Skip to content

quel role donner au parent pendant un soin infirmier


quel role donner au parent pendant un soin infirmier La douleur ressentie par les enfants à la suite d’un traitement médical peut être évitée ou atténuée en suivant les directives nationales. La plupart des protocoles de la douleur, établis par des entreprises ou des organismes gouvernementaux, nécessitent une planification et une préparation avant le traitement afin d’atteindre une gestion optimale de la douleur, incluant l’application d’une crème anesthésique (au moins 1 heure avant), la prescription d’un analgésique ou d’une prémédication (durée variable selon le mode d’administration), etc. (orale, veineuse, etc.).
Ces procédures sont censées être modifiées en fonction du niveau d’anxiété de l’enfant et de la gravité des expériences traumatisantes décrites par les parents. Retarder le début du traitement, peut-être pour obtenir un peu de Meopa ou attendre qu’une prémédication fasse effet si l’enfant est particulièrement anxieux au début, peut être la meilleure option si l’enfant éprouve une anxiété importante.
Prédire à l’avance les moyens antalgiques qui soulageront efficacement la douleur après un traitement ou un examen est parfois nécessaire (prescription de médicaments, PCA, anesthésie locorégionale, etc.).
Pour trouver des réponses à vos questions sur la santé, visitez les sites Web de Pdiadol ou du National Pain Relief Resource Center (CNRD).
L’utilisation de dispositifs de déviation :
Un bâton de pluie sert d’outil utile pour distraire le bébé.
En plus des analgésiques, les nourrissons et les tout-petits, qui se fatiguent rapidement, bénéficient grandement de distractions abondantes et adaptées à leur âge. Distraire un enfant n’est pas toujours aussi simple que de raconter une histoire ou de chanter une chanson. Toutes les familles n’ont pas accès à des smartphones remplis de jeux préférés des enfants, même si un nombre croissant de parents le font maintenant.
De plus, il est préférable de commencer à distraire l’enfant avant de commencer le traitement.
Voir aussi le dossier complet sur la distraction des enfants pendant les soins et les initiatives d’équipe sur la distraction pendant les soins pour de plus amples renseignements.
Un cas pour garder l’enfant:
Lorsque c est un bébé ou un jeune enfant, il est particulièrement important de prévoir une personne qui s’occupe de l’enfant, en plus de celle qui fait la prise en charge, pour assurer la sécurité du geste et selon les soins et l’état de l’enfant. Le succès du traitement ou de l’examen (nécessité de refaire des radiographies, etc.) pourrait être compromis si l’enfant bougeait ou retirait son membre à la dernière minute. Il pourrait aussi se blesser.
Parce que restreindre les mouvements d’un enfant peut le rendre anxieux et, au contraire, provoquer son agitation, il est important de ne maintenir que la partie du corps où les soins doivent être faits et de manière flexible.
Attention: il n’est pas rare que plusieurs personnes tiennent la poitrine, les bras, les jambes et la tête de l’enfant en place avant de commencer le traitement. En s’accrochant si fermement au bébé, les parents envoient le message tacite qu’ils s’attendent à ce que l’enfant résiste à cause de la douleur et de l’inconfort qu’ils anticipent en lâchant prise. Le soulagement de la douleur fourni par l’équipe est-il adéquat compte tenu de la situation actuelle?
L’unité de douleur de l’hôpital Trousseau à Paris a mené un audit sur la contention qui peut être utilisée comme matière à réflexion. Le dossier Prévention de la contention des enfants dans les milieux de soins peut également être utile.
De plus, si l’enfant continue d’exprimer un malaise malgré la disponibilité de moyens analgésiques et l’utilisation de techniques de distraction, la possibilité de suspendre ou de reporter temporairement le traitement doit être envisagée. L’efficacité des analgésiques peut être réévaluée si nécessaire. Une sédation légère ou même une anesthésie générale pourrait être envisagée.
Au lieu de tenir l’enfant, la responsabilité première du parent est de détourner l’attention de l’enfant. Cependant, si le parent est disposé à faire preuve de souplesse et ne tient l’enfant que pendant le traitement, l’enfant peut se sentir moins « tenu » que nécessaire et mieux répondre au traitement.
Instruction sur la prestation de soins aux parents :
Si c’est la première fois pour l’un ou l’autre groupe de parents, ils apprécieront que vous preniez le temps d’expliquer ce qu’ils peuvent et ne peuvent pas faire pour assurer une soirée paisible.
Assurez-vous qu’ils sont là en leur demandant de :
La plupart des parents aimeraient être présents pour les procédures médicales douloureuses de leur enfant, mais il y a des exceptions. Il est crucial d’offrir cette option aux parents sans les juger ou les culpabiliser s’ils choisissent de ne pas en profiter. La plupart des parents hésitent à rester parce qu’ils ne comprennent pas le geste ou ont peur de ce qu’ils pourraient voir.
Parfois, il suffit pour changer d’avis est une explication rassurante (vous ne verrez pas le geste) et claire de leur rôle attendu (vous pouvez les rassurer et les distraire).
Vous pouvez choisir de permettre à l’un ou aux deux parents d’accompagner leurs enfants dans l’établissement, en fonction de facteurs tels que la disposition, la quantité d’espace disponible, ainsi que le nombre et le type de chaises disponibles. Le livret d’accueil du service souligne cette exactitude.
Donnez-leur un aperçu de l’asepsie et des procédures de sécurité:
Enseignez aux parents ce qu’il faut faire.
Des informations et des instructions claires pour les parents sont requises selon la nature des soins fournis et le protocole du service, y compris, mais sans s’y limiter, les domaines suivants:

– la façon dont ils sont habillés; s’ils doivent ou non porter des vêtements stériles (casquette, blouse, masque), et si cela varie ou non en fonction de l’emplacement du parent (suffisamment éloigné du traitement). Exemple : si un enfant a son cathéter central habillé, il peut ne pas avoir besoin de porter un bavoir s’il tourne la tête dans l’autre sens.
ce qu’il ne faut pas faire (eux ou leur enfant). Ces restrictions peuvent sembler évidentes aux personnes qui s’occupent d’eux, mais ni les parents ni l’enfant ne les comprendront. Ne touchez pas le champ stérile, ne bougez pas cela, ne bougez pas maintenant, attendez avant de bouger, etc.


error: Content is protected !!