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Famille zouari origine

Famille zouari origine; Zouari, Moez-Alexandre Zouari, né le 6 février 1971, est un Français d’origine tunisienne, fils et petit-fils d’hommes d’affaires. Leur étage rappelle les sagas du monde marchand. Une interprétation contemporaine d’« Au Bonheur des Dames », mais très éloignée de la mythologie de la start-up. Les Zouaris n’auraient fait qu’appliquer les recettes de marchands célèbres, comme celles de Michael Marks et de son associé Thomas Spencer du XIXe siècle : choisir l’emplacement et comprendre leur client. Ils n’auraient rien fait de plus qu’écouter leurs clients et faire leurs suggestions avec leurs mains.

Famille zouari origine

“C’est l’entrepreneur et sa vision de l’entreprise qui ont retenu notre attention”, a déclaré Charles Andrez, de Lazard, qui était le seul banquier présent à l’entretien. Parce que ce fils tunisien a coiffé le poteau des familles Moulin (Galerie Lafayette) et Arnault (LVMH), également visées, le casse est d’autant plus remarquable. À notre connaissance, les deux familles ont été visées. De plus, la somme – 156 millions d’euros, soit 44,5% du capital total de l’entreprise – est considérée comme très bien négociée par les experts du secteur. « Quand on ne connaît pas son propre nom, il faut apprendre à foncer plus vite que les autres », sourit le quadragénaire, vêtu d’un costume cintré De Fursac.

Mais d’où tire-t-il l’argent qu’il prétend avoir versé en liquide aux deux autres parties ? En termes simples, il parle de son compte bancaire. Parce qu’ils sont peu connus, Moez Zouari et son épouse Soraya, qui est impliquée dans toutes les décisions, ne se présentent pas comme tels du premier coup.

Famille zouari origine
Famille zouari origine

Au cours des vingt dernières années, le duo a ouvert ou repris la gestion d’un grand nombre de magasins Franprix, Leader Price et Monop’, toutes filiales de la société Casino, dont ils sont aujourd’hui le premier master franchisé. Pour atteindre un pic d’activité début 2018, plus de 1,5 milliard d’euros de chiffre d’affaires ont été générés par plus de 500 supérettes et discounters passés entre leurs mains.

En pratique, leur ascension ne freine pas leur enthousiasme pour l’avenir. Alors que les plus grandes entreprises mondiales de distribution alimentaire souffrent depuis plus d’une décennie de l’insatisfaction des consommateurs, comme en témoignent les difficultés de Carrefour, dont le stock a baissé de plus de 60 % en dix ans, cette association familiale a été contraint d’exister sans autre capital initial que la ténacité de ses fondateurs.

Pendant ce temps, les plus grandes organisations mondiales de distribution alimentaire souffrent de l’insatisfaction des consommateurs depuis plus d’une décennie. Aujourd’hui, l’entreprise est sur le point d’afficher un chiffre d’affaires estimé aux alentours du milliard d’euros. En plus de propulser ses propriétaires dans le club exclusif des 500 entreprises françaises de première génération, où ils occuperont la 144e place d’ici 2020 avec 600 millions d’euros de chiffre d’affaires.

Tout a commencé en 1998. Moez-Alexandre Zouari, Français d’origine tunisienne, fils et petit-fils d’hommes d’affaires, bon élève amoureux des mathématiques, vient de terminer ses études à l’université Dauphine. Soraya, sa femme, est étudiante en médecine. Le couple est dans la vingtaine et s’est rencontré pour la première fois à l’école secondaire Hélène Boucher. L’histoire de Moez-Alexandre Zouari commence : « J’avais un grand projet en tête. Construire un réseau d’une centaine de commerces pour devenir le “placard” de Paris.»

En pratique, leur ascension n’entame pas leur enthousiasme pour l’avenir. Alors que les plus grandes entreprises mondiales de distribution alimentaire souffrent depuis plus d’une décennie de l’insatisfaction des consommateurs, comme en témoignent les difficultés de Carrefour, dont le cours de bourse a chuté de plus de 60 % au cours de la dernière décennie, cette association familiale à but non lucratif a vu le jour sans autre capital initial que la ténacité de ses fondateurs.

