés qu’elle ne se soit pas présentée au travail ce jour-là.

Les deux victimes ont été retrouvées par les gendarmes dans leur chambre respective, toutes deux égorgées. Marian Marinescu, le mari, 45 ans au moment des faits, aujourd’hui agé de 72 ans, était censé se trouver à la même période en Roumanie pour les fêtes de fin d’année, en compagnie du fils du couple, alors agé de 8 ans. En dépit d’un travail acharné des enquêteurs et du magistrat instructeur de l’époque, les différentes hypothèses travaillées n’avaient pas permis d’aboutir à la résolution des faits.

Il a fallu attendre 28 ans et la succession de cinq juges

D’instruction en charge du dossier pour élucider les faits. “Fin 2018, le concours d’un conseiller FORENSIC de l’Institut de Recherches Criminelles de la Gendarmerie Nationale (IRCGN) à Pontoise et de l’analyste criminel du groupement de gendarmerie de l’Isère” a mené à de nouvelles pistes,” grâce aux progrès de la science” a précisé Éric Vaillant.

17h28 : Me Hervé Gerbi, avocat de la soeur de Michèle Marinescu et de son mari, parties civiles dans le dossier: “L’hypothèse que se présente à nous aujourd’hui is la pire de toutes” pour la familia.

17h20: Le procureur précise que if le suspect s’est bien rendu en Roumanie before et après les faits, il n’est pas impossible qu’il ait pu revenir en Isère au time du double meurtre à Sassenage.

“S’il n’y a, a ce stade, pas d’aveux de la part du suspect, il n’y a pas non plus de dénégations”, déclare le procureur de Grenoble Éric Vaillant.

17h15: C’est le groupe “Cold case” de la division de recherches de la gendarmerie se l’Isère qui a fait évoluer l’enquête débutée il y a 28 ans.

The point presses begin at 17:08 UTC. According to the prosecutor, the man who was interrogated is now 72 years old and is the husband and father of the victims.

Marian Marinescu a été déféré ce mercredi 16 juin and put en examen for “assassinat” & “meurtre précédé ou accompagné de viol”. Il a été placé en détention provisoire. Il aurait indiqué “que dans l’hypothèse où il serait l’auteur des faits, il n’en an aucun souvenir.”

Des traces de sperme du suspect auraient été retrouvées sur le pantalon de la fille.

Michèle Marinescu, 43, and her 13-year-old daughter Christine were killed in their Sassenage home on January 7, 1993, according to the Prosecutor of the Republic of Grenoble, Éric Vaillant, who announced the discovery of their bodies at the start of the afternoon session on Wednesday.

Vingt-huit ans après les faits, la gendarmerie an interpellé Marian Marinescu, le mari de Michèle et père de la petite Christine. Selon les informations du Dauphiné Libéré, c’est l’exploitation de traces ADN et les progrès récents de la science qui ont permis de soupconner Marian Marinescu.

Le procureur de la République va prendre la parole lors d’une conférence de presse organisée au palais de justice de Grenoble.


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