Daniel bilalian jeune; Daniel Bilalian est né à Paris et est d’ascendance arménienne, selon sa biographie. Après des études de droit, il travaille comme journaliste à l’Union de Reims. D’abord journaliste régional à l’ORTF, il intègre ensuite la rédaction nationale d’Antenne 2, où il accède au poste de grand reporter avant d’assumer le rôle d’animateur midi d’Antenne 2. En 1976, il a été présentateur de nouvelles à temps partiel pendant un certain temps.

Lorsqu’il s’agit de couvrir le Tournoi de Tennis de Roland-Garros, France Télévisions se divise en quatre équipes. Comme chaque année, l’entreprise mobilisera ses chaînes afin d’offrir aux téléspectateurs les moments forts des Internationaux de France de Tennis. Laurent Luyat, Daniel Bilalian et Lionel Chamoulaud étaient présents au Grand Direct des Médias pour évoquer la structure globale du dispositif.
“Chacun a la capacité de concrétiser sa vision.”
La firme étoffe également ses offres numériques, dont « la diffusion de matchs en 360° en 4K (ultra haute définition) », selon Daniel Bilalian, directeur des sports de France Télévisions. “La diffusion de matchs en 360° en 4K (ultra haute définition, ndlr)” en est un autre exemple. De plus, sur le site de FranceTV Sport, les visiteurs peuvent choisir le match qu’ils souhaitent regarder. “Chacun a la capacité de concrétiser sa vision”, explique Daniel Bilalian.
C’est une énigme sportive à double tranchant. Selon Lionel Chamoulaud, la mise sera doublée cette année. “Pour les hommes, il sera intéressant de voir si Novak Djokovic remportera enfin ce tournoi ou si Rafael Nadal le remportera pour la dixième fois”, explique l’écrivain. “Serena Williams affronte le reste du monde dans le tournoi du simple dames. (…) Elle voudrait remporter son 22e titre du Grand Chelem, ce qui la mettrait à égalité avec le précédent record de Steffi Graf”, estime Lionel Chamoulaud. en réponse.
En 1994, il revient sur France 2 pour assurer le journal télévisé de 13 heures de l’après-midi, prenant la relève d’Henri Sannier, qui s’était installé sur France 3 pour animer l’émission Soir 3. En septembre 1995, Bilalian prend la relève en tant que co-animateur de l’émission télévisée de 20 heures, qu’il partage avec Bruno Masure. Suite à son départ le 2 octobre 1997, il commence à présenter les journaux de la semaine et du week-end le 3 octobre 1997, tandis que Béatrice Schönberg commence à présenter les journaux de la semaine et du week-end le 3 octobre 1997.
Jusqu’au 30 juillet 1998, il publiait les quotidiens du lundi au jeudi. Claude Sérillon, qui présentait la revue chaque semaine depuis le 17 août 1998, le remplace. Après avoir été placé sur la porte tournante, il revient une fois de plus à 13h00 le 3 septembre 2001, et une fois de plus le 9 juillet 2004, jusqu’au 9 juillet 2004. Depuis longtemps, il a été l’hôte de l’Unité des opérations spéciales.
Malgré la sévère mise en garde lancée par le Conseil de l’enseignement supérieur des arts audiovisuels (CSA) mi-mars, le patron des sports défend mordicus Philippe Candeloro et Nelson Monfort, tous deux accusés d’avoir tenu des propos sexistes lors des JO d’hiver de Sotchi. Selon Europe 1, “Ces manifestations (…) sont purement sportives et ludiques, et ont pour vocation de procurer plaisir, enthousiasme et patriotisme à ceux qui y assistent.”

