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quel parent detient lautorité parentale lors dun divorce

quel parent detient lautorité parentale lors dun divorce Pour tester son efficacité, les tribunaux de Bayonne, Bordeaux, Cherbourg-en-Cotentin, Vry, Nantes, Nmes, Montpellier, Pontoise, Rennes, Saint-Denis et Tours exigent désormais des séances de médiation avant d’entendre les demandes de modification des décisions approuvées et des conventions définissant les modalités d’exercice de l’autorité parentale. Jusqu’en 2023, un total de 22 juridictions auront accès à ce système.
Toutefois, s’il y a eu violence contre le parent ou l’enfant, cette obligation ne s’applique pas.
Même si un couple décide de se séparer, ses responsabilités et ses droits en tant que parents de leur enfant mineur ne changent pas (divorce, fin de la cohabitation, dissolution du PACS). Les parents peuvent s’adresser au tribunal s’ils ne parviennent pas à s’entendre sur la façon d’élever leur enfant, l’endroit où ils devraient vivre, qui obtient la garde de l’enfant ou un certain nombre d’autres questions liées à l’éducation et à la vie quotidienne de l’enfant. (Jaff).


Une expérience consistant à demander aux membres de la famille d’arbitrer leurs différences :
Toute demande de modification des décisions et conventions finalisées fixant les modalités d’exercice de l’autorité parentale devant les tribunaux de Bayonne, Bordeaux, Cherbourg-en-Cotentin, Vry, Nantes, Nmes, Montpellier, Pontoise, Rennes, Saint-Denis et Tours doit préalablement faire l’objet d’une phase de médiation expérimentale. Vingt-deux tribunaux supplémentaires pourront utiliser ce système à compter de 2023.
Toutefois, s’il y a eu violence contre le parent ou l’enfant, cette obligation ne s’applique pas.
Même si un couple marié décide de se séparer, ils sont toujours responsables l’un de l’autre et de leur enfant mineur (divorce, fin de la cohabitation, dissolution du PACS). Les parents peuvent aller au tribunal s’ils ne peuvent pas s’entendre sur la façon d’élever leur enfant, où il devrait vivre, qui devrait avoir la garde, ou un certain nombre d’autres questions liées à l’éducation et à la vie quotidienne de l’enfant. (Jaff).
Ces hypothèses pourraient être correctes :
Les deux parents partagent une responsabilité égale en tant que tuteurs lorsque les parents sont mariés.
Si le père a reconnu l’enfant avant que l’enfant n’atteigne l’âge d’un an, il a les mêmes droits parentaux que la mère, même s’ils ne se sont jamais mariés. Dans les cas où le père a reconnu l’enfant après l’âge d’un an, la mère conserve la garde exclusive. Toutefois, une fois que l’enfant est légalement reconnu, le père peut avoir le droit de prendre des décisions importantes concernant son éducation.
Le juge des affaires familiales (Jaf) peut confier la garde légale exclusive d’un enfant à l’un des parents si cela est dans l’intérêt supérieur de l’enfant (par exemple, en cas de maltraitance physique ou psychologique, d’abandon, etc.). Les conditions dans lesquelles le droit de visite et d’hébergement peut être exercé sont déterminées par lui dans ce cas. Ce privilège ne peut être refusé sans raisons impérieuses (mise en danger de la vie de l’enfant par l’un des parents).
Dans les cas où les deux parents sont d’accord, comment le pouvoir décisionnel est-il délégué?
Les parents qui divorcent ont la possibilité de négocier des arrangements de garde conjointe. Un accord devrait être conclu dans une telle situation.
L’entente précise les paramètres à l’intérieur desquels chaque parent peut exercer ses responsabilités parentales et la mesure dans laquelle chacun contribuera au soutien et à l’éducation de l’enfant.
Si l’un ou l’autre groupe de parents veut aller au tribunal pour faire ratifier cet accord, ils peuvent le faire en remplissant le formulaire cerfa n16139. En outre, des exemples de contrats sont inclus dans ce document.
En d’autres termes, en quoi consiste exactement la décision du juge?
Il est de la responsabilité du Jaf de veiller au bien-être des enfants. Il fait tout ce qui est en son pouvoir pour garder l’enfant connecté à ses deux parents.
Le tribunal a la possibilité de décider d’accorder des droits parentaux.
Idéalement, les deux parents devraient prendre des décisions concernant l’éducation de leur enfant, mais dans la pratique, c’est rarement le cas (en cas de circonstances spéciales telles que la violence contre l’enfant).
Le juge décide également de la résidence principale de l’enfant et des conditions dans lesquelles l’un ou l’autre des parents peut exercer ses droits respectifs de visite et de réinstallation.
Un juge peut confier la garde temporaire des enfants et de la maison à l’un des parents. Le juge peut accorder à l’ancien résident une partie des frais de logement à titre de compensation pour le temps qu’il y a passé. Le juge peut accorder ce plaisir pour une durée maximale de 6 mois.
Les décisions du juge sont susceptibles de révision à tout moment si de nouveaux éléments de preuve lui sont présentés par l’un ou l’autre des parents (via cerfa n11530) ou le procureur de la République (qui peut lui-même être saisi par un tiers, parent ou non).


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