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maladie des jambes sans repos

maladie des jambes sans repos Les causes des perturbations du sommeil comprennent le syndrome des jambes sans repos (SJSR), également connu sous le nom d’agitation, l’agitation nocturne, le syndrome d’agitation ou la maladie de Willis et Ekbom. Non seulement cela perturbe votre capacité à vous souvenir ou à vous concentrer, mais cela vous rend également malade. Compléter le mode de vie et les changements alimentaires avec des médicaments peut être nécessaire pour les cas graves.
EXPLIQUEZ LE SYNDROME DES JAMBES SANS REPOS, S’IL VOUS PLAÎT.
L’incapacité de dormir, de se souvenir des détails et de se concentrer sur les tâches sont tous des symptômes du syndrome des jambes sans repos. Le malaise est un symptôme courant du vieillissement. Entre 5 et 10% des personnes de plus de 50 ans connaissent régulièrement des cas légers à modérés. L’irritabilité est plus fréquente chez les personnes obèses et chez les personnes atteintes de maladies comme le diabète, la polyarthrite rhumatoïde, l’insuffisance rénale chronique, l’hypothyroïdie, la sclérose en plaques et la maladie de Parkinson.
DE QUELLES FAÇONS LE SYNDROME DES JAMBES SANS REPOS SE PRÉSENTE-T-IL?
Les personnes impatientes ressentent souvent une envie irrésistible de bouger leurs jambes, même assises dans une position confortable comme au lit, dans un fauteuil, lors d’un spectacle, etc. Ces symptômes affectent les membres inférieurs (généralement les deux jambes) et parfois les membres supérieurs (rarement les bras). L’impatience peut provoquer de brefs réveils, parfois de quelques secondes seulement, même si la personne qui les éprouve est par ailleurs profondément endormie. L’individu se réveille en se sentant non rafraîchi, ce qui suggère que son sommeil n’a pas servi son but.
En effet, leurs jambes bougent de manière erratique pendant qu’ils dorment, le pied se redressant et la jambe se pliant soudainement. Ces soubresauts, qui sont vécus par 80% des patients, peuvent être très frustrants pour un conjoint ou un proche. Les épisodes du phénomène se produisent entre cinq et vingt minutes, et le taux d’occurrence est d’environ une fois toutes les trente secondes. Les crampes nocturnes sont souvent plus douloureuses que l’agitation nocturne, mais les deux conditions ont des symptômes différents.
À QUEL POINT EST-IL DANGEREUX D’AVOIR LE SYNDROME DES JAMBES SANS REPOS?
Les cas très graves de syndrome des jambes sans repos (environ 4% de tous les cas) peuvent causer de graves perturbations du sommeil et avoir des conséquences profondes sur la vie personnelle, sociale et professionnelle d’une personne.
Un cas individuel de syndrome des jambes sans repos
L’envie (urgente et irrésistible) de bouger les jambes, accompagnée de sensations désagréables dans les membres inférieurs au repos, caractérise le syndrome des jambes sans repos (SJSR), un trouble chronique.
L’impatience fait référence à une gamme d’émotions négatives qui comprennent:
douleur, tiraillement, sensation semblable à un « choc électrique » et picotements dans les cas plus graves du syndrome.


Ces symptômes se manifestent généralement également dans les deux jambes, bien qu’ils puissent être plus prononcés dans l’une d’elles. Ils produisent invariablement un désir irrésistible de bouger les jambes, obligeant le porteur à se lever et à marcher. Le mouvement des jambes, cependant, atténue les effets pénibles de la maladie.
Ces agitations se produisent lorsque vous êtes détendu, généralement couché, tard dans la nuit alors que vous vous préparez à dormir ou pendant que vous dormez. Cependant, ils ne sont pas limités aux heures de nuit ou lorsque l’on est allongé dans son lit (lors d’une réunion, par exemple).
Le trouble du sommeil connu sous le nom de « syndrome des jambes sans repos », « maladie de Willis et Ekbom » ou « impatients » a plusieurs noms différents.
On peut vivre des périodes d’impatience sans réellement développer le syndrome des jambes sans repos.
Trouble périodique du mouvement des membres (PLMD) ou syndrome des jambes sans repos (SJSR) pendant le sommeil (MPS)


Quatre-vingt pour cent des personnes atteintes de SJSR déclarent avoir des contractions musculaires pendant leur sommeil. Cette condition est également connue sous le nom de mouvements nocturnes périodiques, mouvements périodiques pendant le sommeil ou mouvements périodiques des membres inférieurs.
Les muscles des jambes et des pieds sont affectés par ces mouvements involontaires, ce qui entraîne une extension du gros orteil et une flexion du pied. La flexion du genou et de la hanche sont des résultats possibles.

Plusieurs fois au cours de la nuit, elles se produisent toutes les 20 à 40 secondes sous forme d’attaques de 5 à 20 minutes (parfois même pendant la journée).
Les micro-réveils provoqués par ces mouvements fragmentent davantage le sommeil, donnant l’impression d’une mauvaise qualité.
Le partenaire peut également avoir l’impression de recevoir des « coups de pied » dans la nuit en raison de ces tremblements.


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