De quoi est mort guy bedos; Les mots ont un impact émotionnel. Semblables à celles d’un fils racontant à son frère les dernières heures de la vie de son père. Nicolas Bedos, près d’un an après le décès de son père Guy Bedos, décédé le 28 mai 2020, a écrit un texte intitulé “Mon père a souhaité mourir autrement”. Ce texte a été publié mercredi 12 mai dans L’Obs et peut être consulté en ligne.

Guy Bedos, comédien, acteur et scénariste, est décédé à l’âge de 85 ans. Le jeudi 28 mai 2020, deux de ses enfants lui ont annoncé son décès. En fin d’après-midi, l’acteur et réalisateur Nicolas Bedos a annoncé la nouvelle du décès de son père, Guy Bedos, en publiant un touchant message sur le site de réseau social Instagram. Guy Bedos est décédé plus tôt dans la journée. “Non seulement il était charmant et plein d’esprit, mais il était aussi intrépide et indépendant. Je ne peux pas exprimer à quel point je suis reconnaissant de vous avoir eu pour père.
Il écrivit d’un ton solennel
Embrassez Desproges et Dabadie, puisque vous êtes tous actuellement au Paradis. Pour sa part, l’auteur, dramaturge, chanteuse et actrice Victoria Bedos a également envoyé un message sincère à son père sur Instagram, ce qu’elle a fait en utilisant son compte sur la plateforme de médias sociaux. Elle vient d’écrire “Au revoir mon cher père” et l’a publié. L’information du départ de la star a été révélée par Europe 1 le même jour. L’information indiquait que la star était partie “après une longue maladie”.
“J’espère vraiment qu’un de mes amis médecins saura, si je le demande gentiment, m’administrer une dose de cyanure !”
Guy Bedos avait développé l’habitude d’évoquer avec désinvolture la question de la mort dans la conversation. “Je suis attiré par les catastrophes qui se produisent au quotidien… et puis aussi par la mort, par exemple. Il y a d’abord un sentiment de révolte, puis l’agonie suit. Pas terrifié à l’idée de mourir, mais peur qu’il allez-y”, a révélé l’artiste dans une interview télévisée qu’il avait confiée. En 1995, il fournit l’explication suivante à Télérama : “
Pour vous dire la vérité, je suis un peu inquiet de ce qui se passe vers la conclusion de l’histoire. J’ai bon espoir qu’un médecin que je connais me fasse, si je l’aborde correctement, une ordonnance de cyanure ! choisir mon départ, éviter les longueurs, ne pas surjouer le sketch, et ne pas descendre trop en rappel faisaient partie des recommandations. Il l’a admis dans son livre intitulé “Le jour et l’heure” qui a été publié en 2008, et il disait : “Je veux mourir pour l’amour de la vie”.
Debout.” Enfin, en 2014, il confesse ceci à Alessandra Sublet, qui l’interviewe pour France 5 : “La mort ne me fait pas peur si elle est délivrée par quelqu’un.” J’ai déjà sélectionné mon “médecin-assassin”, qui va, comme d’habitude, me faire une piqûre. Je ne veux en aucun cas être une personne âgée. Suite aux déclarations de Nicolas et Victoria Bedos, un grand nombre d’hommages ont fleuri à travers divers réseaux sociaux.
Il décrit les derniers jours de Guy Bedos, décédé à l’âge de 85 ans après un long combat contre une “maladie liée à la maladie d’Alzheimer”. “En raison de sa maladie, de son incarcération et de sa perplexité, il n’a pas mangé depuis des semaines. “La nuit, il se réveille sans pouvoir dire l’heure qu’il est, et il veut sortir. Il oublie qu’il est trop faible pour sortir, et il tombe, et il se cogne, et il saigne”, raconte Nicolas Bedos.

Il élabore en disant que la plus grande préoccupation de son grand-père était qu’il “mourrait diminué, pour être un fardeau pour les autres et une” offense “pour lui-même”. De son vivant, l’humoriste a été un partisan du groupe pour le droit de mourir dignement, et il a fait jurer à son médecin de l’aider à finir dignement ses jours “le moment venu”.
En raison du “flou d’interprétation” laissé aux soignants
En mai 2020, Nicolas rapporte que le médecin en question ne répond pas, ce qui intervient à un moment où l’état de Guy Bedos se détériore. Un médicament antiépileptique «souvent utilisé dans ces cas» lui a été prescrit sur la recommandation d’un autre professionnel de la santé. Encore une fois, Nicolas Bedos prononce les mots “Je m’imagine sur mon scooter, allant à la pharmacie pour acheter la mort du mec que j’aime le plus au monde”, et il poursuit en expliquant qu’il envisage de mettre fin à ses jours.
En temps voulu, il ne s’en servira plus. Le médecin réapparaît et, alors que Guy Bedos est tombé dans un sommeil profond, procède à l’intervention qui lui sera finalement fatale. Nicolas Bedos déplore que pour que la société choisisse “le jour et l’heure”, le rideau “aurait dû par conséquent baisser entièrement le rideau et ne peser que quelques kilos”.
L’acteur et cinéaste utilise ce récit pour attaquer ce qu’il appelle “les contraintes de la loi actuelle”, ainsi que le “flou d’interprétation” laissé aux soignants et l’isolement que vivent les familles. Il a déclaré qu'”aucune philosophie ne devraitow n’importe qui pourrir dans leurs couvertures.”
Près d’un an après la disparition de son père, Nicolas Bedos a signé un texte émouvant qui a été publié dans les colonnes de L’Obs. Dans ce dernier, le réalisateur évoque l’angoisse et la souffrance que traverse sa mère dans les derniers instants de la vie de son père, Guy Bedos.
Guy Bedos est décédé le 28 mai 2020, à l’âge de 85 ans, des suites de la maladie d’Alzheimer dont il était atteint. Son fils, Nicolas, a révélé la fin de sa vie dans un texte publié dans L’Obs un an après la disparition de son père ; le texte a été écrit par Nicolas. Il a commencé: “Il a du mal à respirer profondément. En raison de sa maladie, de son incarcération et de sa perplexité, il n’a pas mangé depuis des semaines.
Au milieu de la nuit, il se réveille sans savoir quelle heure il est, décide qu’il veut sortir, oublie qu’il est trop faible pour le faire, trébuche, se cogne la tête et saigne. faisant référence à l’angoisse de sa mère, Jolle Bercot : « Les cris de ses enfants tirent ma mère, qui a atteint la limite de ses nerfs et de sa vigilance, d’un état de demi-sommeil. Elle le réconforte et le borde, comme si elle le bordait dans son lit.
C’est une corvée pour elle de le ramasser. Elle ne peut pas le supporter quand il lui en veut de l’avoir ramassé ou quand il lui lance ce regard qui combine anxiété et fierté à parts égales. Moitié gamin, moitié vieux.”
“Nos derniers souvenirs sont précieux”
Nicolas Bedos a partagé ses réflexions sur ce sujet par le passé, ce n’est donc pas la première fois qu’il le fait. Déjà en septembre de l’année 2020, il avait publié une déclaration sur Instagram exprimant son soutien à l’euthanasie.

“Nos souvenirs les plus récents sont inestimables, tout comme la vie qu’ils contiennent. Il notait alors que” la qualité et le but du livre sont engagés à la toute dernière page “.