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Marsupilami animal vrai photo

Marsupilami animal vrai photo; Bien sûr, le Marsupilami qui apparaîtra sur les écrans de télévision mercredi n’existe pas ! Malgré cela, cette espèce de liaison a captivé des scientifiques sérieux pendant des décennies, et elle a gagné une position dans le règne animal quelque part entre le singe et l’ornithorynque, selon certaines estimations. L’appellation “Le Marsupilami” désignait à l’origine l’individu capturé puis adopté par Spirou et Fantasio, qu’ils n’ont jamais pris la peine de nommer car il était le seul spécimen connu au moment de sa capture et de son adoption. L’album Spirou & Fantasio Le nid des Marsupilamis présente encore plus de personnages marsupilami, dont aucun n’est gardé en captivité ; l’album concerne principalement un documentaire dans une bande dessinée sur la vie d’une famille de marsupilamis qui vit à l’état sauvage en Palombie, racontée à travers les yeux des personnages.

Marsupilami animal vrai photo
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Cette famille apparaît dans la dernière série dérivée Marsupilami, qui est dessinée par Batem, et le titre de la série “Marsupilami” fait référence au père de cette famille, qui est également non identifié, plutôt qu’à l’animal de compagnie Marsupilami appartenant à Spirou et Fantasio, qui apparaît dans la série.

L’épouse de Marsupilami est appelée Marsupilamie (une forme féminine du nom), mais leurs trois enfants reçoivent respectivement les noms de Bibi, Bibu et Bobo dans cette série télévisée. Un autre exemple, Mars le noir (Mars the Black), se trouve dans l’album Mars le Noir, où il apparaît pour la première fois. Ancien marsupilami captif, il a d’abord du mal à revivre dans la forêt.

Après avoir échoué à attirer Marsupilami,

Il devient envieux de Marsupilami et se rapproche dangereusement de s’engager dans une confrontation physique avec lui. Plus tard, il rencontre une femelle marsupilami noire appelée Vénus, qui devient sa compagne et devient l’un de ses enfants. Le film Baby Prinz comprend également un autre spécimen, un vieil homme qui vit dans un zoo, comme personnage central. Il y a un total de huit spécimens en Palombie, plus l’animal de compagnie de Spirou et Fantasio, pour un total de dix.

En plus du jaune, du jaune avec des taches noires et du noir, on a également observé que les Marsupilamis présentaient une variété de colorations de fourrure inhabituelles, notamment le blanc, le blanc avec des taches noires et le noir avec des taches jaunes. En raison des différences trouvées au sein de la famille principale Marsupilami dans la bande dessinée Marsupilami et la série animée française mettant en vedette la même famille, les couleurs de fourrure les plus souvent vues sont le jaune avec des points noirs, le jaune sans taches et le noir partout.

Il y a cinquante ans, en 1952, cela s’est produit. Deux aventuriers intrépides, Spirou et Fantasio, découvrent une créature pas comme les autres dans la forêt vierge de Palombie, un pays proche du Brésil, au pelage jaune tacheté de noir qu’ils n’ont jamais vu auparavant.

Le Marsupilami est né. Il annihile complètement l’imagination prolifique de l’illustrateur belge André Franquin, qui tentait de pimenter les aventures de Spirou, le palefrenier d’hôtel le plus célèbre de l’histoire de la BD.

Marsupilami animal vrai photo
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L’Institut d’histoire naturelle de Bruxelles reçoit un appel téléphonique trente ans et de nombreux albums après sa première réception par l’institution. « J’ai répondu à votre message. C’était le cas de Franquin. Il cherchait des conseils pour donner à son animal un nom scientifiquement correct », relate Alain Quintart, l’un des responsables de l’association.

Fan de Big Bang Theory, le scientifique décide de se prêter au jeu et se lance dans une enquête approfondie sur cet animal cosse, qu’il nomme “Marsupilami franquini” en l’honneur de son créateur, qui l’a inspiré à le faire.

