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dnid maladie

dnid maladie Les personnes de plus de 40 ans constituent la grande majorité des personnes diagnostiquées avec le diabète de type 2 (également connu sous le nom de « diabète non insulinodépendant » (DNID) ou « diabète gras »). Les effets de cette maladie sur le système cardiovasculaire, le système sanguin, les reins et le système nerveux sont particulièrement dévastateurs. Des médicaments et des changements de mode de vie sains (comme une alimentation équilibrée et de l’exercice régulier) sont utilisés pour traiter cette condition.
En d’autres termes, qu’est-ce que l’insuline?
Une hormone qui joue un rôle dans le contrôle de la glycémie est l’insuline. Lorsque cela augmente (comme il le fait après avoir mangé), le pancréas libère de l’insuline, ce qui incite le corps à stocker le sucre (dans ce cas, le muscle et le foie). Un taux élevé de sucre dans le sang est le résultat d’un manque de cette hormone. Si le sucre est la principale source d’énergie pour nos cellules, alors des niveaux de sucre dans le sang chroniquement élevés sont nocifs, en particulier pour le système cardiovasculaire.
DT2 : Qu’est-ce que c’est ?
Bien que les personnes atteintes de diabète de type 2 produisent encore de l’insuline, l’hormone a une capacité réduite à contrôler la glycémie. Le diabète est défini comme ayant un taux de sucre dans le sang qui reste anormalement élevé deux heures après avoir mangé. Avec le temps, le pancréas s’use à force de produire autant d’insuline. Les personnes en surpoids ou obèses, menant une vie sédentaire et âgées de plus de 45 ans courent un risque accru de développer un diabète de type 2, également connu sous le nom de diabète gras ou de diabète non insulinodépendant. Après l’âge de 60 ans, il représente 90% de tous les cas de diabète.


Le diabète de type 2 touche environ 5% de la population française, selon une étude de l’Institut national de la santé et de la recherche médicale (INSERM). Une croissance annuelle de plus de 5% est observée dans le nombre de nouveaux cas de diabète de type 2. Ces dernières années ont vu une baisse de l’âge d’apparition typique du diabète de type 2, avec des rapports de cas chez des personnes aussi jeunes que des adolescents aux États-Unis. Cela coïncide avec l’augmentation de la prévalence de l’obésité dans les pays occidentaux.
COMMENT LE DIABÈTE DE TYPE 2 SE PRÉSENTE-T-IL?
En raison de sa nature insidieuse, le diabète de type 2 est généralement identifié par un test sanguin plutôt que par la présentation des symptômes par le patient. Les complications du diabète de type 2 comprennent une cicatrisation lente des plaies, un engourdissement des pieds, une déficience visuelle, une insuffisance rénale et un risque accru de maladie cardiovasculaire et d’accident vasculaire cérébral.
L’augmentation de la soif et de la faim, l’augmentation de la miction, la fatigue, la peau sèche et irritée, la guérison lente des coupures et des plaies, les infections récurrentes des gencives, de la vessie, du vagin, de la vulve et du prépuce, les engourdissements ou les picotements dans les mains et les pieds, la dysfonction érectile et la vision floue sont tous des signes possibles de cette maladie.
Des taux élevés de triglycérides sanguins et des taux de HDL (bon) cholestérol inférieurs à la normale sont également fréquemment observés chez les personnes atteintes de diabète de type 2. Une augmentation anormale de la pression artérielle est un autre symptôme fréquemment observé (tension).
DÉFINITION:
Le diabète de type 2, également connu sous le nom de DNID (Non-Insulin-Dependent Diabetes), se caractérise par une hyperglycémie indépendante des défauts de sécrétion d’insuline.
Contrairement au diabète insulino-dépendant (IDD), dans lequel la production d’insuline est insuffisante, ce type de diabète ne dépend pas de l’insuline exogène.
Le diabète sucré, le diabète insulino-résistant, le diabète d’âge moyen et le diabète acquis sont tous des noms pour cette condition.
MÉCANISMES DE LA MALADIE
Les personnes de plus de 40 ans qui sont en surpoids ou qui ont eu un problème de santé lié au poids courent un risque accru de développer cette forme de diabète.
Sa sécrétion d’insuline était typique et même substantielle pendant les trente à quarante premières années de sa vie. Suite à cela, ses cellules sont devenues résistantes à l’insuline. L’hyperglycémie permanente due à cette résistance à l’insuline provoque le pancréas à produire moins d’insuline, ce qui peut éventuellement entraîner une dépendance à l’insuline et un diabète.
La résistance à l’insuline, dans laquelle certaines cellules du corps travaillent activement contre l’insuline, est le principal contributeur. Bien que nous sachions que l’insuline joue un rôle dans le transport du glucose du sang vers les cellules, nous savons également que l’insuline elle-même ne pénètre pas dans les cellules.

Dans un article typique :
Le glucose est le carburant de chaque cellule de votre corps. Ceci est d’abord fourni par l’alimentation, puis par le foie (en dehors des repas et la nuit). Le sang le transporte vers les endroits où il en a besoin. L’insuline, une hormone sécrétée par le pancréas, est nécessaire pour que le glucose pénètre dans ces cellules. Cela permet au glucose, qui circule dans le sang, d’entrer dans les cellules où il peut être utilisé comme carburant, réduisant ainsi les niveaux de sucre dans le sang. C’est ainsi que les choses fonctionnent habituellement.

Personnes diabétiques :
Dans le diabète de type 2, les cellules développent une résistance aux effets de l’insuline et finissent par cesser de répondre à l’hormone. Il y a trois répercussions de ce problème: premièrement, l’hyperglycémie se développe parce que le glucose n’est pas absorbé par l’insuline et reste dans le sang. La glycosurie décrit le processus par lequel le corps se débarrasse du glucose dont il n’a pas besoin. Finalement, le glucose ne sera plus disponible et la cellule devra créer le sien. Les effets à faible volume du prédiabète sur le corps dans son ensemble ne deviendront pas apparents avant 9 à 12 ans.


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