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quelle document je dois fournir pour l laffiliation de parenté

quelle document je dois fournir pour l laffiliation de parenté En tant que parent, vous pouvez établir votre paternité de l’une des quatre façons suivantes :
ACTE DE NAISSANCE :
Si vous devez prouver votre lien de parenté avec votre enfant, vous pouvez le faire en présentant son certificat de naissance, quelles que soient les circonstances entourant la naissance.
Un certificat de naissance peut être utilisé comme preuve légale de la naissance et de la filiation d’une personne. Ce formulaire est rempli par le Directeur de l’état civil à l’aide :
le certificat de naissance rempli par l’obstétricien; la déclaration de naissance signée par les parents et déposée dans les 30 jours suivant la naissance.
LA POSSESSION CONSTANTE DE L’ÉTAT : Le directeur de l’état civil ne délivrera pas de copie certifiée conforme d’un certificat de naissance si l’une des conditions suivantes s’applique. Pour cette raison, en particulier:
si la vérité sur sa naissance ne lui a pas été dite; si le parent qui n’était pas la mère biologique reconnaît plus tard sa paternité.
Vous devez ensuite démontrer un statut continu avec l’enfant afin d’établir la paternité. Pour ce faire, vous devez fournir une preuve de votre statut parental, telle que :


élever l’enfant; reconnaître l’enfant comme le vôtre; Avoir l’enfant officiellement reconnu comme le vôtre par d’autres personnes.
Vous ou votre enfant pourrez demander des documents officiels tels que des passeports et des certificats de naissance une fois que le registre de l’état civil aura été mis à jour.
Les parents, par exemple, n’ont pas enregistré la naissance :
Valérie était née à l’hôpital. Ni lui ni ses parents, Luc et Isabelle, n’ont déclaré sa naissance à l’officier de l’état civil. Ils pensaient que l’enregistrement de la naissance dans les dossiers de l’hôpital était une preuve suffisante de l’identité des parents. Un certificat de naissance ne peut être délivré dans cette situation par le Directeur de l’état civil.
Mais si Valérie prouve qu’elle est la fille de Luc et Isabelle en montrant qu’elle a été élevée par eux et traitée comme leur enfant, alors elle aura établi sa filiation à l’égard de Luc et Isabelle au quotidien et pourra inscrire cette filiation au registre de l’état civil. Valrie pourra obtenir son certificat de naissance et d’autres documents juridiques une fois que le registre de l’état civil sera mis à jour pour refléter sa nouvelle identité.
Depuis le 1er juillet 2006, il n’existe plus de distinction légale entre filiation légitime (par mariage) et naturelle (simple, adoptive ou adultère) (ordonnance du 4 juillet 2005 et articles 310-1 et suivants du Code civil). On parle maintenant de filiation légalement établie par le droit du mariage, par la reconnaissance volontaire du père célibataire, par la possession d’un statut établi dans une loi de notoriété (si, notamment, le père n’a pas eu le temps de reconnaître son enfant avant son décès) ou par une décision de justice afin de traiter tous les enfants (légitime, naturel, adultérine) équitablement.
Les conditions d’établissement de la filiation varient toutefois selon que les enfants sont nés dans le mariage ou non.
Avec un couple marié :
Le processus d’établissement de l’ascendance paternelle se produit automatiquement dans la nature. Toutefois, si elle le souhaite, la mère peut accoucher sans que son nom apparaisse sur le document officiel.
En supposant que le mari est le père :
Il existe une présomption réfutable selon laquelle le père est le parent biologique d’un enfant né d’un couple marié. Un enfant né d’une femme mariée est automatiquement considéré comme celui du mari.
Lorsqu’une femme accouche par insémination artificielle ou fécondation in vitro, qu’un donneur de sperme ou d’ovules ait été utilisé, l’homme marié à la mère est automatiquement présumé être le père.
Un enfant né entre le jour 180 après le mariage et le jour 300 après le divorce est considéré comme ayant été conçu pendant le mariage (décès du conjoint ou divorce). Néanmoins, sauf action contraire, le père présumé est le mari de la mère, même si l’enfant est né avant le 180e jour et a donc été conçu avant la célébration du mariage. Toutefois, la présomption de paternité cesse d’exister si l’enfant naît plus de 300 jours après une décision de justice autorisant les époux à vivre séparément.
Parents non mariés
La filiation maternelle est établie par la désignation de la mère célibataire sur l’acte de naissance de l’enfant, de sorte qu’aucune autre action n’est requise de sa part à la municipalité locale. Les actes de naissance sont généralement établis à l’hôpital par les services de l’état civil.
