Fred sinistra mort: Il venait d’être admis à l’unité de soins intensifs de l’hôpital à la suite du coronavirus et avait refusé de rester dans l’établissement après avoir signé un accord de libération. Depuis sa mort, son histoire a été racontée dans le monde entier par ceux qui l’ont connu.Un coup de masse massif !

La nouvelle du décès de Frédéric Sinistra, provoqué par un arrêt cardiaque à son domicile de Ciney mercredi matin, est arrivée comme un tsunami, touchant d’abord le personnel de notre journal puis se propageant rapidement sur les réseaux sociaux.
Le souvenir du kickboxing fer de lance en Belgique est chéri sur les plateformes de réseaux sociaux par les internautes. Prenons par exemple ce post de Johann Duhaupas, un boxeur français bien connu, qui a écrit : « Triste nouvelle : nous avons perdu un ami. Fred sinistra nous a quitté aujourd’hui pour cause de maladie. Repose en paix mon ami, repose en paix.
Quand il s’agit de Jérôme Le Banner, l’émotion est tout aussi forte. Par ailleurs, sur son compte Instagram, le frère d’armes de Fred Sinistra a posté le message suivant : “A un combattant qui était plus qu’un ami, je rappelle avec vous avant tes grandes échéances, celle des bons souvenirs, et pensées pour ta famille .”
N’oubliez pas que la vie est courte ! « Que penser des nombreux mots de soutien adressés à sa famille par des milliers de personnes. Il laisse dans le deuil un compagnon, une fille prénommée Célia et un fils prénommé Diego. Il avait alors 41 ans.
Frédéric Sinistra était un sceptique du Covid qui refusait de se faire vacciner et qui refusait de mentionner le nom du virus par son nom même lorsqu’on le lui demandait !
Fred Sinistra a déclaré sur Instagram qu’un documentaire sur sa vie, réalisé par Manners Film (Fares Manners), sortira dans un proche avenir. Sur sa propre page Facebook, le réalisateur a posté une photo du boxeur avec le message : « Il sortira bientôt, en mars 2022. »
Pour les admirateurs du boxeur belge Sinistra, voir cette vidéo sur sa vie et sa carrière peut être un bon moyen de commémorer sa longue et illustre carrière :
Il avait annulé une émission prévue fin novembre sur sa page Facebook, précisant qu’il “n’avait pas de temps à perdre avec une bande de fainéants”. Il était impératif pour lui de ne pas se laisser distraire par la pandémie et de continuer sa route comme si de rien n’était. Ce n’était pas une petite infection qui l’empêchait de travailler !

« Malheureusement, mon combat prévu le 4 décembre à Nîmes a été reporté. Je suis méprisé, pourtant je suis toujours là, grâce à ma tonne d’amour adorée, mon entraîneur, Osman Yigin. Une multitude de maladies se sont déchaînées sur mes intestins et mon foie. Le niveau de CRP dans ma bouche indique que mes lèvres sont enflammées, et il est de 165. Alternativement, l’écart type est compris entre 0 et 5. Un guerrier n’abdiquera jamais!!!!!!!!!!! Je reviendrai encore plus fort la prochaine fois. “Merci à tous pour votre soutien”, a-t-il écrit sur son lit d’hôpital, où il recevait des soins intensifs, le 26 novembre dernier.
« Je lui ai dit que s’il n’allait pas à l’hôpital, je ne le dérangerais plus », explique son plus récent entraîneur, Carolo Yigin Osman, des États-Unis. Frédéric Sinistra, en revanche, est inquiet.
Son entraîneur a insisté pour qu’il aille à l’hôpital.
L’entraîneur Osman Yigin a affirmé dans les médias francophones qu’il était responsable d’avoir forcé Sinistra à l’hôpital. “Je l’ai averti que s’il n’allait pas à l’hôpital, je ne le coacherais plus”, a-t-il affirmé après le décès de Sinistra.
