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Nicholas angelich mort

Nicholas angelich mort; Nicholas Angelich, un pianiste américain, est décédé lundi à l’âge de 51 ans, selon son agence. Nicholas, né aux Etats-Unis mais vivant à Paris, souffrait d’une maladie respiratoire, selon un communiqué du service des relations publiques de l’agence. Jacques Thelen rappelle que Nicholas Angelich n’est plus monté sur scène depuis juin 2021, et qu’il s’agit d’une nouveauté. Angelich était un maître pianiste qui a interprété des œuvres pour piano de Beethoven, Brahms et Liszt, ainsi que des œuvres de compositeurs du XXe siècle, tels que Messiaen, Stockhausen, Boulez et Bruno Mantovani, entre autres.

https://en.wikipedia.org/wiki/Nicholas_Angelich

Nicholas angelich mort
Nicholas angelich mort

Sur les plateformes de médias sociaux, le temps était une source de tristesse pour tout le monde. Philippe Cassard fait partie de ceux qui ont exprimé leur “immense mécontentement” à l’idée de voir ses deux collègues s’installer au “paradis des pianistes”, selon ses termes. Avec eux, le temps du concert ne s’inscrit dans aucune chronologie conventionnelle ; on respirait avec eux et on gelait les abcès avec eux.» –

Nos cœurs et nos âmes se sont enveloppés

Des formes de leur imagination», leur dit avec justesse et émotion leur confrère David Kadouch. Selon Esa-Pekka Salonen (chef et compositeur), qui a cité non seulement Radu Lupu et Nicholas Angelich, mais aussi Birtwistle, il y a eu “un jour de tristesse inimaginable…” ce jour-là. Pendant ce temps, Igor Levit est incapable de réprimer le cri incontrôlable de son cœur : « Trois géants de la musique s’en sont allés. Ce fut un jour très triste pour l’industrie de la musique.»

Avec ces trois-là, le genre musical classique est effectivement et brutalement anéanti, grâce à trois talents aussi exceptionnels qu’uniques… Et où l’élan imaginatif ou créatif n’a d’égal que la discrétion et le goût du mystérieux. . La dernière fois que nous avons eu l’occasion de passer beaucoup de temps avec Nicholas Angelich, c’était en 2020, quelques jours seulement avant le Gstaad Music Festival, dont il était le mentor cette année-là.

Nicholas Angelich, un pianiste américain, est décédé lundi à l’âge de 51 ans, couronnant une semaine difficile pour la musique classique. Les plateformes de médias sociaux telles que Twitter sont inondées de tweets hommage.

Originaire des États-Unis, Nicholas Angelich a commencé à apprendre le piano avec sa mère à l’âge de cinq ans.

A sept ans, il donne son premier concert, dans lequel il interprète le Concerto n° 467 de Mozart. A treize ans, il entre au Conservatoire National Supérieur de Musique de Paris.

Ses professeurs ont inclus Aldo Ciccolini, Yvonne Loriod, Michel Beroff et Marie Françoise Bucquet, pour n’en nommer que quelques-uns. Il a remporté le premier prix dans la catégorie piano et musique de chambre.

Qu’est-il arrivé à Nicholas Angelich après sa mort ? Cause de décès et nécrologie
Nicholas Angelich était un pianiste américain bien connu qui est décédé à un jeune âge. néanmoins, la raison de sa mort n’a pas été révélée publiquement.

Afin de garder les funérailles et la nécrologie privées, seuls sa famille immédiate et ses amis proches ont été invités.

Nicholas angelich mort
Nicholas angelich mort

Il interprète des pièces solo de Bach, dont la Suite anglaise n° 2 en la mineur et Chopin. Le pianiste américain est surtout connu pour ses concerts au Metropolitan Museum of Art avec le fringant combo violon et violoncelle Renaud et Gautier Capuçon. A 19h00 le 4 mars, appelez le 212-570-3949, Fifth Avenue at 83rd Street.

Il avait accepté le rôle avec beaucoup d’enthousiasme et d’humilité, et il était reconnaissant de cette opportunité. «Vous avez tous déjà commencé une carrière professionnelle réussie. Ce n’est pas un problème pour moi de m’imposer à mes élèves en tant que professeur. Je vais me comporter comme si j’étais un collègue. “Je mettrai une paire de boucles d’oreilles à leur disposition”, nous a-t-il dit, affichant la profonde gentillesse et le sens poétique qui le caractérisaient si bien.

Une rencontre avec lui avait toujours été

La promesse d’un avenir qui ne viendrait jamais. Il était aussi présent dans sa vie que dans son jeu. Comme si l’horloge avait été réglée sur une autre heure… Pourtant, pour l’instant, nous ne sommes pas hors du monde. Il avait une préoccupation authentique et sincère pour le bien-être des autres.

Il est né le 14 décembre 1970 dans la ville de Cincinnati, aux États-Unis. Son père était altiste dans l’orchestre de la ville de Columbus dans l’Ohio. Sa mère est pianiste. Nicholas crée ses premières collections en sa présence, ancienne élève de la classe d’Olga Mihalovitch. Mais il était l’héritier d’une tradition qui remontait à l’Oural ainsi qu’à l’influence de l’artiste parisien Alfred Cortot, et il l’ignorait totalement. C’est pour cette raison qu’il voyage en France à l’âge de trente-trois ans, afin de marcher dans ses pas. Les dames suivantes surveilleront sa progression : Yvonne Loriod, Aldo Ciccolini et Michel Beroff après son arrivée à Paris.

Chaque musicien pourra déceler l’extrême sensibilité d’un pianiste qui était bien plus qu’un simple interprète : c’était un artiste-world dont la palette de coloristes a brossé un tableau de paysages souvent inédits, notamment dans les œuvres de Brahms et Beethoven, entre autres. Si le milieu musical français l’a immédiatement adopté, la reconnaissance officielle n’est intervenue que quelques années plus tard, avec un premier Grammy Award en 2013 du meilleur soliste instrumental, suivi d’un second trophée six ans plus tard du meilleur soliste instrumental.

Le soliste de renom était également un fervent supporter du Théâtre des Champs-Élysées à Paris (où il devait se produire lors de plusieurs représentations en juin prochain) et du Festival de la Roque d’Anthéron… Une absence du Le paysage pianistique français sera ressenti, sans aucun doute, cruellement.

Parmi ceux-ci, il y avait certains des jeunes les plus prometteurs. Il aimait citer son ancien professeur, Leon Fleisher, qui a dit un jour : « Enseigner, c’est inviter les gens à se retrouver face à eux-mêmes. Lui-même semble engagé dans une recherche existentielle permanente. « C’est cela qui est le plus important : aller le plus loin possible dans une recherche, qu’elle soit artistique, humaine ou une combinaison des deux. À ce moment-là, alors que tout va si vite, il faut jouer le rôle de chef d’orchestre, comme il l’a dit.

Avec la publication de cette annonce, il y a eu une vague d’éloges pour un musicien qui excellait à la fois dans les répertoires romantiques et contemporains. Selon son compte Twitter, l’altiste Renaud Capuçon a rendu hommage à un “pianiste d’exception” ainsi qu’à un “ami affectueux, loyal et gentil” : “Comme ta sonorité, tu étais à la fois brillant et menaçant (.. .) Je ne jouerai plus jamais une note de Brahms sans être à proximité de vous.


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