Donner naissance en secret est une option pour les mères qui entrent dans la catégorie X. Un enfant né d’une mère anonyme est considéré comme ayant une filiation maternelle inconnue.
Le bébé est donné en adoption, généralement à un organisme de services sociaux ou à un organisme de bienfaisance. Deux mois après l’accouchement, sa mère biologique peut changer d’avis et le revendiquer légalement comme sien. Une fois ce délai écoulé, l’enfant peut être placé en adoption dans une famille. Peu importe maintenant que les parents biologiques soient reconnus ou non.
Environ 500 bébés naissent en France chaque année avec un chromosome inférieur à X, et environ 400 000 citoyens français n’ont aucune idée d’où ils viennent. Afin de connaître les coordonnées de sa mère, un enfant dont la mère a accouché en secret doit d’abord en faire la demande écrite au président du conseil général de son département, étant entendu que cela ne se produira que si la mère accepte la levée du secret. Le Conseil National d’Accès aux Origines Personnelles est joignable au 14 avenue Duquesne, 75350 Paris 07 SP en cas de problème. Tel. : 01 40 56 72 17.
Famille du père :
Le père (pacs, concubin, compagnon ou simple ami) d’un enfant né d’un couple non marié doit reconnaître l’enfant pour que l’enfant soit légalement considéré comme le sien. Il n’y a aucune pression sur lui pour obtenir l’approbation de maman ou même lui en parler.
Cette reconnaissance peut avoir lieu en présence d’un notaire ou, plus commodément, au bâtiment municipal local. L’officier de l’état civil reçoit alors l’acte de reconnaissance, qui détaille les prénoms, nom, date de naissance ou, à défaut, l’âge, le lieu de naissance et le domicile de la personne reconnaissant l’enfant, ainsi que les prénoms, le sexe, la date de naissance et le domicile de l’enfant. Les registres d’état civil appropriés l’incluent.
Lorsqu’un homme reconnaît un autre homme comme père d’un enfant, le premier homme perd son droit à la paternité. Il doit d’abord s’adresser au tribunal et contester la reconnaissance initiale.
Dans les trois jours suivant la naissance, le père peut enregistrer sa paternité au bâtiment municipal local. Ensuite, l’acte de naissance et l’album de famille sont mis à jour pour refléter le nouvel ajout.
En cas de reconnaissance importune, en particulier par un homme qui n’est pas le père, la mère peut choisir de contester la paternité de l’homme.
Cela signifie que la filiation paternelle est présumée exister à la naissance.
Le père n’a que deux mois à compter de la naissance de l’enfant pour le réclamer si la mère a accouché sous X tout en restant anonyme. S’il ne connaît pas les détails, il doit contacter le procureur de la République afin qu’il puisse rechercher la date et le lieu d’établissement de l’acte de naissance.
Prouvez qui sont les parents devant le tribunal :
Une action en justice peut être intentée pour déterminer les parents d’un enfant dans les dix premières années suivant sa naissance. D’une manière générale, il s’agit d’un cas où la paternité est contestée. Malgré un intérêt généralisé, les recherches de maternité restent rares (substitution de l’enfant à la naissance, etc.).
Qui peut intenter une action en justice?
Tant que l’enfant a moins de 18 ans, son représentant légal (généralement sa mère) peut intenter une action en justice devant le tribunal de première instance. Même si aucune mesure n’a été prise pendant la minorité de l’enfant, celui-ci peut toujours établir sa paternité devant les tribunaux jusqu’à l’âge de 28 ans.
Que devrions-nous faire maintenant?
Des aveux (lettres, etc.), des faits (concubinage pendant la grossesse, etc.), des témoignages et, dans certains cas, du sang ou même une expertise génétique peuvent être utilisés pour établir la paternité (recherche ADN). Veuillez noter que l’établissement de la paternité de cette manière ne déclenche pas l’obligation de payer une pension alimentaire. « Dans le cas où la filiation est établie, il faudra en parallèle faire une demande de contribution à l’entretien et à l’éducation de l’enfant, une action qui doit être clairement distinguée de l’action à finalité de subventions », précise Me Nathalie Ganier-Raymond, avocate spécialisée en droit de la famille à Paris.
Déterminer la parenté en fonction du statut social :
La méthode de la « possession par l’État » peut également être utilisée pour établir légalement la paternité d’un enfant. Cette méthode de filiation est utile dans les situations où la présomption de paternité a été renversée, soit dans le cadre d’un mariage (peut-être parce que le père n’était pas présent pendant la grossesse), soit en dehors d’un mariage (dans ce cas, parce que le père était déjà décédé). La reconnaissance de paternité peut avoir lieu si le père a agi publiquement et sans ambiguïté comme un père devrait le faire.


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