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Gabrielle lazure jeune

Gabrielle lazure jeune; Gabrielle Lazure est née le 28 avril 1957 à Philadelphie, Pennsylvanie, États-Unis d’Amérique. Elle est la fille d’un psychiatre spécialiste et militant politique du Québec, ainsi que d’un psychothérapeute des États-Unis. Suite au divorce de ses parents, elle passe son adolescence à Montréal, où elle vit avec sa mère. Après une adolescence difficile, l’étudiante décide de tout quitter pour gagner son indépendance. Elle quitte les États-Unis à 20 ans et s’installe à Paris, où elle débute sa carrière de mannequin mannequin. Sa belle minois se fait vite remarquer, et elle multiplie rapidement les contrats et les shootings qu’elle a. Même si elle rencontre un certain succès, la jeune femme aspire à explorer d’autres mondes et tourne donc son attention vers le cinéma.

Gabrielle lazure jeune
Gabrielle lazure jeune

La Belle Captive d’Alain Robbe-film Grillet

Sorti en 1983, est la première fois que le grand public la voit. En conséquence, elle joue divers rôles au cours des années 1980, notamment The Price of Danger, Sarah, The Crime, Souvenirs, Souvenirs, Noyade Interdicted et d’autres.

Elle a illuminé nos années 1980, en star de cinéma d’auteur (« La Belle Captive », réalisé par Alain Robbe-Grillet), en héroïne de blockbuster (« La Révolution française », réalisé par Robert Enrico), et en vedette au succès commercial massif (« La Crime », réalisé par Philippe Labro), tout en nous envoûtant par sa beauté diaphane ultra-cinégénique teintée d’une aura rock’n’roll

Gabrielle Lazure, dont le patronyme est la fleur de la beauté et la couleur bleue, ramène un rayon de soleil dans le monde. La star de la nouvelle série quotidienne de France 2 “Un si grand soleil”, dont les téléspectateurs sont scotchés à leur siège, sort un livre sous couvert d’une procédure de règlement de compte non acrimonieuse. « Maman… cet océan entre nous » (éd. de l’Archipel) dresse le portrait de Martha, une Américaine des années 1970 qui fut une pionnière new age renommée qui prôna le développement personnel et le régime végétalien bien avant son temps, mais qui n’a jamais été traitée comme une mère par personne.

Ma mère, qui venait de décéder, ne m’avait pas empêché de le supplier de me pardonner ce que je lui avais fait. J’avais toujours cru que tout était de ma faute jusqu’à réaliser que son indifférence et son nombrilisme, qui étaient parfois perçus comme des actes de perversité, n’étaient pas liés à moi. Il m’a fallu une longue période de thérapie et beaucoup de larmes pour vraiment embrasser qui j’étais », avoue l’actrice. Le roman regorge de scènes horribles, comme celle dans laquelle Gabrielle, une petite enfant, entre dans la chambre de sa mère. et la retrouve allongée sur son canapé, nue, en train de se masturber devant elle.

Après par la suite, quand Martha découvre que sa fille est toxicomane, elle l’aborde avec l’idée de devenir son dealer. « Nous n’étions pas arrivés en position de communiquer, et je n’arrêtais pas d’essayer d’attirer son attention. À mon avis, elle m’a toujours vu comme une sorte d’extension d’elle-même; après tout, je m’appelle Martha, qui est son nom de famille aux États-Unis. Dans les derniers jours de sa vie, nous nous sommes retrouvés à Central Park où elle, qui avait toujours été plus grande que moi, se sentait un peu déprimée.

Elle s’est fait un devoir de mettre tout le monde au coude à coude pour me prouver qu’elle était encore plus grande… Aujourd’hui, cela évoque l’image d’une femme libre et indépendante, née à une époque qui ne lui correspondre, qui n’avait d’autre choix que de se marier pour quitter ses parents, malgré le fait qu’elle souhaitait devenir autonome.

Plus déchirant encore, Gabrielle raconte avec dignité et grâce les violes jouées par le fils de son beau-père alors qu’elle n’avait que neuf ans, lorsque l’incident s’est produit. « Je suis entré dans un état de calme. J’ai regardé dans l’annuaire et je n’ai pas pu le trouver car son nom est si connu. “Je voudrais simplement pouvoir m’expliquer avec lui…”, dit-elle, la voix teintée d’une inflexion indéfinissable. Outre les histoires d’amour ultra-glam avec des acteurs tels que Richard Gere et Jack Nicholson, ce livre inclura le parcours d’une actrice célèbre qui aurait aimé être castée pour d’autres raisons que sa beauté physique à l’occasion.

