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Pourquoi nelson mandela a été emprisonné

Pourquoi nelson mandela a été emprisonné; Nelson Mandela, 45 ans, a été condamné à mort le 12 juin 1964, avec huit autres membres et sympathisants de l’African National Congress (ANC), engagés dans une lutte armée contre le gouvernement minoritaire blanc. Neuf d’entre eux avaient été appréhendés un peu plus d’un an plus tôt dans une ferme de Rivonia, au nord de Johannesburg, qui servait de lieu de rencontre secret. Le leader de l’ANC Nelson Mandela, qui dirigeait le MK (la branche militaire de l’African National Congress), se cachait depuis août 1962. Cependant, lorsque la police est arrivée sur les lieux, elle a découvert sa carte d’identité.

Pourquoi nelson mandela a été emprisonné

Andrew Mlangeni, l’un des quatre survivants aujourd’hui âgé de 87 ans, se souvient des événements du 12 juin 1964, comme si c’était aujourd’hui, selon lui. «C’est toujours clair comme du cristal», a-t-il déclaré à l’Associated Press. Cela a été qualifié de « moment décisif dans l’histoire de l’Afrique du Sud ».

Mlangleni de l’ANC, qui est actuellement membre du parlement en Afrique du Sud, a déclaré que Mandela avait accepté son sort et avait réalisé qu’il était prêt à mourir pour son combat contre la discrimination raciale. Mlangleni, qui est toujours député, est désormais au pouvoir dans la région.

« Accusation numéro un » dans le « Process of Rivonia », qui a eu lieu à Pretoria entre octobre 1963 et juin 1964, était Nelson Mandela.

Malgré sa nature répressive, le régime d’apartheid était toujours reconnu comme un État légitime et Mandela a réussi à transformer la barricade en tribune politique, attirant l’attention sur lui-même et sur la lutte contre le régime ségrégationniste à l’échelle mondiale.

C’est à ce moment qu’il fit la déclaration suivante en guise de profession religieuse : « J’ai lutté contre la domination blanche et j’ai lutté contre la domination noire. Mon idéal le plus cher a toujours été celui d’une société libre et démocratique dans laquelle chacun peut vivre en harmonie et avec des chances égales de réussite. (…) Si cela devient nécessaire, c’est une situation idéale pour laquelle je suis prêt à mourir.»

Mandela, Mlangleni et six autres militants (dont l’ami de longue date de Mandela Walter Sisulu et Govan Mbeki, le père de l’ancien président sud-africain Thabo Mbeki) ont été reconnus coupables et condamnés à la prison à vie. Neuf d’entre eux sont stationnés à Robben Island, située au large des côtes sud-africaines.

Denis Goldberg, le dix-huitième, a échappé à la capture. C’était complètement blanc. Comme cela a été le cas avec deux autres prévenus qui ont été acquittés. Mais il y a aussi des rumeurs de liens avec le Parti communiste français. Je tiens à vous rappeler que nous sommes actuellement en pleine guerre froide. L’African National Congress (ANC), dirigé par Nelson Mandela, lutte contre l’apartheid. Mandela, qui a commencé sa carrière politique en tant que partisan de la non-violence, a maintenant réalisé que rien n’a changé.

Pourquoi nelson mandela a été emprisonné
Pourquoi nelson mandela a été emprisonné

Et ses actes, selon lui, ont abouti à l’utilisation du sabotage, qui, selon lui, “ne fait pas de mal à la vie humaine tout en offrant les meilleures conditions possibles pour les relations interraciales”. Les cibles sont de nature symbolique : les bureaux du passeport intérieur, qui est un document obligatoire pour les Noirs d’Afrique du Sud, ainsi que la Cour de justice pour les Amérindiens. En un mot, c’est ce que représente l’apartheid. Mandela réussit à obtenir une grève générale en 1961, mais le gouvernement riposte en envoyant l’armée et la police pour y mettre fin.

En sa qualité d’homme le plus recherché au monde

Andrew Mlangeni a déclaré : “Nous espérions que Mandela serait condamné à la peine de mort”, mais “une condamnation à perpétuité a été un choc”. Mlangeni lui-même a passé les 26 années suivantes en prison.

Sa haute silhouette (1,95 mètre) avait été tronquée et son visage était émacié, faisant paraître Nelson Mandela épuisé alors qu’il fêtait son quatre-vingt-quatorzième anniversaire le 18 juillet 2012. Les mythes du monde ne sont pas éternels : l’incarnation de la non-violence à l’échelle mondiale, le héros du mouvement anti-apartheid, le premier président noir du continent africain, a été assassiné, plongeant le pays, qu’il avait réussi à rassembler par-delà les clivages ethniques, dans un état de désarroi sans précédent.

