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quel parents doit prendre rendez vous aupres du lieu neutre


quel parents doit prendre rendez vous aupres du lieu neutre La vie quotidienne d’un enfant, et surtout son lieu de résidence, sont affectées par la séparation d’un parent. Le parent qui n’a pas de résidence principale a droit au droit de visite. C’est-à-dire que les médias peuvent avoir un droit d’accès subordonné à la présence d’un tiers, en l’occurrence la présence d’un journaliste. Quand et dans quelles circonstances le droit d’accès par médiation s’applique-t-il?
Transmis par Lea Boluze
Les droits de visite par médiation sont définis comme suit :
Le juge aux affaires familiales rend des décisions fondées sur ce qui est le mieux pour l’enfant et peut choisir de confier la garde légale exclusive à l’un des parents. Le droit réciproque de visite et/ou de modification de la garde profite au parent qui n’a pas la garde.
Les juges du tribunal de la famille ont le pouvoir d’organiser des visites surveillées entre les parents et leurs enfants s’il existe des raisons impérieuses de le faire, telles que le risque pour la sécurité de l’enfant. Le juge doit prendre toutes les précautions nécessaires pour assurer la sécurité de l’enfant, comme le prévoit l’article 373-2-1 du Code civil. Après cela, nous discutons des privilèges de visite par médiation.
En outre, lorsqu’un juge statue sur le droit de visite par médiation en vertu des dispositions du Code civil, il doit également déterminer la durée de la mesure conservatoire ainsi que la fréquence et la durée des réunions conformément à l’article 1180-5 du Code de procédure civile. Pour le bien de l’enfant, il est impératif que toutes les activités soient surveillées de près.
Quelle que soit la décision du juge aux affaires familiales, il a le devoir de protéger la relation de l’enfant avec le parent qui n’est pas ou plus le tuteur légal.
Modalités du droit à la médiation
Le droit de visite par médiation du parent qui n’a pas la garde doit être exercé en présence d’un tiers impartial (un membre de la famille ou un ami de confiance mutuelle, ou un représentant d’une organisation vouée à la protection des enfants). Il est également possible de programmer les visites dans un lieu neutre (espace de réunion dédié).
Il est courant que les travailleurs sociaux et les travailleurs familiaux se rencontrent dans une salle de conférence pour effectuer la visite médiatisée (psychologues, thérapeutes, etc.). Un enfant peut rencontrer un membre de sa famille ou un autre adulte ici. Lors des réunions organisées par le juge aux affaires familiales, il s’assure que toutes les personnes impliquées sont en sécurité, des enfants aux parents en passant par les étrangers. Tout rassemblement tenu à ces endroits doit être approuvé au préalable en vertu d’une ordonnance émise le 15 octobre 2012. (numéro 2012-1153).
Le parent qui n’a pas la garde peut exercer son droit de visite à la résidence du parent gardien ou dans tout autre lieu neutre (parc, restaurant, etc.), à condition qu’un tiers soit présent en tout temps.
Dans ce cas, le juge choisira la personne fiable.
Un juge aux affaires familiales peut ordonner que les visites aient lieu dans un lieu de réunion désigné lorsque cela est dans l’intérêt supérieur de l’enfant et assurera la continuité et l’efficacité des liens de l’enfant avec le parent qui n’exerce pas l’autorité parentale.
Le juge organise les détails de manière à ce que l’intérêt supérieur de l’enfant soit servi et qu’aucun préjudice ne soit causé à l’un ou l’autre des parents à la suite du transfert de l’enfant à l’autre parent. Il peut faire en sorte que cela se produise dans un endroit spécifique, avec l’aide d’un tiers impartial, ou par l’intermédiaire de l’agent d’une personne morale dûment autorisée.
En outre, l’article 373-2-9 du Code civil stipule ce qui suit :
Le juge aux affaires familiales décidera des détails des droits de visite de l’autre parent lorsque la résidence principale de l’enfant est établie avec l’un des parents. Si le juge détermine que c’est dans l’intérêt supérieur de l’enfant, le parent ou le tuteur légal peut être tenu de tenir des visites surveillées dans un lieu de réunion approuvé par le tribunal.

Le juge organise les détails de manière à ce que l’intérêt supérieur de l’enfant soit servi et qu’aucun préjudice ne soit causé à l’un ou l’autre des parents à la suite du transfert de l’enfant à l’autre parent. Il peut faire en sorte que cela se produise dans un endroit spécifique, avec l’aide d’un tiers impartial, ou par l’intermédiaire de l’agent d’une personne morale dûment autorisée.


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