Enfin, il y a des moments de grâce associés à la naissance de sa fille, Emma, ​​une belle petite fille avec qui elle a tout fait pour ne pas reproduire le modèle familial. « Je suis décédé à l’âge de 43 ans. Elle m’a sauvé de ma mélancolie et j’en profite pour lui dire que je l’adore. « Ce sont des mots que je n’ai jamais entendus auparavant.

Au cours des années 1990, elle est devenue plus sélective dans ses choix de casting et est apparue dans moins de films; elle est apparue dans des films tels que Memories (1991), Alice (1995) et En panne (1997), entre autres (1996). Au début du XXIe siècle, elle fait son grand retour et multiplie les partenariats ; elle travaille sous la direction de François Armanet.

Jean Veber (Le pharmacien de garde), Olivier Dahan (Les rivières pourpres 2), Rémi Besançon (Un heureux événement) ne sont que quelques-uns des acteurs qui ont joué dans ce film.

En parallèle, elle poursuit sa carrière d’actrice

Au Canada, où elle tourne dans de nombreux films, dont Arbitrage, réalisé par Nicolas Jarecki, en 2012. En 2014, elle partage la vedette avec Aurélia Barbet dans le film Passer l’hiver, et dans 2015, elle partage la vedette avec Eric Hannezo dans le film Enrageés, tous deux réalisés par Lambert Wilson.

Au petit écran, elle apparaît dans de nombreuses émissions de télévision (Le Grand Patron, Central Night, Alice Nevers, Section de recherches, etc.) et apparaît dans de nombreux téléfilms (Ce fut un bel été, Les tisserands du pouvoir, Les louves, La baie d’Alger, etc.). En 2017, elle apparaîtra dans la troisième saison de la série télévisée Versailles. Au casting de la nouvelle série télévisée française Un si grand soleil, dont la première a eu lieu en septembre 2018, elle jouera un rôle récurrent aux côtés de Mélanie Maudran et Valérie Kaprisky.

Son apparence physique lui permet de faire ses débuts de mannequin à Paris, où il réside désormais. Par la suite, elle fait quelques apparitions au cinéma avant de devenir la vedette de La Belle Captive (1983).

Au cours des années 1980 et 1990, la jeune actrice enchaîne les rôles variés, dont ceux du Prix du danger, Les Fauves, Noyade interdite, Last Song et La Révolution française, et s’impose comme une actrice reconnue. Gabrielle Lazure a également eu une carrière d’actrice internationale réussie, ayant joué dans des films tels que Joshua Then and Now, The Passenger et Down the Store.

Outre la scène et l’écran, l’actrice est apparue dans de nombreuses séries télévisées (Lamantin, Les Périls du Pacifique, Le Grand Patron, Alice Nevers…) et de nombreux téléfilms (Les Tisserands du pouvoir, Femme de voyou, Les louves).

Ses apparitions au cinéma sont plus rares depuis le début des années 2000. Elle a choisi avec soin des rôles tels que La Bande du pharmacie, Les Rivières pourpres, C’est bien une ville et Un heureux événement, entre autres. C’est une actrice aux multiples facettes qui se produit également sur scène et se lance dans une nouvelle aventure en écrivant des chansons et en sortant un album de musique originale.

Gabrielle lazure jeune
Gabrielle lazure jeune

En septembre 2018, elle sera au casting de la série télévisée quotidienne Un si grand soleil, qui sera diffusée sur France 2. La même année, elle publie son autobiographie, Maman…cet océan entre nous, dans laquelle elle raconte son enfance. et sa relation avec sa mère.

Dans le même ordre d’idées, l’actrice a porté le nom de scène à plusieurs reprises; elle a également écrit des chansons et réalisé un court métrage intitulé Regarde-moi en 1996. Maman…cet océan entre nous, son roman autobiographique, paraîtra en septembre 2018 et raconte l’histoire de son enfance et de sa relation avec sa mère, entre autres choses.


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