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Manifestant mort paris

Manifestant mort paris; En 1962, après le coup d’État d’Alger, la situation en France est tendue à l’extrême. La ville de Paris est en pleine ascension, et une manifestation est prévue. La place de la Bastille doit être atteinte par plusieurs chemins. Cette dernière a été interdite par Maurice Papon, alors préfet de police, mais les syndicats ont accepté de la conserver. Jusqu’à 18h30 environ, tout se déroule dans un silence absolu.

Manifestant mort paris
Manifestant mort paris

Les ordres de dispersion devaient être émis à 18 heures, selon l’horaire du service de police. Lorsque l’ordre de disperser le peuple fut donné par la préfecture, le cortège le plus avancé fit demi-tour et retourna à son point de départ. Un groupe de manifestants a tenté de partir par la station de métro Charonne.

Les flics ont lancé une attaque, utilisant la force et des matraques en bois pour atteindre leurs objectifs. Neuf manifestants sont morts dans les escaliers de la station de métro Charonne, soit à la suite de fractures du crâne, soit après avoir été écrasés par la foule alors qu’ils attendaient de monter dans le train. Toutes les victimes étaient membres du syndicat CGT et, à l’exception d’une, étaient également membres du Parti communiste.

Les policiers ont jeté des grilles sur les gens.

A l’époque, le procureur de la République écrivait : « Je pense qu’il est important de mentionner ici le fait que certains témoins, entendus au cours de l’enquête, ont déclaré avoir été témoins d’actes de violence commis par certains membres des forces de l’ordre qu’ils Les jets d’objets comme les grilles en fer, généralement fixées au pourtour des arbres de l’avenue, et les grilles d’aération du métro, souvent situées au niveau ou à proximité de ses trottoirs, sont des exemples de ce type de comportement.

Ces composants métalliques pèsent très lourd (40 kg pour les premiers, 26 kg pour les seconds). Certains témoins ont affirmé avoir vu des flics lancer des grilles sur des manifestants près de l’entrée de la station de métro. Au moins trois de ces grilles ont été découvertes au pied des marches à l’entrée du métro après la manifestation et y ont été saisis par le personnel de la station, semble-t-il confirmé.

En fait, plusieurs décès ont été liés aux “grilles” de police, qui ont été mises en place pour prévenir la criminalité. Selon les comptes rendus des médias de cette année-là, plus de 250 personnes ont été blessées au total.

Dans des messages obtenus par l’AFP, des membres du « convoi de la liberté », qui s’opposent aux restrictions sanitaires et notamment au laissez-passer de vaccination, expriment leur désir de devenir citoyens des États-Unis « une nuée de véhicules que la police ne pourra pas contenir à moins que ces derniers ne deviennent eux-mêmes une pierre d’achoppement pour les principales artères de la capitale. Quelques dizaines de dépanneuses ne pouvaient pas faire grand-chose face à plusieurs milliers d’automobiles à la fois immobiles et en mouvement, comme l’explique l’un des messages.

La préfecture de police de Paris a annoncé sur Twitter qu’elle “continuerait à travailler diligemment” sur une enquête administrative après la diffusion d’une vidéo prise lors d’une manifestation contre les “convois de la liberté” qui était interdit dans la ville samedi.

On y voit un policier armer son arme de service contre le conducteur d’une voiture lors d’une poursuite à grande vitesse près de l’Arc de Triomphe, comme le montrent des photographies diffusées par le journal de 20 heures de TF1.

La voiture blanche est ornée d’un drapeau tricolore, et son conducteur ne semble pas intéressé à s’arrêter, malgré la présence de policiers dans un véhicule de police aux gyrophares éclairés. Depuis, la diffusion de cette vidéo a suscité un débat sur les plateformes de médias sociaux.

Rapport de performance globale de samedi
Selon la préfecture de police de Paris, 97 personnes ont été interpellées et 513 verbalisations ont eu lieu lors des manifestations contre l’autoproclamation des “convois de liberté”. La préfecture a également publié dimanche sur Twitter un “bilan global” sur les manifestations.

Vendredi dernier, les forces de l’ordre étaient en place.

Cependant, face à eux, la préfecture de police – qui avait auparavant interdit leur rassemblement et le blocage de la circulation – s’est arrangée. Près de 7.200 policiers et gendarmes “seront déployés au cours des trois prochains jours pour faire respecter les restrictions sur les convois de véhicules”, selon l’Associated Press. Selon Didier Lallement, le préfet de police a “construit un certain nombre de fourrières provisoires qui (…) permettront à plusieurs dizaines de dépanneuses de déblayer toute obstruction”, qu’il a qualifié de “grand nombre de fourrières provisoires”.

Selon le parquet, vers 6 heures du matin, 81 personnes étaient à l’affût, dont Jérôme Rodrigues, l’un des visages du mouvement des “gilets jaunes” et partisan actif des convois anti-pass. Selon une source judiciaire, il a été placé en résidence surveillée pour « appartenance à une manifestation illégale et implication dans un groupe formé dans l’intention de commettre des violences ».

Manifestant mort paris
Manifestant mort paris

La préfecture de police de Paris a également annoncé que pendant les heures de nuit de samedi et dimanche, des agents de la Sûreté Publique de Paris seront stationnés dans le secteur des Champs-Élysées et du Bois de Boulogne afin de verbaliser et de disperser ceux qui participent à une manifestation illégale.

Un rassemblement européen aura lieu lundi à Bruxelles.
La préfecture de police a finalement indiqué que des postes de contrôle resteraient en place dimanche le long de plusieurs artères de la ville jusqu’à ce que la situation soit réglée. L’ordre des organisateurs du convoi anti-pass est de prendre la route à 10 heures lundi et de se rendre à Bruxelles, où un grand rassemblement est prévu. Une source policière anonyme a déclaré que tous les participants ne sont pas tenus de suivre cet ordre.

De nouveaux « Convois de la Liberté » sont prévus à Paris le 6 mars et à Strasbourg le 19 mars prochain, selon plusieurs manifestants sur place.

Le mois de décembre 1986. Nous avons atteint un état de cohabitation complète. François Mitterrand est président de la République et Jacques Chirac est son Premier ministre, après la victoire du RPR aux élections législatives de mars 1986. Le gouvernement est dans l’impasse sur un projet de loi relatif aux libertés des établissements d’enseignement supérieur.

La réforme des établissements d’enseignement supérieur, proposée par Alain Devaquet, le ministre délégué chargé de la recherche et de l’enseignement supérieur, vise à instaurer une sélection à l’admission à la faculté universitaire. La contestation a pour but d’empêcher le destinataire de recevoir. Au lieu de réprimer le mouvement, la réponse du gouvernement a été d’intensifier la violence, avec des dizaines de jeunes rejoignant les rangs des casseurs dépolitisés de l’époque.


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