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De quoi est mort renoir

De quoi est mort renoir; Issu d’une famille d’artistes, Pierre-Auguste Renoir commence à peindre à l’âge de trois ans et demi, d’abord sur porcelaine, puis sur éventails et tissus dès l’âge de neuf ans et demi. En 1862, il s’inscrit à l’École des Beaux-Arts et étudie à l’Académie parisienne du peintre suisse Charles Gleyre (1808-1876), où il rencontre des artistes tels que Sisley, Bazille et Monet, qui ont tous marqué la début de sa carrière professionnelle. C’est en 1864 qu’il entre en contact avec Diaz de La Pea (1807-1876), qui lui offre la possibilité de peindre en extérieur.

De quoi est mort renoir
De quoi est mort renoir

L’influence de Courbet est encore perceptible dans ses premières œuvres, qui sont toujours considérées comme ses meilleures œuvres. La même année, il expose pour la première fois à Paris, mais après avoir reçu deux refus en 1866 et 1867, il n’est admis au Salon des artistes français qu’en 1868 avec Lise à l’ombrelle (1867, Folkwang Museum, Essen) .

Par tempérament et par désir

Il était plus étroitement associé que presque tout le monde aux traditions des maîtres français du XIXe siècle, écrit Arsène Alexandre dans un essai publié dans le Figaro du 4 décembre 1919. Il leur ressemblait par leur bonté, leur intelligence, leur originalité, et leur désir naturel de vivre dans l’irrationnel et de ne transmettre que le sourire des choses, selon la critique d’art. C’était, avant tout, un charmant personnage qui se trouvait aussi être un peintre français de talent. De plus, après la période des combats forcés, il a été identifié comme l’un des sujets que les jeunes, selon ceux qui ont vu les batailles précédentes, ont étudié avec le plus grand zèle.

Il avait exercé une autorité importante par son travail et sa personnalité, et cette autorité était d’autant plus importante qu’il agissait en dehors de toute contrainte légale ainsi que de toute circonstance officielle. Même si cela était vrai même dans la partie du monde des arts martiaux qui pouvait être considérée comme officielle, il y avait eu une cessation des conflits et des mutilations.

Son indépendance inébranlable, comme le montre la chanson “Ne vouloir rien être”, et sa volonté inébranlable d’être indépendant jusqu’à la mort étaient considérées avec admiration. La position élevée et brillante de Renoir n’a pas été obtenue sans beaucoup de travail acharné et de sacrifices. Il fut même longtemps l’un des plus bafoués et l’un des plus niés aux débuts de l’école dite « impressionniste ».

Quatre décennies plus tard, la reproduction mécanique remplaçant peu à peu le travail manuel, il put prolonger sa vie en décorant des eventails puis des boutiques. Après avoir amassé une somme d’argent conséquente, il décide de se consacrer à la peinture, devenue sa passion, et projette de copier des œuvres du Louvre, où ses parents l’ont emmené à plusieurs reprises. En mars 1862, il se présente et est admis à l’École des beaux-arts de Paris.

En octobre de la même année, il s’inscrit à l’Académie Gleyre, où il rencontre des artistes tels que Claude Monet, Alfred Sisley et Frédéric Bazille. Cet artiste particulier admirait beaucoup Courbet, tout comme Edouard Manet, qui l’avait invité à travailler dans son atelier. Vous comprenez, dit Bazille, que Manet est aussi important pour nous que Cimabue et Giotto l’étaient pour les Italiens du Quattrocento. Cela est dû au fait que la Renaissance est en marche. Il est essentiel que nous le reconnaissions.

Renoir est désormais enrôlé dans le mouvement des choses. C’est lors de cette visite qu’il rencontre Narcisse Diaz, qui lui conseille d’égayer sa palette. Au début de l’année suivante, il voyage avec Sisley, Monet et Bazille à Chailly-en-Bière, aux abords de la forêt de Fontainebleau. En 1864, il est diplômé de l’École des Beaux-Arts de Paris, et l’année suivante, il obtient sa première commande, le Portrait de Mlle Lacau (maintenant au Cleveland Museum of Art), qui révèle son sens de la piété féminine, et le Portrait de William Sisley (aujourd’hui au Musée d’Art Moderne de Paris), le père de son ami peintre, tableau qui sera accepté au Salon de 1865.

Ses parents ayant déménagé à Ville-d’Avray

Il est d’abord accueilli par Sisley, puis par Bazille une fois le mariage de ce dernier avec Sisley annulé. Tous s’étaient fait une tradition de partir à la campagne dès les beaux jours, retournant de nouveau à Chailly, puis à Marlotte, où ils retrouvent Pissarro et où Renoir rencontre Gustave Courbet à Bougival, Chatou et Argenteuil. Renoir peint ses amis à Marlotte, en 1866, dans le Cabaret de sa mère Anthony (Nationalmuseum, Stockholm), qui est considéré comme sa première composition significative.

Il peint deux toiles en 1867 : Diane chasseresse (National Gallery of Art, Washington), figure à grande échelle dans une lumière de plein air apprivoisée par les feuilles des arbres, qui est prétexte à un nu dans la nature vigoureusement dépeint à la manière de Courbet, et Lise à l’ombrelle (Folkwang Museum, Essen), une figure à grande échelle dans une lumière de plein air apprivoisée par les feuilles des arbres qui est l’addition de nouvelles ambitions (telles que le réalisme et le goût de la nature de Courbet, les sujets tirés de la vie actuelle de Manet, et l’illumination de la palette préconisée par Diaz) se traduit par un intérêt accru pour toutes les variations de la lumière.

Travaillant ensemble durant l’été 1869 à « La Grenouillère », sur l’île de Croissy près de Bougival, Claude Monet et Auguste Renoir tentent de rendre en peinture le miroitement du fleuve, avec tous les reflets du soleil multipliés par le frémissement de l’eau, dans leur peinture. Pour préserver l’éclat des couleurs, Monet les sépare hardiment et softiment avant de les peindre sur la toile : « capter la lumière, et la faire tomber sur la toile », tel est son objectif. « Capter la lumière, et la laisser tomber sur la toile », telle est sa devise.

Renoir et Monet ont collaboré aux trois vues de la Grenouillère qui servent de prélude aux scènes nautiques d’Argenteuil qui auront lieu après 1870. Nadar accueille la première exposition mondiale de peintres impressionnistes en 1874, et son travail est inclus dans le spectacle ( avec La Scène, 1874, Courtauld Institute, Londres). La rencontre avec Caillebotte est l’endroit où Renoir fait sa connaissance pour la première fois.

De quoi est mort renoir
De quoi est mort renoir

La période des tableaux les plus célèbres, comme les Régates à Argenteuil (1874, musée d’Orsay, Paris), le Moulin de la Galette (1876, musée d’Orsay, Paris) et les Parapluies (1883, Galerie nationale, Londres), qui réunissent les caractéristiques d’un impressionnisme très parisien, commencent à se déployer (ambiances de loisirs, foules citadines). Même si sa composition utilise une touche plus douce plutôt que le divisionnisme impressionniste habituel, une sorte de vibration créée par l’interaction de la lumière et de l’ombre rassemble tous les personnages de ces scènes oniriques dans une atmosphère de lumière onirique.

Un jeu de lumière analogique se retrouve dans le tableau Déjeuner des canotiers (1881, Phillips Memorial Gallery, Washington), qui témoigne d’une parfaite individualisation des personnages, comme en témoignent le mouvement de leurs gestes et de leurs humeurs.


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