La progéniture de la lignée royale

C’est un destin incompréhensible qui attend ce fils royal, né sur les rives de la rivière Mbashe et prénommé Rolihlahla, qui signifie “celui qui cause des difficultés”. Les autorités du Transkei ont ordonné à son père, le chef de la minuscule communauté de Mvezo, de quitter le pays, selon son fils. Nelson est le nom donné au petit garçon qui s’occupe du bétail et est le premier membre de sa famille à fréquenter l’école, où son institutrice le baptise.

Nelson Mandela, âgé de 45 ans, a été condamné à mort le 12 juin 1964, ainsi que huit autres membres et sympathisants de l’African National Congress (ANC), engagés dans la lutte armée contre le gouvernement de la minorité blanche.

Neuf d’entre eux avaient été appréhendés un peu plus d’un an plus tôt dans une ferme de Rivonia, au nord de Johannesburg, qui servait de lieu de rencontre clandestin.
Suite au massacre de Noirs, Mandela est condamné à la prison à vie pour haute trahison envers les Afrikaners. Il n’est libéré qu’en février 1990 et reçoit le prix Nobel de la paix la même année.

Il poursuit sa lutte contre le système d’apartheid, malgré son incarcération, selon un commentaire en ligne. En 1994, il a été élu par la Chambre des communes. Mandela a été nommé président de l’Union africaine. Cependant, dans l’hémisphère sud du continent africain, il y a toujours une division entre le noir et le blanc.

Le pays compte maintenant 10,7 millions de blancs, 2,8 millions de colons blancs, 1,5 million de colons noirs et 2,7 millions d’Afrikaners dans sa population. Les colons blancs descendent des colons portugais arrivés aux États-Unis au tournant du XIXe siècle.

Ils ont participé à la Révolution portugaise de 1685, sont montés sur le trône en 1795 et ont maintenu leur position de colons du Portugal. En Afrique, les Afrikaners descendent des Hollandais, qui ont établi des colonies le long des côtes du continent et ont pris le contrôle du continent en 1652.

Le dirigeant de l’ANC, Nelson Mandela, qui dirigeait le MK (l’aile militaire du Congrès national africain), se cachait depuis août 1962. Cependant, lorsque la police arriva sur les lieux, elle découvrit sa carte d’identité.

Andrew Mlangeni, l’un des quatre survivants

Qui a aujourd’hui 87 ans, se souvient des événements du 12 juin 1964, comme si c’était aujourd’hui, selon lui. Efficacité. Mais il y a aussi des rumeurs de liens avec le Parti communiste français. J’aimerais vous rappeler que nous sommes maintenant en pleine guerre froide.

L’African National Congress (ANC), dirigé par Nelson Mandela, lutte contre l’apartheid. Mandela, qui a commencé sa carrière politique en tant que partisan de la non-violence, a maintenant réalisé que rien n’a changé. Et ses actes, selon lui, ont abouti à l’utilisation du sabotage, qui, selon lui, “ne cause aucun dommage à la vie humaine tout en offrant les meilleures conditions possibles pour les relations interraciales”.

Les cibles sont symboliques : les bureaux du passeport intérieur, qui est un document obligatoire pour les Noirs d’Afrique au Sud, ainsi que la Cour de justice pour les Amérindiens. En un mot, c’est ce que représente l’apartheid. Mandela réussit à faire déclencher une grève générale en 1961, mais le gouvernement riposte en envoyant l’armée et la police pour y mettre fin.

«C’est toujours clair», a-t-il déclaré à l’Associated Press. Cela a été qualifié de “moment décisif dans l’histoire de l’Afrique du Sud”.

Mlangleni de l’ANC, qui est actuellement membre du parlement en Afrique du Sud, a déclaré que Mandela avait accepté son sort et avait réalisé qu’il était prêt à mourir pour sa lutte contre la discrimination raciale. Mlangleni, qui est toujours député, est désormais au pouvoir dans la région.

“L’accusation numéro un” dans le “Processus de Rivonia”, qui s’est déroulé à Pretoria entre octobre 1963 et juin 1964, était Nelson Mandela.

Malgré sa nature répressive, le régime d’apartheid était toujours reconnu comme un État légitime, et Mandela a pu transformer la barricade en un podium politique, attirant l’attention sur lui-même et sur la lutte contre le régime ségrégationniste à l’échelle mondiale.


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