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dca maladie


dca maladie Les maladies neurodégénératives affectent le système nerveux central et s’aggravent avec le temps. Les autorités françaises procèdent à des contrôles réguliers pour détecter les foyers de maladies.
Maladies généralement rencontrées:
De nombreuses personnes souffrent de maladies neurodégénératives à mesure qu’elles vieillissent, et la prévalence de ces maladies augmente fortement avec l’âge. Plus d’un million de citoyens français vivent avec la maladie d’Alzheimer ou une autre forme de démence ; environ 160 000 personnes reçoivent un traitement contre la maladie de Parkinson; et 2 300 personnes en France développent une maladie du motoneurone chaque année; la sclérose latérale amyotrophique (SLA) est la principale cause de SLA (SLA).
Le nombre de personnes touchées par des maladies neurodégénératives a considérablement augmenté au cours des dernières décennies, et cette tendance devrait se poursuivre dans un avenir prévisible à mesure que la population mondiale vieillit et que les traitements efficaces restent insaisissables.
Le ministère français de la Santé publique est confronté à un certain nombre de défis dans ce domaine, notamment : la surveillance épidémiologique des formes les plus courantes de maladies neurodégénératives ; étudier les associations potentielles entre les troubles neurodégénératifs et les choix de mode de vie et les risques professionnels; et l’analyse des effets de ces troubles et des facteurs qui déterminent leur pronostic.
Effets significatifs sur les personnes touchées et leurs proches
L’invalidité, la dépendance, l’institutionnalisation et l’hospitalisation sont tous des résultats courants des maladies neurodégénératives.
Ils ont un effet majeur sur la qualité de vie de la personne touchée ainsi que sur la vie de ses proches et de ses aidants.
Les traitements actuels ne sont que symptomatiques et ont plus ou moins de succès.
Le réseau de surveillance du ministère français de la Santé :
La France ne dispose pas des données nécessaires à une évaluation nationale de la charge des maladies neurodégénératives. Pour cette raison, le programme de surveillance épidémiologique des maladies neurodégénératives en France s’est concentré sur la maladie d’Alzheimer et d’autres démences, la maladie de Parkinson et les maladies du motoneurone depuis 2014.
Le programme s’appuie fortement sur les bases de données médico-administratives du SNDS, qui comprennent des informations sur la quasi-totalité des citoyens français (98%). D’autres bases de données plus spécialisées, comme la Banque Nationale Alzheimer, sont également utilisées (BNA).
Ses objectifs sont les suivants :
Le but de cette recherche est d’estimer la fréquence (prévalence, incidence) de ces maladies; examiner l’évolution temporelle de ces indicateurs et la répartition géographique en relation avec les expositions d’intérêt (telles que certaines expositions environnementales et professionnelles); et d’étudier les effets (mortalité, hospitalisations) et les facteurs qui influencent leur pronostic (caractéristiques sociodémographiques, morbidités associées, motifs des hospitalisations).
Peut-il être arrêté:
Le risque de démence est réduit par les éléments suivants: études supérieures, activité physique, alimentation saine, détection et traitement des facteurs de risque vasculaires à un stade précoce (en particulier l’hypertension artérielle et le diabète).
Un meilleur pronostic, un risque plus faible de complications et un coût moindre du traitement de la maladie de Parkinson sont tous liés à une activité physique régulière et à une réadaptation spécialisée. En outre, certaines recherches suggèrent que l’exercice régulier peut aider à prévenir les maladies.
Il s’agit d’une maladie appelée maladie de Gaucher.
Rarement vue, la maladie de Gaucher est héritée des parents. Il y a actuellement un total de 500 patients en France2. La maladie est progressive, invalidante et souvent mal diagnostiquée; Il existe trois formes distinctes : le type 1, qui représente 95 % des cas et n’implique pas le système nerveux ; le type 2, qui se caractérise par des lésions neurologiques précoces, sévères et très rapidement progressives (moins de 1 % des cas); et le type 3, qui se manifeste par des dommages neurologiques ultérieurs et une évolution plus progressive que le type 2. Il représente moins de 5% de tous les cas. En ce qui concerne l’apparition des symptômes et leur gravité, chaque patient est différent.
Insuffisance en sphingomyélinase acide (ASMD) :
La maladie de Niemann-Pick de types A et B (NPA et NPB), un autre nom de l’ASMD, est une maladie génétique mortelle avec une faible prévalence mais un taux de mortalité élevé. Un manque de l’enzyme acide sphingomyelinase est responsable de l’ASMD (SMA). L’accumulation de sphingomyéline cellulaire provoque un dysfonctionnement des organes et des systèmes dans le déficit en SMA.
Les différents types d’ASMD comprennent:

Apparition précoce de l’ASMD de type A (forme neuroviscérale infantile). C’est la pire forme, et elle provoque une progression rapide de la neurodégénérescence qui entraîne généralement la mort avant l’âge de trois ans.
Début de la petite enfance ASMD de type A/B (forme intermédiaire chronique).
L’ASMD de type B (la forme viscérale chronique) peut se développer à tout moment. Plusieurs organes sont touchés, mais il y a peu ou pas de dommages neurologiques dans cette forme plus bénigne.
L’âge d’apparition et la gravité des symptômes distinguent les différents sous-types d’ASMD.
Les symptômes de type B comprennent des douleurs abdominales, une distension abdominale (causée par l’hypertrophie de la rate et / ou du foie), des difficultés respiratoires, des infections pulmonaires, des ecchymoses et des saignements anormaux.
Patients De longues périodes de temps peuvent s’écouler entre l’apparition des symptômes de l’ASMD (type A / B ou B) et le diagnostic.


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