johan affaire conclue Johan Ledoux est guitariste, chanteur et co-fondateur du groupe de rock français Blankass avec son frère. Il est né le 29 octobre 1972 à Issoudun.
À l’âge de huit ans, il commence sa carrière musicale aux côtés de son frère aîné Guillaume Ledoux, de sa cousine Anne-Sophie Bolender et de son ami Franck en tant que membre du groupe punk Zro de conduit.
Première partie notable de The Clash, U2, Gun Club, etc. comprenait le Znith de Paris.
Sous le pseudonyme de « Georges », il se lance dans une carrière solo.
En 2020, il rejoint l’équipe d’achat de l’émission de téléréalité française Affaire closée.
JOHAN L. LE
Parmi les acheteurs d’Affaire conclue sur France 2 figure Doux, 48 ans. Il a récemment fait une interview avec Femme Actuelle dans laquelle il a parlé de sa carrière, de son travail de rocker dans le groupe Blankass et de son amour des marchés aux puces. Profil de consommateur typique d’une valeur aberrante.
Johan Ledoux, 48 ans, est récemment arrivé à l’émission Affaire conclue de France 2. Vous reconnaîtrez peut-être ce nom car, avec son frère Guillaume, il a cofondé le groupe de rock des années 90 Blankass. Il a parlé de sa double carrière avec Femme Actuelle, expliquant comment il est entré dans le show business des ventes aux enchères.
Modern Girl : Avant même de rejoindre Affaire, vous étiez déjà une célébrité aux yeux des acheteurs de l’émission. Comment passe-t-on d’un théâtre à une vente aux enchères publiques ?
M. Johan Ledoux: Cette transition n’est pas particulièrement dramatique. Malgré la malpropreté de l’environnement, je continue à participer aux activités de mon groupe Blankass. La semaine de confinement a commencé le 14 mars et notre tournée devait commencer ce jour-là. En conséquence, j’ai pu me concentrer sur les soins personnels et m’intéresser toute ma vie à la collection d’objets vintage. Pour moi, c’était l’occasion de faire le pont entre mes deux intérêts : le monde de la télévision et les antiquités que je chéris si profondément.
Qui ou quoi a déclenché cet intérêt pour les magasins de seconde main?
JL : A partir du 29 octobre, j’aurai 48 ans. Depuis que j’ai environ 16 ou 17 ans, j’ai toujours eu du mal à résister à une bonne vente. Le week-end, je visite régulièrement les vide-greniers locaux et les marchés aux puces à la recherche de trésors vintage. Pendant un moment, j’ai pu voir d’où venait tout cet enthousiasme pour l’art et l’histoire de l’art. Mon père était un grand acheteur, et il m’a aussi appris à jouer de la guitare. Enfant, je regardais mon frère Guillaume décharger des antiquités de camions dans des ventes de garage et des marchés aux puces. Il a toujours eu un profond intérêt pour l’histoire et l’archéologie, et quand il était enfant, il nous emmenait souvent dans des sites historiques de la région du Berry, où nous sommes nés et avons grandi. Je me suis engagé à en faire un passe-temps sérieux.
Comment s’est déroulé le processus pour conclure votre casting dans Affaire ?
JL : Pendant la journée, vous pouvez me trouver à Drouot à Paris. Il a un air unique et presque mystique. Là, j’ai rencontré Harold Hessel, l’un des experts présentés dans l’émission, et nous nous sommes immédiatement entendus. En réponse à sa recommandation, j’ai contacté les producteurs de la série, Thomas Burnichon et Vincent Clment.
Y a-t-il une raison particulière pour laquelle vous avez été choisi pour participer?
En plus d’être un rockeur d’un groupe qu’ils connaissaient, ils ont découvert que j’étais un chasseur de bonnes affaires et un collectionneur compulsif. En raison de mon parcours inhabituel, ils m’ont demandé de rejoindre l’équipe des achats.
Cela signifie que vous avez vu la série plusieurs fois avant d’y apparaître.
JL : Je suis un spectateur régulier. Grâce à la rigueur des évaluations, nous acquérons une mine de connaissances sur les éléments et les circonstances entourant leur création. De plus, il y a une sous-culture chaleureuse et accueillante, appréciée et axée sur la famille à explorer. Il y a une qualité humaine là-dedans.
Affaire conclue : Julien Cohen surprend Johan Ledoux avec un défi musical https://t.co/Iohz8R4bJ6 pic.twitter.com/enPq409vB3
— Voici (@voici) January 14, 2021
Comment êtes-vous entré en contact avec tous ces différents acheteurs ?
J.L. : Je ressens une certaine complicité avec Julien Cohen. Nous semblons partager un sens de l’humour similaire. Une atmosphère moins solennelle lors des transactions est bénéfique tant pour les acheteurs que pour les vendeurs. Nous sommes tombés l’un sur l’autre, ne nous connaissant pas du tout. Nous avons passé le week-end ensemble dans un marché aux puces à Sancerre, où nous sommes allés faire des antiquités. En un mot, c’était charmant.