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Chrysoula zacharopoulou famille

Chrysoula zacharopoulou famille; Chrysoula Zacharopoulou a une formation professionnelle en médecine. Elle est née à Sparte (Grèce) en 1976 et conserve la double nationalité française et grecque. Elle est diplômée de l’Université Sapienza de Rome et titulaire d’un doctorat en endométriose. Ses recherches portent sur la condition. C’est en 2007 qu’elle arrive pour la première fois en France, où elle débute sa carrière de chirurgienne gynécologue à l’hôpital militaire de Bégin.

Chrysoula zacharopoulou famille
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En amont du sommet Union européenne-Union africaine à Bruxelles

Elle a été choisie comme rapporteur pour la rédaction de la nouvelle stratégie UE-Afrique par le Parlement européen. Elle a mené de vastes consultations dans plusieurs pays africains afin de produire des recommandations concrètes pour construire un partenariat durable et inclusif entre les deux continents. Le sommet aura lieu en Belgique.

Elle était membre du Parlement européen et médecin, et elle s’est efforcée de faire en sorte que la réaction mondiale au COVID-19 soit inclusive. Elle a été élue au poste de coprésidente du COVAX Facility Shareholders Council en avril 2021. Ce conseil est composé de 65 pays et œuvre pour promouvoir un accès équitable aux vaccins ainsi que l’accélération des campagnes de vaccination dans les pays moins développés.

Afin de défendre les droits sexuels et reproductifs des femmes et des filles, elle a co-fondé l’association « Info-Endométriose » avec la comédienne Julie Gayet. Sa mission est de protéger la santé sexuelle et reproductive des femmes et des filles. En 2016, elle a initié la toute première campagne nationale de sensibilisation à cette maladie obscure, qui s’adressait aux membres de la communauté médicale ainsi qu’au grand public.

Une enquête a été ouverte à la suite du dépôt de deux plaintes pour viol contre Chrysoula Zacharopoulou, la secrétaire d’État au développement. Chrysoula Zacharopoulou est accusée d’avoir commis des viols sur des patientes alors qu’elle exerçait la profession de gynécologue, et les patientes ont porté plainte pour viol contre elle.

Selon le parquet de Paris, qui en a fait l’annonce mercredi, la première plainte a été déposée le 25 mai et l’enquête a débuté le 27 mai, deux jours avant une deuxième plainte en date du 16 juin pour des faits de même nature. Les deux plaintes alléguaient qu’un viol avait eu lieu.

Selon la publication Marianne, les actions qui sont portées contre Mme Zacharopoulou sont décrites comme ayant eu lieu dans le cadre de son travail de gynécologue et de sa prise en charge de la femme adulte qui a déposé la deuxième plainte.

L’enquête sur l’infraction pénale commise contre la personne a été confiée à la Brigade de répression de la criminalité (BRDP).

Jade (prénom modifié), aujourd’hui âgée de 26 ans et résidant en région parisienne, a révélé mercredi à l’AFP avoir consulté Mme Zacharopoulou pour des problèmes d’endométriose. Mme Zacharopoulou est une gynécologue franco-grecque de 46 ans. créé comme son domaine d’expertise.

Le rendez-vous, pris avec Mme Zacharopoulou en raison de sa notoriété et surtout parce qu’elle est une femme, a eu lieu fin 2016 en présence d’un interne en médecine.

Chrysoula zacharopoulou famille
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Jade prétend que le gynécologue “a forcé son interne à m’examiner” afin de diagnostiquer son état. Dès que les pieds du patient ont été fixés dans les étriers, le médecin a commencé la procédure “senti que je n’étais en aucune façon à l’aise, et il n’était en aucune façon à l’aise non plus; mon corps était fermé et bloqué, et il l’a senti,” elle a expliqué.

Puis ce fut à son tour de parler

Elle m’a parlé en utilisant des phrases que je connaissais déjà et a déclaré: “+ Vous devrez ouvrir.” Moi, je ne suis pas le même que lui en plus. Elle faisait de nombreuses tentatives, mais elle ne semblait pas du tout satisfaite, et j’étais vraiment anxieux, tendu et incapable de bouger “- je la cite.

