quel recours contre un professeur qui critique les parents Lorsque des problèmes surviennent avec l’enseignant d’un enfant, il est facile de se sentir impuissant. Plutôt que d’aller en justice pour l’absence d’un professeur, le rectorat devrait être contacté en cas d’absence non excusée, tandis qu’une action en justice est recommandée en cas de maltraitance.
Lorsque les enseignants sont souvent absents avec peu (ou pas) de justification, lorsque leurs leçons tombent à plat, et surtout lorsqu’ils sont soupçonnés de maltraiter les élèves, attribuer le blâme est une tâche difficile. La voie la plus facile est de passer par l’administration et les conseils scolaires. Le système de justice pénale est une option lorsque des abus se produisent parce qu’il s’agit d’un crime.
Le devoir de l’État :
Les preuves suggèrent que l’éducation nationale a un taux d’absentéisme plus élevé que les autres agences gouvernementales. Des absences « courtes » régulières qui ne sont pas déclarées, des absences prolongées « longues » qui ne sont pas comblées… C’est pourquoi l’État doit agir. Une action en justice de droit administratif est donc possible.
Me Lepetit, avocat à Paris, estime que l’enseignement est obligatoire et qu’on pourrait s’appuyer sur le principe de l’exigence de service public pour justifier cela. Mais avant d’aller de l’avant, vous devriez parler aux parents des délégués étudiants afin qu’ils puissent soulever la question avec le conseil de l’école ou de l’établissement.
Un cabinet d’avocats et un rectorat :
Il n’est pas rare que les pourparlers initiaux échouent. Ce n’est pas le rôle du directeur d’école d’imposer des mesures disciplinaires ou d’établir une relation de supérieur hiérarchique ou de subordination entre les enseignants. Par conséquent, la question doit être soulevée auprès de l’administration universitaire. Les parents peuvent communiquer avec lui directement ou par l’intermédiaire de leurs représentants. Le rectorat dispose d’un organe d’inspection qui peut lancer des enquêtes avant de signaler des questions plus graves. Me Lepetit dit que cela conduira à une punition à la fin.
Il s’agit d’un événement très inhabituel dans la pratique clinique. Il est essentiel d’en parler. Afin de résoudre le problème et d’exprimer formellement son insatisfaction, elle suggère de consulter un avocat pour rédiger une lettre « précise, factuelle, mesurée », c’est-à-dire exempte de subjectivité et d’animosité.
S’il y a une défaillance ou un abus,
Dans le cas où les leçons d’un enseignant sont jugées infructueuses, il est nécessaire de discuter d’abord de la question avec l’administration de l’école. Bien que cette évaluation puisse être correcte, la stratégie des parents échouera si elle manque de soutien institutionnel. Parce que « les enquêtes administratives sont lourdes et que le réflexe de protection du corps enseignant risque de les freiner », il est important de considérer les plaintes pénales lorsque les élèves allèguent avoir subi un préjudice physique ou psychologique de la part du personnel de l’école.
Les enseignants ne devraient faire l’objet d’un interrogatoire pénal que s’il existe des preuves ou des éléments objectifs attestant l’existence de la violence, tels que des déclarations de témoins, des certificats médicaux, etc. Me Lepetit conclut : « Il est préférable, au préalable, d’avoir envoyé des lettres au rectorat, qui serviront à prouver, si nécessaire, que l’administration était silencieuse ou inactive.
Les menaces les plus importantes pour les éducateurs proviennent des parents agressifs et incivils des élèves. En effet, le baromètre annuel du climat scolaire de l’ASL montre que les types de plaintes les plus courants concernent les insultes et les menaces (45,7 %), suivies de la diffamation (24,9 %).
Il existe une variété de situations qui peuvent entraîner des tensions entre les enseignants et les parents, telles que le renvoi de l’école, une sortie éducative à l’extérieur de la ville, l’information pour les parents divorcés ou séparés, l’enseignement à domicile, les changements dans les protocoles sanitaires depuis la crise du Covid-19, l’essor des médias sociaux, etc.
Un directeur d'école de Lodève sanctionné pour avoir pris position contre la réforme de l'Education nationalehttps://t.co/1kIXKQfbNB
— Julien Gossa (@JulienGossa) May 7, 2019
Quelles sont donc les meilleures mesures de protection à prendre? La meilleure façon de se préparer aux dangers courants. Le meilleur plan d’action dans une circonstance donnée. À quelle quantité d’aide les travailleurs ont-ils accès? Quelles sont les différentes punitions, exactement? Comment et quand doit-on remonter la chaîne de commandement pour obtenir de l’aide? En supposant tous les cas, quel est le soutien d’ASL?
Votre décision de communiquer avec l’ASL, qui vous a ensuite référé à son avocat pour déposer la plainte, était sage. Cela doit se développer en tandem avec la police et le ministère public. Il est probable que vous ayez également demandé une protection fonctionnelle à vos supérieurs et que vous leur ayez transmis une copie de votre plainte. Tout arrêt de travail doit être immédiatement notifié au gouvernement local. Le fait que vous ayez pris le contrôle légal a probablement « calmé l’ardeur » de ce parent inquiet. Si vous ressentez le besoin de faire appel à des supérieurs pour vous aider à faire face à l’inquiétude que vous éprouvez, n’hésitez pas à le faire.