Aujourd’hui, l’entreprise est sur le point d’afficher

Un chiffre d’affaires estimé aux alentours du milliard d’euros. En plus de propulser ses propriétaires dans le club fermé des 500 fortunes commerciales de la première génération de France, où ils occuperont la 144e place d’ici 2020 avec 600 millions d’euros de chiffre d’affaires.

Tout a commencé en 1998. Moez-Alexandre Zouari, français d’origine tunisienne, fils et petit-fils d’hommes d’affaires, bon élève passionné de mathématiques, vient de terminer ses études à l’université Dauphine. Soraya, sa femme, est étudiante en médecine poursuivant ses études. Le couple est dans la vingtaine et s’est rencontré pour la première fois à l’école secondaire Hélène Boucher. L’histoire de Moez-Alexandre Zouari commence, “J’avais un gros projet en tête.” Construire un réseau d’une centaine d’établissements commerciaux pour devenir l’« enseigne » de Paris.»

« Et le réfrigérateur aussi », ajoute sa femme qui l’a rejoint dans l’aventure. Leur stratégie de conquête est basée sur la localisation de la capitale. Le couple a affiché chez lui un plan de Paris sur lequel ils ont listé les commerces menacés de fermeture : agences de voyages, épiceries, distributeurs de câbles électriques, garages, etc. Ils se rassemblent dans leur quartier, le XXe arrondissement, où ils scrutent les habitudes de leurs clients.

Un peu plus d’un an plus tard, la famille Zouari ouvre une deuxième adresse dans le même quartier, cette fois sous l’enseigne Franprix. Le rythme de développement s’accélère. En peu de temps, la paire a établi un réseau de neuf magasins dans lesquels ils distribuent des “livres d’or” pour mesurer la réaction des clients. C’est le banquier lui-même qui est désemparé : « Les résultats étaient là, et les objectifs avaient été manqués », explique Soraya. Les Zouari, qui s’en tiennent à leur plan initial, ouvrent une flopée de grandes surfaces chaque année, grâce à une stratégie connue sous le nom de “toile d’araignée”.

Ils se répartissent les tâches afin de gérer efficacement

La croissance. Soraya s’occupe des équipes, des fonds et de la partie administrative, tandis que Moez-Alexandre s’occupe de la partie physique. Lorsque le groupe Casino, dirigé par Jean-Charles Naouri, rachète 40 % du capital de leur société en 2003, la société est en mesure de se développer plus rapidement. En 2005, ils acquièrent une société au Royaume-Uni, qui comprend une école de formation qui les aidera à embaucher un nombre croissant d’employés. Arrivé en tant que stagiaire en 2003, Antoine Aussour a évolué jusqu’au poste de directeur général de l’entreprise.

Les Zouari, devenus “master-franchisés” de Casino avec des magasins comme Franprix, puis Leader Price, et enfin Monop’, innovent toujours. Un arbre au milieu d’un magasin, un bar à sushis dans un autre, du vin devant la porte d’un troisième, des pressoirs à oranges au troisième étage… Les vacances d’été du couple se passent en « sorties shopping » avec leurs trois filles. , qui ont visité la Chine, Hong Kong et les États-Unis.

«Malgré les critiques, Moez-Alexandre Zouari estime que le commerce de proximité est toujours nécessaire. Depuis le début de la crise sanitaire, c’est clair. Il est impossible de vivre sans l’utilisation d’une application.» Impossible de résister : aidé de sa fille de 15 ans, le couple garde un œil sur les millennials et les générations qui les suivent, qui ont “Instagram dans la tête”.

La première vitrine du couple, d’une superficie de 400 mètres carrés, est située au 88, boulevard de Ménilmontant, juste en face de chez eux, grâce aux fonds recueillis auprès de la famille et des amis (appelés « love money ») et au soutien d’une banque qui la paire a passé beaucoup de temps à convaincre. «Nous avions un fort sentiment de respect pour la valeur de notre travail, et je crois que d’autres qui l’ont reçu ressentaient la même chose», expliquent-ils.


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