La jeune femme a affirmé qu’elle ne se souvenait pas si le gynécologue lui avait demandé ou non son accord avant de procéder à l’examen, ce que font de plus en plus de professionnels de la santé de nos jours.

  • Il n’y a eu ni plainte ni signalement –

Malgré le fait que Jade pense avoir été victime “d’au moins une agression sexuelle”, elle n’a pas encore déposé de plainte officielle concernant l’incident. Elle a déclaré: “Je pensais que personne ne me croirait, mais aujourd’hui, c’est différent”, ajoutant qu’elle était “réticente” à le faire, ajoutant qu’elle craignait que personne ne la croie.

Sonia Bisch, la fondatrice de StopVOGfr, a indiqué à l’AFP que son collectif contre les violences obstétricales et gynécologiques avait “reçu trois témoignages” la concernant, datant de 2013, 2016, et 2020, évoquant “des violences gynécologiques (…) de la part de trois autres patientes”. qui n’a pas porté plainte.” Ces témoignages remontent à 2013, 2016 et 2020.

Mme Zacharopoulou est née à Sparte et a fait ses études en Italie avant de commencer sa carrière médicale en France. Elle a d’abord travaillé en France à l’hôpital militaire Bégin à Saint-Mandé (Val-de-Marne),

Ensuite, elle a travaillé aux Hôpitaux de Paris (AP-HP), notamment à Tenon, où elle a été employée par le Pr Émile Dara, qui fait actuellement l’objet d’une enquête pour des allégations de viol.

Lorsque l’AFP s’est renseignée sur le Dr Chrysoula Zacharopoulou, l’AP-HP a répondu qu’elle n’avait “jamais entendu parler d’une plainte ou d’une allégation impliquant le Dr Chrysoula Zacharopoulou”.

Selon l’AP-HP, “le CHU a mis en place une commission d’enquête fin septembre 2021 suite aux accusations concernant le professeur Émile Dara”, gynécologue bien connu à Paris qui a fait l’objet de multiples plaintes, et “une attention particulière a été versés à l’ascension et aux plaintes de traitement des patients.”

Déterminer si ces types d’actes médicaux non consensuels peuvent ou non être qualifiés de crimes constituera un défi pour le système judiciaire. Concernant la situation impliquant Émile Darai, une information judiciaire pour commission d’un acte de violence par une personne chargée d’une mission de service public a été ouverte.

Jolle Beaisch Allart, présidente du Collège national des gynécologues et obstétriciens français, s’est dite “très inquiète de l’utilisation actuelle du mot viol pour qualifier des examens médicaux, notamment gynécologiques, sans la moindre intention sexuelle”. Elle a ajouté qu’elle prenait “complètement en considération les plaintes des femmes”.

Chrysoula Zacharopoulou est une médecin qui s’intéresse depuis longtemps au sujet de l’endométriose. Elle a été élue en 2019 au Parlement européen sur la liste Renaissance, où elle a notamment été membre de la commission des droits des femmes. Elle avait remis un rapport sur le sujet au gouvernement français l’année dernière.

Fin mai, Mme Zacharopoulou a prêté serment en tant que nouvelle secrétaire d’État au Développement, à la Francophonie et aux Partenariats internationaux. Elle est directement rattachée au ministre de l’Europe et des Affaires étrangères.

Mme Zacharopoulou a annoncé mercredi sur Twitter qu’elle se rendait à Bruxelles, mais elle n’a pas répondu aux allégations qui ont été formulées, ni aux questions de l’AFP.

Le ministre de l’Intérieur, Gérald Darmanin, qui a fait l’objet d’une plainte pour viol initialement classée sans suite puis relancée et pour laquelle le parquet a demandé un non-lieu début 2022, fait partie des quelques ministres actuellement en poste accusés d’avoir commis violences sexuelles.

Une allégation plus récente de viol a été portée contre Damien Abad, qui est le ministre de la Solidarité. Le parquet de Paris a indiqué qu’il n’ouvrait pas d’enquête préliminaire “en l’état”. Ces allégations ont suscité des critiques ainsi qu’un appel à l’action, notamment parmi les mouvements féministes.


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