Ses découvertes seront publiées dans la

Prestigieuse revue scientifique belge “Les naturalistes belges” dans un article qui sera établi selon les règles du Système International de Nomenclature Animale (ISN) et sera publié en 1989.

La canule a provoqué une certaine consternation chez les sourcilleux chercheurs, mais elle a été validée dans le rapport annuel de la prestigieuse Zoological Society of London.

“Ce sens de l’humour au second degré fonctionnait bien dans le milieu scientifique car Franquin, qui connaissait bien le règne animal, avait imaginé une créature presque impossible à croire”, explique Alain Quintart.

Le Marsupilami “est une incroyable synthèse de plusieurs espèces” qui “allie le primitif au très évolué”, selon la vétérinaire spécialiste Marie-Claude Bomsel, qui a participé à l’exposition “Le Monde de Franquin” à la Cité des sciences de Paris en 2004. “Il a le comportement d’un marsupial, comme le kangourou”, “fait des nids dans les arbres, comme les gorilles”, est “amphibie, comme les mammifères marins”, “a le pelage d’un félin”, et “a l’intellect des grands singes”.

Dans son album “Le nid des marsupilamis” (1956), Alain Quintart classe l’animal dans la sous-espèce des monotrèmes, mammifères qui, selon l’expression de l’ornithorynque, “ont le caractère distinctif caractéristique de pondre des œufs et d’allaiter leurs petits.”

Le Marsupilami serait un animal presque typique s’il n’avait pas sa queue spectaculaire de huit mètres de long, qui lui sert de ressort, d’hélice, d’arme (notamment pour les boxeurs), de balançoire, de canon de pêche ou d’instrument de séduction.

Franquin a eu l’idée en observant, avec un groupe d’amis, un récepteur de tramway à Bruxelles. “C’était un environnement au rythme effréné, et il avait beaucoup à faire : il devait distribuer des billets, ouvrir et fermer des portes, donner des signaux de départ et d’arrivée aux passagers. “Nous sommes arrivés à la conclusion qu’il avait besoin d’un organe supplémentaire. pour remplir ses multiples fonctions : une sorte de queue-de-rat qui surgirait de derrière son veston”, écrit l’auteur dans son livre “Et Franquin créa Lagaffe.” “…..

La longueur de sa file d’attente préhensile peut atteindre 8 mètres4. L’escalade est principalement utilisée pour la locomotion : elle permet au marsupilami de se déplacer à vitesse constante entre les arbres, et elle peut servir de ressort ou de roue. Il sert également de plate-forme d’observation, permettant au marsupilami de s’élever au-dessus de la canopée des arbres et d’avoir une vue panoramique de tout son habitat.

Il peut également être utilisé comme arme, notamment lorsqu’il est utilisé pour infliger une blessure ou lorsqu’il permet à la victime d’immobiliser sa proie. La file d’attente est également l’outil le plus important pour lui lorsqu’il s’agit de pêcher. Elle est également utilisée comme instrument de jeu (par exemple, une balançoire) et pour des manœuvres de séduction lors du cortège nuptial. Enfin, elle aide au transport des enfants durant leur première année de vie.

Les observateurs de cet ovipare, en revanche, sont interloqués par son nombril. L’importance du nombril est montrée dans L’Encyclopédie du Marsupilami : c’est un outil d’éducation et de transmission des savoirs ; par exemple, lorsqu’un jeune marsupilami décide de nidifier, il colle son oreille contre le nombril de sa mère. Peu de temps après, il est capable de construire son propre pansement à base de plantes.

Au terme de ses recherches, Alain Quintart a réalisé plusieurs expositions et conférences sur le Marsupilami, qu’il décrit comme “un excellent outil pédagogique” pour vulgariser le bien-être animal et la protection de la forêt amazonienne menacée par la déforestation.


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