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poids baguette tradition

poids baguette tradition Alors que les ingrédients essentiels de la farine, du sel, de l’eau et de la levure restent inchangés depuis l’Antiquité, le nombre de variétés de pain et leurs noms et recettes associés continue de croître.
Existe-t-il une norme pour le coût d’une miche de pain, ses dimensions, son nom, etc.?
Tailles et poids des pains non contrôlés :


Il n’y a pas de lois en place qui spécifient combien de pain doit peser. Le gouvernement a tenté de mettre en place un poids obligatoire pour chaque appellation en 1981, alors que les prix du pain étaient encore très bas, mais cela n’a finalement pas abouti. Les traditions et les comportements régionaux étaient tellement enracinés.
Par exemple, en Ile-de-France, une baguette pèse généralement 250 grammes, mais une flûte ne pèse que 200 grammes, alors que dans la région de Seine-et-Marne, c’est l’inverse.
Même si les désignations régionales diffèrent, les tailles et les poids standard des pains français sont les suivants.
Les 100 grammes de ficelle
Poids de 200 grammes, flûte
La baguette de 250 grammes
Pain normal de 300 grammes
La longueur standard d’une baguette, à la fois fine et longue, se situe entre 55 et 80 centimètres.
Désormais, les réglementations applicables concernant les prix du pain sont les suivantes :
Une loi française de 1978 (décret n° 78-89 P du 9 août 1978) régit l’étalage et le prix du pain dans les boulangeries du pays. Alors que ce dernier était réglementé par un ensemble de directives entre 1979 et 1987, l’artisan boulanger est désormais libre de déterminer la valeur marchande de ses marchandises quand bon lui semble. Pourtant, l’objectif de ce décret est de régir la présentation des prix afin de fournir les informations les plus claires aux consommateurs et de prévenir les pratiques commerciales déloyales. Et c’est mort quand il s’agit de décrire à quel point les étiquettes de produits sont précises.
La politique du magasin exige qu’un panneau d’au moins 2,5 cm de haut et 15 cm de long soit affiché à côté de chaque type de pain disponible à l’achat dans la boulangerie.
Qu’il soit vendu au pain ou au kilo, le nom réel du pain, son poids en grammes (pour les pains vendus séparément pesant plus de 200 g), le prix de vente à la pièce ou au poids, et le prix de vente au kilo (pour les pains vendus individuellement pesant plus de 200 g).
Un tableau récapitulatif des prix du pain, avec un article par ligne, doit également être affiché à la boulangerie.
Identifiez la marque et le type de pain, ainsi que son poids, son prix par portion et son coût par kilogramme (si le pain pèse 200 g ou plus).
Le tableau récapitulatif doit être imprimé sur du papier blanc d’au moins 30 cm de large et 40 cm de hauteur afin d’être facilement lisible à distance. À la fin de la journée, les prix indiqués sont comparés au poids réel d’un certain type de pain pour assurer l’exactitude. Les pains dont le poids varie de 50 grammes à un kilogramme doivent avoir un écart type d’au moins 4 grammes. Cet écart type est déterminé en pesant au moins 10 pains qui sont par ailleurs identiques.
Lignes directrices pour la taille des pains :
Il n’existe aucune source canonique qui spécifie un poids minimum ou maximum pour les pains d’une appellation donnée.
Des procédures commerciales équitables et cohérentes doivent être invoquées en l’absence de texte.
La différence de masse entre le bâton et la flûte est un sujet de recherche courant.
Il semble y avoir des différences régionales dans l’application de ces noms.
Ainsi, en région parisienne, un pain de 250 grammes s’appelle baguette, tandis qu’un pain de 200 grammes s’appelle une flûte.
Pourtant, dans certaines régions, comme la Seine-Maritime, l’usage commercial est différent : une baguette dans cette région serait un pain de 200 grammes, tandis qu’une flûte serait un pain de 250 grammes.
En 1981, lorsque les pouvoirs publics ont commencé à réglementer le prix du pain par le biais d’accords de modération des prix, il a été recommandé que ces désignations soient normalisées de manière à ce qu’une baguette soit égale à un pain de 250 g et une flûte égale à un pain de 200 g.

Les pratiques traditionnelles dans la région ont pour la plupart persisté malgré ces conseils.
Il est essentiel que le poids réel du pain corresponde au poids indiqué sur l’emballage pour éviter d’induire les clients en erreur. Il convient de noter que les normes relatives aux étiquettes de prix du pain stipulent que le prix unitaire et le poids unitaire doivent être affichés (pain vendu à la pièce pesant plus ou égal à 200 g).
Diminuer la teneur en matières grasses du pain:

Pour autant que je sache, il n’y a pas de règles strictes sur les types de pains qui peuvent être vendus ici. Ainsi, les services de contrôle comptent sur un document de 1978 qui traite de la réglementation métrologique de préemballages spécifiques. Ce contrôle est effectué sur un minimum de dix articles de pain de la même catégorie dans son ensemble. Ces pains sont tous pesés et enregistrés individuellement. Lorsque chaque pain a été pesé, le poids total doit être additionné, puis divisé par le nombre total de pains. Cette moyenne doit être cohérente avec le poids déclaré ou affiché. Si le poids moyen des pains est inférieur au poids annoncé, le contrôle est appliqué à tous les pains d’une même catégorie pour trouver le poids moyen. Si le poids annoncé est compris entre 50 grammes et un kilogramme, il ne doit pas être inférieur à 4 grammes. Dans le cas contraire, une violation de l’article L213-1 du Code de la consommation pour « tromperie sur la quantité des objets donnés » se serait produite et un signalement aurait pu être déposé.
Coût du pain:
Certaines règles législatives régissent l’étiquetage des prix du pain afin de maintenir une concurrence loyale et une information claire des clients.
La rédaction actuelle date de 1978 (ordonnance n° 78-89 P du 9 août 1978), et l’article 1er de ce document stipule que les fabricants, les boulangers et les marchands de pain sont autorisés à fixer leurs propres prix pour tous les types de pain et toutes sortes de pâtisseries et pâtisseries fraîches.
De septembre 1979 au 1er janvier 1987, date d’entrée en vigueur de l’ordonnance n° 86-1243 du 1er décembre 1986 qui rétablit la liberté totale des prix, cette liberté de marché du pain a été encadrée par une série de dispositifs successifs (prix plafonds ; accords d’augmentation ; blocage des prix ; accords de modération ; engagement de lutte contre l’inflation).


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