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lyna khoudri ses parents

lyna khoudri ses parents Les préparatifs du Festival International du Film de Cannes vont bon train dans la région Provence-Alpes-Côte d’Azur. Chaque jour est différent et les films de la compétition sont montrés non coupés.


Le 28 mai 2022, les gagnants seront annoncés au monde entier lors de la cérémonie de clôture de l’événement, qui sera présidée par Vincent Lindon. En attendant la cérémonie de remise des prix, tout le monde peut regarder un film, assister à une fête ou fouler le tapis rouge.
Le Palais des Festivals détient le record du plus grand nombre d’étoiles Michelin décernées en un seul lieu. Le public du Théâtre Claude Debussy a été tellement choqué par Nos Voisins de Rachid Bouchareb le 24 mai 2022 qu’il a éclaté d’applaudissements après la fin du film.
Le réalisateur a également appelé à un photocall pour rassembler ses principaux acteurs pour un portrait officiel. Les acteurs Raphael Personnaz, Reda Kateb, Samir Guesmi et Lyna Khoudri étaient présents; cette dernière portait une jupe en cuir et un magnifique haut Channel décolleté, comme l’amie du réalisateur Kristen Stewart.
Lyna Khoudri est, sans aucun doute, l’une des dernières sensations françaises du spectacle vivant. L’actrice de 29 ans, qui a été reconnue comme la meilleure actrice du festival en 2017 pour son travail dans The Blessed de Sofia Djama, et qui sera honorée comme la meilleure émergence féminine des Csars en 2020 pour son travail dans Papicha, n’a pas l’intention de mettre sa carrière en pause.
On la verra ensuite dans les films November de Cdric Jimenez, les deux parties des Trois Mousquetaires de Martin Bourboulon, et Houria de Mounia Meddour. En 2021, elle tourne une scène pour La Dpche franaise de Wes Anderson. Nous ne manquerons pas de garder celui-ci dans notre oreille pendant un certain temps.
The French Dispatch publie des articles écrits dans le style du New Yorker en hommage à la tradition du journalisme littéraire américain du 20ème siècle (pour le plus grand plaisir du père journaliste de Khoudri).
Le film met en vedette Bill Murray dans le rôle d’un personnage basé sur le cofondateur du New Yorker, Harold Ross; la distribution de soutien comprend de nombreux vétérans d’Anderson (Tilda Swinton, Anjelica Huston, Jason Schwartzman, Owen Wilson, Frances McDormand), ainsi que de nouveaux venus notables (Elizabeth Moss, Timothe Chalamet et Khoudri).
Le film se déroule dans les années 1960 et présente des scènes de cette époque, telles qu’une émeute étudiante, un enlèvement et l’incroyable histoire d’un artiste emprisonné, ainsi que des allusions à la Nouvelle Vague française dans la veine de Truffaut (Anderson a fait sa montre de casting stellaire Les 400 coups, entre autres classiques). Khoudri joue le rôle de Juliette, une étudiante fervente et activiste, dans la seconde moitié du film, qui s’inspire des émeutes parisiennes de mai 1968.
Elle part au combat armée d’une moto, de lunettes de protection, d’un casque et d’un petit miroir pour affronter Zeffirelli, le leader charismatique du mouvement et l’architecte du programme politique imparfait. Juliette lui dit: « Je ne suis pas du tout d’accord avec tout ce que tu dis », juste avant qu’ils ne tombent amoureux et aient des relations sexuelles.
L’intrigue est centrée sur un groupe militant illogique mais divertissant. Selon Khoudri, leurs demandes n’ont aucun sens. Elle avait étudié les œuvres tout aussi extraites d’artistes Dada en préparation de cela, et celles-ci avaient à leur tour influencé l’Internationale situationniste, une organisation artistique / politique clé dans les événements de 1968.
À la veille de la guerre civile qui allait déchirer l’Algérie pendant une décennie dans les années 1990, Khoudri est né dans la ville d’Alger. Son père, comme beaucoup d’autres journalistes dans le pays, a reçu des menaces de mort, de sorte que la famille a déménagé en France quand elle était assez jeune. Grâce à son jeu d’acteur, Khoudri a pu renouer avec son héritage tout en contribuant à revitaliser la scène culturelle algérienne.
Elle répond : « Je voulais vraiment tourner en Algérie » lorsqu’on l’interroge sur son premier rôle principal dans le film The Blessed de Sofia Djama en 2017, une image dévastatrice de l’Alger moderne au lendemain de la guerre civile. L’auteur la dépeint comme une nation en pleine crise d’identité en raison de ses récentes difficultés.
Même avant la guerre civile, l’histoire coloniale de l’Algérie – des Ottomans aux Français – était tumultueuse (dont l’Algérie a obtenu son indépendance en 1962). Elle s’exclame : « Je pense que c’est tellement incroyable de pouvoir aider à façonner l’histoire d’une nation.
Devant un café à Paris, Mounia Meddour s’adresse aux étudiants algériens sur le sujet de la décennie noire du pays. La fille d’Azzedine Meddour, pionnier du septième art de la culture berbère, est née à Moscou en 1978 et est aujourd’hui un membre actif de la communauté cinématographique.
Celui qui crée une œuvre d’art politique qui résonne et inspire ses électeurs pour toujours: Le film Papicha, qui a été présenté en première mondiale au 72e Festival de Cannes dans la section Un Certain Regard et a été nominé pour un Oscar dans la catégorie Couleurs algériennes du meilleur film en langue étrangère, met en lumière un pays déchiré par la guerre civile depuis trois décennies.


Le réalisateur montre les côtés optimistes et tragiques de son Algérie natale en suivant Nedjma (Lyna Khoudri, qui a été vue pour la première fois dans The Blessed en 2017) alors qu’elle vaque à ses occupations quotidiennes et refuse de s’engager dans des activités terroristes au nom de sa liberté.
À l’âge de dix-huit ans, je vivais en Algérie et fréquentais une école de journalisme, où je m’appelle Mounia Meddour. Je partageais une maison avec cinq jeunes filles pendant cette période. On pourrait dire que nous avons fait un effort important. Certains d’entre nous voulaient parcourir le monde, d’autres voulaient gravir les échelons de l’entreprise et d’autres encore voulaient s’installer et fonder une famille.


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