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Narumi kurosaki disparition

Narumi kurosaki disparition; La recherche de Narumi Kurosaki a mené les enquêteurs de la France au Japon, en passant par le Chili et l’Espagne, et a duré plus de cinq ans sans apporter la moindre réponse à la question centrale : où est-elle partie ? Malgré le fait que son corps n’ait jamais été retrouvé, les enquêteurs ont conclu depuis longtemps que l’étudiante japonaise de 21 ans disparue à Besançon en décembre 2016 n’est plus en vie et qu’elle est décédée.

Narumi kurosaki disparition
Narumi kurosaki disparition

Nicolas Zepeda, son ancien ami d’enfance, est la cible des soupçons des enquêteurs, rapidement confirmés. Ce citoyen chilien de 31 ans, extradé de son pays d’origine et mis en examen pour “assassinat” en juillet 2020, sera jugé à partir de mardi devant la cour d’appel du Doubs. Peut-être que l’issue du procès nous aidera à comprendre ce qu’il est advenu de la jeune Japonaise qui n’a plus montré de signes de vie depuis le 5 décembre 2016.

Elle a une obligation financière de payer

Ce jour-là, la demoiselle n’est pas en séance. Une absence qui n’a rien à voir avec l’étudiante sérieuse et dévouée, telle que décrite par ses amis et sa famille, qui avait obtenu une bourse pour étudier au Centre linguistique appliqué (CLA) de Besançon, qui avait disparu. La chambre 106 de la résidence Rousseau, où Narumi Kurosaki résidait depuis le mois de septembre, a été perquisitionnée par les enquêteurs, quelques jours après sa disparition.

Il semble que la pièce soit en ordre, sans aucune preuve de lutte ou de sang. Tout est à sa place : son sac, sa carte bancaire, son portefeuille, et même 500 euros en espèces sur sa personne. Il lui manque cependant deux indispensables : sa valise et une housse pour sa chaise. Les enquêteurs sont désormais certains qu’il ne s’agissait pas d’une disparition volontaire de la part de la victime. Un service de renseignements judiciaires en vue d’expulsion et de séquestration sera disponible dès le lendemain, le 16 décembre.

Si son ami d’enfance, Arthur, est le premier identifié, les soupçons se tournent rapidement vers Nicolas Zepeda, avec qui elle a eu une brève relation quelques mois auparavant. De plus, elle est la dernière personne à avoir vu Narumi Kurosaki dans son état naturel. Les anciens amants se sont reconnectés en octobre 2014 à l’université de Tsukuba au Japon, où ils s’étaient précédemment rencontrés. Après un an et demi de fréquentation, la jeune femme déménage en France et commence à se séparer de son petit ami. C’est un scénario qui n’augure rien de bon pour Nicolas, d’autant plus que Narumi a entamé une nouvelle relation, cette fois avec Arthur.

En septembre 2016, le Chilien a mis en ligne une vidéo sur YouTube, qui a depuis été supprimée, dans laquelle il s’adresse directement à la jeune femme en disant : « Récemment, Narumi a fait de mauvaises choses, ce qui l’oblige à suivre certaines règles afin de garder ce relation amoureuse […]. Si Narumi est en mesure de respecter ces règles pendant une période de deux semaines, je laisserai ces conditions en place sans aucune conséquence […].

Le 29 mars, un procès historique à Besançon doit débuter à Besançon. Nicolas Zepeda, un Chilien de 31 ans, témoignera devant la cour d’appel du Doubs de l’assassinat qu’il a toujours été nié de son ex-petite amie japonaise Narumi Kurosaki, portée disparue depuis décembre 2016.

Une affaire qui a été suivie non seulement du Japon, pays d’origine de Narumi Kurosaki, dont le corps n’a jamais été retrouvé, mais aussi du Chili, où l’accusé a été extradé en 2020.

Nicolas Zepeda, la dernière personne à avoir vu vivante l’étudiante japonaise Narumi Kurosaki, s’est rapidement hissée en tête de liste des suspects à la suite de ses agissements lors de la dernière nuit qu’elle a passée à la résidence universitaire de Besançon, où elle séjournait avec elle. petit ami.

Conformément aux allégations, le Chilien

Qui ne supportait pas sa séparation d’avec l’étudiante, s’était rendu à Besançon et l’avait assassinée dans son dortoir universitaire avant de débarquer du cadavre dans les montagnes du Jura, où serpente le Doubs.

Le 29 mars, à 9 heures, la salle d’audience ouvrira ses portes et devrait durer jusqu’au 12 avril. Nicolas Zepeda demande l’incarcération permanente après avoir été reconnu coupable d’un crime.

Selon l’allégation, la jeune Chilienne qui ne supportait pas la rupture était revenue à Besançon et l’avait assassinée dans sa résidence universitaire avant de débarquer du cadavre dans les immenses forêts du Jura, où serpente le Doubs.

Nicolas Zepeda, aujourd’hui âgé de 31 ans, est détenu en détention provisoire à Besançon depuis juillet 2020, après son extradition par les autorités chiliennes, remportée au terme d’une longue bataille par la justice française.

Le jeune homme tombé amoureux de Narumi sur le campus de l’université japonaise de Tsukuba n’a jamais été tenu pour responsable de sa mort, selon Me Jacqueline Laffont, surtout connue pour avoir été l’avocate de l’ancien présentateur de TF1 Patrick Poivre d’Arvor et l’ancien président français Nicolas Sarkozy, entre autres.

Conséquence de la médiatisation de cette affaire, le prévenu se retrouve “presque soulagé” par la perspective de pouvoir enfin s’expliquer et être entendu, selon la défense. “Il arrive déterminé”, clame la défense.

Narumi kurosaki disparition
Narumi kurosaki disparition

C’est l’un des problèmes les plus difficiles auxquels les enquêteurs sont confrontés dans cette enquête. Narumi Kurosaki, alors âgée de 21 ans, est portée disparue depuis le 4 décembre 2016. Nicolas Zepeda a avoué avoir passé la dernière nuit de décembre avec elle dans son journal. Par ailleurs, d’autres témoins affirment avoir entendu “des cris terroristes” et un bruit aigre “comme si quelqu’un était jeté à terre” au cours de la nuit précédente, alors qu’aucun appel n’avait été fait à la police.

Malgré des recherches approfondies, le corps de Narumi n’a jamais été retrouvé, malgré plusieurs efforts. Et aucune trace de sang ou de lutte n’a été découverte dans la chambre de l’étudiant, laissée dans cet état depuis cinq ans. Tous ses effets personnels sont présents, à l’exception d’une valise et d’une couverture.

Selon la défense, l’absence de corps dans le cas de Nicolas Zepeda est une omission importante dans les charges retenues contre lui. Ses parents ont exprimé leur mécontentement lors d’un entretien avec le JDD en février, affirmant que les accusations étaient “partiales” et qu'”aucune preuve scientifique” n’avait été apportée, ainsi que “l’enquête a été menée sur la base d’hypothèses et de suppositions”.

Elle doit accepter la responsabilité de ce qu’elle a fait et accepter qu’elle ne pourra pas traverser le monde en faisant ce genre d’erreurs avec quelqu’un qui lui tient à cœur. Entre le moment de leur séparation, survenue fin août 2016, et le jour de leurs retrouvailles, le 8 octobre 2016, Nicolas et Narumi ont échangé plus de 1.000 textes, dans lesquels il a alterné entre déclarations d’amour et insultes.


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