quel pourcentage de parents de tricoteurs tricotait Sam m’accuse de faire ce qui suit dans sa remarque :
« Mais qu’en est-il des tricoteuses ? Couturiers? Brodeuses? Tisserands?
J’ai été rebuté par le ton de votre introduction et je ne me sentais pas motivé pour lire davantage.
Votre féminisme, qui émerge dans chacun de vos articles, est vraiment malheureux.
Mais qui pourrait rendre heureux les tailleurs, les couturières, les brodeuses et les tisserands ?
Ceci, Sam, est une finale ».
Pourquoi avez-vous réagi avec une telle force, peut-être même avec violence ?
Pour paraphraser : « J’ai été rebuté par votre article. »
« Je n’étais pas assez intéressé pour lire au-delà de votre introduction. »
Le féminisme qui imprègne tous vos écrits est regrettable.
Ceci est simplement le préambule de la partie principale de mon billet de blog.
Face à un tas de restes de fil, comment décidez-vous quoi en faire?
Il a été suggéré de ne pas utiliser le mot « tricoteuses », et j’ai expliqué pourquoi.
Vous négligez le fait que certaines personnes tricotent.
En raison du système dans lequel nous nous trouvons, même si nous ne nous soucions que d’un groupe particulier.
Les gens ont tendance à vous étiqueter comme « ceci » ou « cela » tout de suite.
Vous pensez qu’il n’y a pas de problèmes plus urgents qui doivent nous « décourager »?
Rappelez-vous ceci :
il n’y a pas de valeur dans
Toutes mes excuses, Sam; J’avais tort.
Quelqu’un que je considère comme un « tricoteur » ou un penseur créatif :
Ouest, Stephen!
Grâce à mon expérience sur le blog de tricot, j’ai découvert que le tricot et la confiance vont de pair comme le beurre de cacahuète et la gelée.
De nombreux participants au Défi de tricot (pour participer au Grand Défi des débutants, cliquez ici) ont signalé une confiance accrue à la suite des leçons de cette semaine.
Mais même au niveau le plus expert, notre sentiment d’assurance grandit avec chaque projet que nous terminons.