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Alfred Petit Père

Alfred Petit Père; Criminel français dit « Conan le barbare », Alfred Petit est né le 16 juillet 1965 à Mont-Saint-Aignan (Seine-Maritime), et décédé le 17 février 2009 à la prison du Bois-d’ Arcy (Yvelines). 1 Pendant sa libération conditionnelle de l’établissement où il purgeait une peine pour vol à main armée, tentative de meurtre et tentative d’enlèvement, il a été responsable du meurtre de deux personnes.

Alfred Petit Père
Alfred Petit Père

Le prénom d’Alfred Petit Jr. est le même que celui de son père. Ce dernier individu, né le 26 mars 1939 à Mésangueville et décédé le 15 janvier 2004 à Franqueville-Saint-Pierre 1, a fait un apprentissage de boucher durant ses jeunes années avant de devenir agent des Sociétés républicaines de sécurité ( CRS) 2. Sa mère, également nommée Victoria, donne naissance à une fille qui porte également le même nom.

Les témoignages sur les membres de la famille

Petit sont rares car ils vivent reclus et sont soumis à la domination du père, véritable tyran domestique, chargé d’établir un cadre familial instable et dysfonctionnel. Le jeune homme mène une existence solitaire, sans liens sociaux ou amicaux, et dépend affectivement de sa mère, qu’il adore, ainsi que de son père, qu’il craint. 3

Un mélange de peur et de haine pour son père, qui a fait une brillante carrière dans les CRS 2, peut expliquer pourquoi Alfred Petit a toujours eu la phobie de l’uniforme. Cette répulsion pourrait s’expliquer par le fait que son père portait l’uniforme. Le patriarche de la famille est un individu vicieux craint par les habitants de Franqueville-Saint-Pierre. Il tyrannise son fils, le bat parfois, lui interdit d’inviter des amis à la maison, et contrôle même ses moindres faits et gestes, comme le temps qu’il passe sous la douche ou la façon dont il utilise les toilettes 2.

Même les médailles qu’il remporte aux compétitions de judo et qu’il rapporte à la maison sont évoquées dans des conversations désobligeantes. 3. Des conspirations semblaient se former tout autour du garçon depuis qu’il était un jeune enfant, et son père lui rappelait souvent que la profession de son père en tant qu’agent des forces de l’ordre mettait la famille en danger. 2 .

Alfred Petit impressionne ceux qui ont affaire à lui, qu’ils soient policiers, avocats ou autres types de spécialistes. Il mesure 1,80 mètre de haut, a une carrure large et est taillé dans la masse. Son visage sauvage est encadré de longs cheveux. En raison de sa carrure massive et du comportement violent qui y était associé, il est devenu connu sous le nom de “Conan le barbare”.

Alfred Petit, alors en service militaire et en poste à la base aérienne de Mérignac en 1984, a pointé du doigt une recrue venue le relever de sa fonction de gardien. Le conseil de discipline a décidé qu’il doit effectuer dix jours de service militaire supplémentaire 2 en plus des vingt jours d’arrêt qu’il doit effectuer.

L’homme a été condamné à quinze ans de prison en 1986, alors qu’il n’avait que 21 ans, pour la tentative de meurtre d’un des trois policiers qui vérifiaient son véhicule à Saint-Étienne-du-Rouvray, dont le fait que le le coffre était rempli d’armes à feu et d’une tenue pour organiser un cambriolage. Les agents avaient vérifié le véhicule de l’homme car le coffre était rempli d’armes à feu et d’une tenue pour organiser un cambriolage.

Conséquence directe de cela, les autorités ont arrêté puis condamné un homme qui travaillait comme agent de sécurité et était le rejeton d’un de leurs collègues officiers, Alfred Petit père, qu’elles méprisent également avec véhémence 3.

Lors d’un transfert de la prison de Caen, où il purge sa peine, vers un hôpital où il doit être opéré le 23 novembre 1990, il s’empare de l’arme d’un policier puis s’enfuit dans un taxi, dont il prend en otage le chauffeur. Il devait être opéré ce jour-là. À la suite de ces événements, Petit est traduit devant la cour d’assises du Calvados 2 et condamné à dix ans de prison.

Alfred Petit a vu sa peine réduite à plusieurs reprises

Le juge de l’application des peines alors qu’il purgeait une peine de prison. Ceci est fait afin de faciliter la réinsertion de l’ex-détenu dans la société et de restaurer les liens sociaux de l’homme ; cependant, l’homme n’est pas autorisé à rendre visite à ses parents car on pense que son père interférera avec le processus de réintégration. le 12 avril 2001, il bénéficie pour la troisième fois d’une autorisation d’absence du centre de rétention de Val-de-Reuil (Eure) ; la durée du congé a été fixée à trois jours et le détenu a dû rester dans un foyer pendant cette période.

Cependant, il n’y a laissé que ses affaires, et malgré l’interdiction de la justice, il s’est installé chez ses parents. Il ne s’est pas présenté au centre pénitencier le 15 avril, alors que son congé devait prendre fin. A partir de ce moment, un mandat d’arrêt a été émis contre sa personne ; cependant, aucune poursuite n’a été intentée contre lui car il n’y a pas eu de véritable suivi judiciaire de l’individu pendant sa période d’essai 4.

Le père n’étant plus sur la photo, se taire n’est peut-être plus la réponse appropriée, espère l’un des avocats représentant les parties civiles. En tout état de cause, vendredi, le parquet de Rouen a rendu une ordonnance d’ouverture d’enquête sur les circonstances de la mort d’Alfred Petit. L’enquête sur le non-lieu du procès d’Alfred Petit fils, ouverte le 13 décembre dans le but de recueillir des informations complémentaires, est toujours en cours.

On se souviendra qu’au cours de ce procès, un témoin de dernière minute a mis en cause Alfred Petit Père en affirmant l’avoir vu le matin du 18 mai 2001 près du lieu probable du crime. On s’en souviendra car ce sera quelque chose dont on se souviendra longtemps.

Ce témoignage accréditerait la thèse selon laquelle Petit Père serait venu au secours de son fils dans la nuit du 17 au 18 mai, après que celui-ci eut tiré sur les Roussel alors qu’ils se trouvaient dans leur grange, tuant Jean-Jacques Roussel mais ne blessant que Danielle Roussel. . Cette théorie est étayée par le fait que Petit Père est venu aider son fils.

Le corps sans tête de cet individu sera découvert dans la Seine quatre jours plus tard, ainsi que les membres sectionnés et d’autres parties du corps. Le travail semble avoir été effectué par un découpeur de viande expérimenté, comme l’ont déclaré les spécialistes. Un ancien policier et boucher n’est pas une profession que le fils de Petit exerce actuellement, mais son père l’a fait dans le passé. Personne n’a pu comprendre le raisonnement derrière ces actes odieux.

Alfred Petit Père
Alfred Petit Père

La course dans laquelle se lance Alfred Petit dure plus d’un mois et comprend de fréquentes interactions avec ses parents sous forme de visites et d’appels téléphoniques. Bien que l’homme ait un lourd passé criminel, il n’est pas considéré comme une menace et la brigade de gendarmerie ne se rend au domicile des parents du détenu que trois semaines après la disparition du détenu.


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