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frédéric zeitoun sa maladie

frédéric zeitoun sa maladie Frdric Zeitoun utilise un fauteuil roulant depuis son enfance parce qu’il est né paralysé. Le chroniqueur musical de Tlmatin a probablement rencontré des gens peu sympathiques, mais cela ne l’a pas empêché de vivre sa vie comme il l’entendait.


Frdric Zeitoun, chroniqueur légendaire de Tlmatin, écrit sur son amour de la musique française. Même si certains producteurs lui avaient demandé d’éviter d’utiliser son fauteuil roulant au début de sa carrière dans les médias, il n’a jamais été intéressé à le faire et était prêt à risquer d’offenser certains téléspectateurs. Heureusement, l’intégration de Tlmatin était simple. William Leymergie m’a dit : « Ce qui m’intéresse, ce sont vos chroniques. » quand nous nous sommes rencontrés. Il y a de bonnes personnes! , avait-il dit à Marie France. Frdric Zeitoun, né paraplégique en Tunisie en 1961, a déménagé en France à l’âge de 8 jours. Ces médecins en Tunisie ne savaient pas comment me traiter. Comme il l’a expliqué à France dimanche en 2011, son père a pris la décision de le faire opérer en France dès que possible. Le critique musical de France 2 a donc utilisé un fauteuil roulant. Cela inclut quand il était un enfant et un adolescent, quand l’examen des autres peut être particulièrement oppressant.
Au lycée, Frdric Zeitoun était la cible du ridicule.
« Je ne veux pas faire pleurer les gens sur mon sort, mais c’est vrai que j’ai été stigmatisé dès mon plus jeune âge », a-t-il déclaré le 17 juin à Gala. J’ai appris très tôt que les opinions des gens n’étaient pas toujours gentilles, que la vie n’allait pas toujours être simple, parce que je suis née avec un handicap. L’adolescence a été difficile pour moi parce que j’étais le seul élève de mon école secondaire à utiliser un fauteuil roulant. On m’a taquiné et moqué pour cela, mais mon chant m’a aidé à surmonter cela. J’ai pris la décision d’avoir une bonne attitude rapidement. Malgré le canapé et les blagues, il a réussi à se tenir occupé et à éviter les schémas habituels.
J’ai toujours suivi mes propres désirs. J’ai finalement réalisé l’ambition de toute une vie et obtenu ma certification de plongée sous-marine. Quand l’envie de conduire une moto m’a frappé, je me suis tourné vers la course de quad. En fait, j’aime l’équitation. Il a plaisanté à Francesca « Sunday » Sunday en disant qu’il n’apprendrait jamais à faire des claquettes. Le spectacle de Frdric Zeitoun de 2013, The Enchanted Story of the Little Jew on Wheels, avait pour objectif de démontrer que tout était possible. Bien qu’il ait une compréhension réaliste de son handicap, le chroniqueur était toujours consterné par la façon dont il avait été traité dans un récit récent de son expérience dans une gare parisienne. Un rappel utile que l’inaccessibilité est le vrai problème, pas le handicap lui-même.
Pour Frdric Zeitoun, ce fut la goutte d’eau qui a fait déborder le vase. Ce vendredi dernier, le 28 mai, le journaliste de Tlmatin a eu accès au plateau de Linstant Deluxe. Frdric n’est pas du tout gêné lorsqu’il parle de sa vie quotidienne. Un forum où il peut discuter ouvertement de son état et attirer l’attention sur elle. Cependant, cette dernière expérience pour l’homme de 59 ans est une expérience qu’il n’oubliera pas de sitôt.
Le chroniqueur a écrit sur son calvaire et a profité de l’occasion pour faire une tirade sur les choses odieuses qui lui étaient arrivées le lendemain de sa libération. Je dois faire un rapport Tlmatin, alors je prends le train. Son nouvel assistant « n’a peut-être pas fait le bon pas, ne m’avait pas enregistré comme personne à mobilité réduite auprès de la SNCF », raconte-t-il. L’orateur poursuit : « Vous devez arriver 30 minutes avant, mon train était à 11h39 (…) L’heure d’arrivée était 11h14. Par conséquent, je n’avais pas trente minutes d’avance, mais plutôt vingt-cinq minutes d’avance. Nous ne pouvons pas vous prendre, me dit la réceptionniste en me regardant. Toutes les 30 minutes, comme le stipule la règle (…) L’heure c’est
Frdric, qui n’a pas l’intention d’être pris au sérieux, s’avance sur la plate-forme pour défier l’un des contrôleurs. Il espère que ce dernier l’aidera, alors il lui explique la situation. Sur le chemin de la plate-forme, j’ai rencontré le premier contrôleur qui m’a rapidement informé: « Ah, ce n’est pas ma responsabilité, je n’assume pas. » Je n’avais qu’à tourner une clé, et tout l’étage s’est levé, me permettant de monter.
Indigné, le journaliste a pris l’antenne pour dénoncer ces pratiques discriminatoires. Par conséquent, soutient-il, « le regard des autres » plutôt que le handicap lui-même est le vrai problème : imaginez les défis auxquels est confronté le gars qui vient d’avoir un accident de voiture et à qui on a dit que sa vie était sur le point de devenir plus facile ; En réalité, ce n’était pas le cas.
Frdric a eu la chance de trouver un deuxième contrôleur qui l’a reconnu et l’a aidé à rattraper le train à temps. Avec ce message, il espère que non seulement la SNCF, mais aussi les pouvoirs publics, en prendront note : « Encore une fois, adaptons simplement les villes, rendons la ville (au sens latin du terme) accessible. pour tout le monde. Il n’y a rien d’autre dont nous avons besoin ou que nous voulons. C’est un jour où nous avons trop de personnes handicapées!
C’est ce que dit le moulin à rumeurs!


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