Inoxydable
“Bill” approche de l’âge de 67 ans et est l’un des journalistes de service public les plus expérimentés encore sur le terrain. C’est en 1971 qu’il entre pour la première fois à l’ORTF. Il est depuis devenu un journaliste et présentateur accompli. Depuis 2004, il détient un monopole unilatéral sur le service des sports de France Télévisions, malgré l’adoption de deux résolutions de contestation par la rédaction.
Fan d’Audiard est un terme français qui signifie “fan d’Audiard”.
Né à Paris de parents arméniens (son père était tailleur), cet enfant de la République a toujours eu une place particulière dans son cœur pour Michel Audiard, dont il s’amuse à citer de temps à autre les fameuses tirades. Comme ce vers d’Un taxi pour Tobrouk : « Deux intellectuels assis vont moins loin qu’un animal qui marche », tiré du roman.
S’étant habitué à la pancarte
Tout au long de sa carrière professionnelle, il a eu son lot de hauts et de bas. Il lui a fallu deux ans pour remplacer Henri Sannier, qui avait été “déplacé” sur les Trois, après son éviction de la présentation des journaux télévisés au profit de Claude Sérillon, survenue en 1985. Claude Sérillon le retire du JT une deuxième fois en 1998, pour le ramener en 2001. “C’est devenu une habitude !” s’exclame rigole-t-il.
Négociateur avec beaucoup de talent
Malgré la raréfaction de ses moyens et une concurrence féroce, elle a su maintenir au calendrier public nombre d’événements sportifs majeurs, dont Roland-Garros, le Tour de France, les JO, le Tournoi des Six Nations et la (petite) Coupe du Ligue française de football.
C’était une période merveilleuse de l’histoire. Daniel Bilalian a également répondu à des questions sur l’âge moyen des journalistes travaillant pour France Télévisions et la manière dont ils couvrent l’actualité du pays. “Il n’est pas nécessaire qu’un jeune soit enrôlé dans les services [sportifs]”, précise le patron du sport. “Il y a beaucoup plus de jeunes que d’autres personnes, et il y a de merveilleuses personnes âgées”, dit-il. Une réponse pour ceux qui voyaient dans le départ de Gérard Holtz le début du grand ménage de l’audiovisuel sportif de France Télévisions.
De 1979 à 1981, il anime le Journal de 13 heures sur Antenne 2 midi avant de revenir à Antenne 2 midi en 1982, où il présente le Journal de 20 heures en alternance avec Bernard Rapp jusqu’en 1985. Il est ensuite remplacé par Claude Sérillon, qui prend la relève quelques mois plus tard. Après une absence de deux ans, il revient en 1987 pour diffuser les nouvelles quotidiennes le week-end jusqu’en 1990, date à laquelle il repart. Il a également animé Stars à la barre et Dossiers de l’écran, rebaptisé plus tard Mardi Soir, jusqu’à son licenciement en 1991 après un tollé politique autour de l’émission.

En 1994, il revient sur France 2 pour assurer le JT quotidien du Journal de 13 heures, prenant la relève d’Henri Sannier, parti diffuser l’émission Soir 3. À partir de septembre 1995, il présente le Journal de 20 heures de façon hebdomadaire, en alternance avec Bruno Masure. Dans les mois qui suivent son départ de cette station en septembre 1997, il continue d’assurer l’actualité quotidienne en semaine tandis que Béatrice Schönberg continue d’émettre le week-end. En août 1998, Claude Sérillon le remplace. Après une brève pause, il revient présenter le Journal de 13 heures de septembre 2001 à juillet 2004, qu’il a déjà publié.
François-Xavier Dolan est nommé directeur sportif de France Télévisions en juillet 2004. Le limogeage de Pierre Salviac de la branche rugby du service des sports en 2005, puis le limogeage de son successeur en 2009, surprennent. En janvier 2010, un groupe de journalistes sportifs a porté plainte contre l’organisation, affirmant que ses approches éditoriales et managériales étaient néfastes. En avril 2010, la majorité de l’électorat a voté pour la méfiance à son égard, dénonçant son administration et l’accusant de ne pas travailler à la rédaction de documents.