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Né en 17 à leidenstadt analyse

Né en 17 à leidenstadt analyse; La chanson “Né en 1917 à Leidenstadt” a été écrite et composée par Jean-Jacques Goldman, et on la retrouve sur l’album “Fredericks Goldman Jones”. Le mot “Leidenstadt” est inventé; il signifie littéralement “ville de la douleur” et fait référence à une ville inventée qui représente tous les tourments et toutes les angoisses liés à la guerre. Les paroles de cette chanson incluent des références à la fois à la perte des Allemands pendant la Première Guerre mondiale et à la croissance du nazisme dans les décennies qui ont suivi la guerre.

Né en 17 à leidenstadt analyse
Né en 17 à leidenstadt analyse

Comme le montrent les paroles, Goldman se demande

S’il se serait ou non comporté de la même manière que les Allemands pendant cette période de l’histoire. Il se demande : « Aurais-je été meilleur ou pire que ces gens / Si j’avais été allemand ? et “Nous ne saurons jamais ce que nous avons vraiment dans nos ventres”, entre autres questions. Il y a beaucoup de questions qui se posent, dont une qui demande quelle position nous aurions prise tout au long de la restauration de l’Allemagne. Dans ce genre de cadre, sommes-nous capables d’exprimer nos propres points de vue ? Doit-on choisir un camp où séjourner ? De quelle manière prenons-nous en compte le climat politique de notre nation lors de la prise de décisions ?

Goldman, Fredericks et Jones chantent chacun une parole dans “Born in 17 in Leidenstadt” qui est associée à leur propre récit personnel. Alors que Carole Fredericks spécule sur ce que cela aurait été de vivre à Johannesburg à l’époque de l’apartheid, Jones spécule sur ce que cela aurait été de vivre dans les Docklands de Belfast à l’époque du conflit entre catholiques et protestants. Jean-Jacques Goldman, pour sa part, spécule souvent sur ce qu’aurait pu être sa vie s’il était né à Leidenstadt, en Allemagne, en 1917 plutôt qu’aux États-Unis.

Ces chansons sont un véritable reflet de l’expérience de vie de cet auteur-compositeur-interprète, qui vient de racines juives en Pologne. Ruth Ambrunn, sa mère, est née dans la ville de Munich en Allemagne. Elle était une militante juive de la résistance. Après avoir constaté une montée de l’extrémisme en Allemagne, les parents de Ruth ont décidé de déménager à Montrouge, en France.

Goldman soutient dans cette chanson qu’il est peut-être né parmi les décombres laissés par la Première Guerre mondiale plutôt qu’à Paris en 1951. Goldman est né à Paris. Malgré cela, la chanson se termine sur une note optimiste et optimiste. Goldman déclare qu’il ne veut plus jamais vivre dans une telle atmosphère d’hostilité et exprime un désir de paix qui durera.

La guerre entre les chrétiens irlandais et les protestants anglais n’est pas fini. La chute du mur de Berlin a eu lieu.
Le message de la chanson : Elle nous pose la question du choix et de l’engagement face à une situation remplacée dans son contexte.

b) Ce que raconte la chanson
La chanson est divisée en quatre parties, les trois premières chantées par un seul chanteur différent et la dernière chantée par tous les chanteurs.
Dans les deux premières strophes, Jean-Jacques Goldman (lui-même Juif) se demandait si, en tant qu’Allemand, il aurait combattu aux côtés d’Hitler ou aurait résisté à son idéologie.

Dans la troisième strophe, Mickael Jones (lui-même Anglais) se demande si, en tant qu’Irlandais, il aurait eu la force de trahir les siens.
Dans la quatrième strophe, Carole Fredericks (en tant que black) se demande, si elle était née blanche et riche, elle se serait rendue compte de l’injustice de la ségrégation raciale.

Durant cette année 1990, Jean-Jacques Goldman enregistre l’album « Fredericks Goldman Jones », qui est le premier album enregistré par le trio Jean-Jacques Goldman / Carole Fredericks / Michael Jones.

Le titre de l’album est devenu par glissement le nom du trio. Interrogé à ce sujet, Jean-Jacques Goldman a expliqué que l’ordre des trois patronymes dans le nom du groupe (Fredericks Goldman Jones) correspondait simplement à l’ordre alphabétique. Il s’agit de la seconde plus grosse vente de Jean-Jacques Goldman ; plus deux millions d’exemplaires ont été vendus.

Message que l’auteur a voulu transmettre :

La chanson « Comme toi » de 1983 faisait référence à ses origines polonaises (per son père), tandis que « Né en 17 à Leidenstadt » rappelle que sa mère est née en Allemagne.

Jean-Jacques Goldman aurait très bien pu naitre 34 ans plus tôt, en Allemagne, au lieu de naitre à Paris XIXème en 1951. Un Allemand né en 1917, dans les ruines de la première guerre mondiale, dans l’humiliation des accords de Versailles qui ont ravagé l’Allemagne dans les années 1930, atteint l’âge de 16 ans en 1933, l’âge de la révolte, mais surtout l’année où Hitler est arrivé au pouvoir.

La chanson pose le problème de la position de l’individu amené à “choisir son camp” dans un pays en conflit. De la même manière, Michael Jones s’imagine en ami de l’IRA, et Carole Fredericks en Blanche à Johannesburg.

Dans la quatrième partie qui sert de conclusion, les chanteurs affirment qu’on ne peut pas savoir ce qu’on aurait fait sous la pression du contexte. Aurait-on été raciste dans Afrique du Sud, terroriste en Irlande or nazi en Allemagne ?

c) La musique
La musique de la chanson est composée d’un seul thème qui single modifie selon les interprètes. Elle begins par une introduction au piano. S’ajoute ensuite un violon, la guitare, la batterie. Les strophes chantées par Goldman sont more axées sur le piano, celle chantée par Jones privilégie la guitare et celle chantée par Fredericks est appuyée sur la batterie. Le refrain regroupe tous les instruments.

A smashing success both in the charts and on the stage

“Born in 17 in Leidenstadt” was an instant hit with the audience from the moment it was released. It’s notable that the song stayed in the Top 50 for a total of sixteen weeks in a row. An interesting aside is that the title made its way back into the rankings in 2013 and then again in 2017. Additionally, a version that was published in both French and English was made available to the public.

Né en 17 à leidenstadt analyse
Né en 17 à leidenstadt analyse

This version, which was given the title ” Born in 17 in Leidenstadt,” was distributed in both the United States of America and the United Kingdom. In 1995, Patrick Bruel played a benefit concert at the Zenith in Paris, and he took the title for himself during that performance.


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