“Malheureusement, mon combat prévu le 4 décembre à Nîmes a été reporté. Je suis dégoûté, mais je suis toujours en vie, grâce à mon gentil oncle, Osman Yigin, qui se trouve être aussi mon entraîneur. Mes poumons étaient agressés par une variété de maux. Mon CRP, qui indique une inflammation dans mes poumons,
est de 165, ce qui est élevé. Cependant, la plage normale se situe entre 0 et 5. Un guerrier n’abandonnera jamais son épée !!!!!! Je veux revenez encore plus déterminé. Merci à tous pour votre soutien », a-t-il écrit sur son lit d’hôpital en soins intensifs le 26 novembre alors qu’il se remettait d’une opération.
Fred “The Undertaker” Sinistra, artiste martial belge originaire de Liège, était bien connu dans le monde des sports de combat en tant que champion renommé. Il avait auparavant détenu à plusieurs reprises les titres de champion de Belgique, d’Europe et du monde de kickboxing. Sa mort a été signalée sur ses comptes de médias sociaux le jeudi 16 décembre, envoyant une onde de choc dans le monde entier. Vendredi dernier, le milieu de la boxe liégeoise lui a rendu hommage et son enterrement a eu lieu le lendemain mardi.
On ne sait pas ce qui a causé sa mort ou ce qui s’est passé dans ses derniers instants. Mais Sinistra a été emmené fin novembre à l’unité de soins intensifs du CHU de Liège avec ce qui était supposé être une infection au COVID-19, selon les médecins. L’expression “selon toute probabilité” fait référence au fait que Sinistra, selon les médias francophones, a rejeté la possibilité d’une pandémie. Il n’aurait jamais osé prononcer les mots “COVID-19” de toute sa vie.
Activiste anti-vaccin, Frédéric Sinistra a été infecté par le COVID-19 fin novembre 2021 et a été admis à l’hôpital, quittant l’hôpital peu après contre l’avis des médecins. Il décède quelques semaines plus tard à Havelange, au Portugal, des suites de complications liées à la maladie, à l’âge de 40 ans. Après sa mort, Frédéric Sinistra fait l’objet d’une large couverture médiatique, tant pour sa résistance vocale à la vaccination que pour les circonstances entourant sa mort.
“Le COVID-19 n’a pas causé la mort de mon mari.”
La veuve de Sinistra a publié un long commentaire sur les réseaux sociaux il y a deux jours, contestant avec passion l’affirmation selon laquelle son mari est décédé des suites de COVID-19.
Sinistra n’a mentionné le covid dans aucun des messages qu’il a adressés sur les réseaux sociaux après avoir été admis à l’hôpital pour la première fois. “Malheureusement, je vais devoir annuler mon combat prévu pour le 4 décembre.
Je suis dégoûté, mais je suis toujours en vie grâce aux efforts de ma femme et de mon entraîneur personnel. Mes poumons sont agressés par une variété de maux. les lectures incendiaires sont à 165, alors qu’elles devraient être comprises entre 0 et 5 selon les directives “, a-t-il écrit d’une manière mystérieuse.
Sinistra s’est conformé aux instructions de son entraîneur, bien qu’il ne soit pas resté très longtemps à l’hôpital. L’homme avait exprimé son désir de rentrer chez lui après quelques jours de sa propre initiative. Selon les médias français, il se serait aidé d’une bouteille d’oxygène s’il avait été chez lui.
Sa communication la plus récente a été envoyée le 13 décembre. “Merci du fond du cœur à tous ceux qui m’ont soutenu au fil des ans, en particulier à travers cette expérience la plus récente où j’ai vraiment vu la mort”, dit-il à la fin de sa longue lettre. Sinistra est décédé le 15 décembre 2018.
« Je me battrai jusqu’au bout pour que la vérité soit rétablie et que sa réputation soit lavée de toutes ces calomnies, tant au sein de sa famille qu’au lendemain de sa mort… « Mon mari n’est pas mort des suites de COVID-19 », insiste sa veuve, ajoutant que son mari n’aurait jamais accepté que ce qui lui est arrivé soit exploité pour prêcher la peur et promouvoir la vaccination. (..)
Sa femme poursuit en disant qu’un film sur la vie de son mari sortira l’année suivante.