Skip to content

quelle et laccord parental pour se marier au bled mineur

quelle et laccord parental pour se marier au bled mineur Quel est l’âge légal pour se marier aux États-Unis?


En France, les enfants ne peuvent pas se marier sans une autorisation spéciale du ministère public, conformément à l’article 144 du Code civil. Une excuse courante est que la future mariée est enceinte.
L’article 144 du Code civil dispose qu’à compter du 4 avril 2006, nul de moins de dix-huit ans ne peut conclure de contrat de mariage. La loi précédente fixait l’âge minimum pour les filles à 15 ans. Le politicien qui a présenté la législation en 2006 l’a fait par souci de parité entre les sexes et par désir de réduire la prévalence des enfants mariées.
Dans quelles circonstances est-il acceptable que des mineurs se marient?
Par conséquent, le concept est que les hommes et les femmes ayant l’âge légal de se marier peuvent se marier sans restriction. Il y a cependant quelques exceptions notables. Le procureur local où le mariage aura lieu est habilité à prévoir des exceptions pour des motifs impérieux (art. 145 C.civ.). Il est ultimement chargé de décider si les circonstances entourant un projet de mariage entre un mineur et un adulte sont suffisamment impérieuses pour justifier un mariage avant l’âge légal du consentement, soit 18 ans. La plupart des gens donnent l’excuse que la future mariée attend.
La loi exige le consentement des parents pour les mariages impliquant des mineurs en toutes circonstances. À cet égard, l’article 148 dispose qu’un mineur ne peut conclure un contrat de mariage sans l’assentiment des deux parents. Même si les parents ont des opinions différentes sur la question, l’enfant a toujours besoin de leur consentement. Si l’un des parents n’est plus en vie, le consentement du parent survivant est tout ce qui est requis. Lorsque l’un ou les deux parents biologiques ne sont plus en vie, il est d’usage de demander plutôt l’approbation de sa famille élargie. Il est possible de se marier malgré les désaccords familiaux (art. 148 C.civ.). Si un mineur se marie, il est légalement considéré comme un adulte et est soumis aux mêmes lois et responsabilités que n’importe qui d’autre. Après cela, il ne sera plus surveillé par ses parents.
Quand mon père m’a dit que j’allais me marier, j’ai pleuré jusqu’à ce que je ne puisse plus pleurer. J’étais une jeune femme pétillante et ambitieuse. Ma vie a été complètement bouleversée, et mon indépendance m’a été enlevée du jour au lendemain. Zineb, maintenant âgée de 19 ans, partage son histoire déchirante de mariage à 16 ans avec un homme qu’elle n’a jamais rencontré en personne. Chaque année au Maroc, des milliers de filles de moins de 18 ans sont contraintes de quitter leur foyer et de se marier « pas seulement », où elles sont mariées contre leur volonté, mettant ainsi fin à leur enfance et s’engageant dans l’âge adulte. Un destin qu’ils n’ont pas demandé et qui les oblige à partager une maison avec quelqu’un qu’ils ne connaissent pas. Comme tout le monde le sait, ce mal sociétal a un impact disproportionné sur les femmes. Selon les données du HCP, les filles représentent 94,8% de tous les mariages entre mineurs.
Améliorations de l’harmonie:
L’amendement de 2004 à la Moudawana (Code marocain de la famille (CFM), qui a porté de 15 à 18 ans l’âge minimum du mariage des femmes, a donné des raisons d’être optimiste parmi ceux qui s’efforcent de mettre fin à ce problème social omniprésent. Pour tenir compte du fait qu’aucune règle n’est absolue, l’article 20 donne au juge aux affaires familiales le pouvoir d’approuver un mariage entre mineurs. Selon Nesrine Roudane, avocate au barreau de Casablanca et présidente de la CFCIM, « l’article 20 du Code prévoit une exception à cette capacité matrimoniale obligatoire en précisant que le juge aux affaires familiales peut autoriser le mariage d’un mineur à condition qu’il (le juge) ait entendu les parents du mineur ou son représentant en justice et effectué une expertise médicale ou une enquête sociale et justifié sa décision par un intérêt et une raison justifiant ce mariage. Je vais continuer : l’article 21 de la CFM stipule que le tuteur légal du mineur doit donner son consentement au mariage. La présence du représentant légal au moment de l’établissement de l’acte de mariage et sa signature sur la demande d’autorisation de mariage montrent qu’il a donné son consentement au mariage. Lorsque le tuteur légal ou le tuteur légal d’un mineur refuse de donner son consentement au mariage, le juge aux affaires familiales qui préside prend la décision finale. Il est important de garder à l’esprit que même si le tuteur légal du mineur est celui qui est obligé de donner l’autorisation pour le mariage, le juge aux affaires familiales peut toujours prendre une décision si le tuteur refuse de le faire. D’un point de vue pratique, cela pourrait poser de sérieuses difficultés.
Cette lacune législative est fréquemment contestée car elle favorise une augmentation du nombre de mariages de mineurs. En 2020, 19 266 demandes de mariages de mineurs ont été déposées auprès des tribunaux marocains. Selon les données transmises par le procureur de la République le 29 novembre 2021, près de 13 000 dérogations ont été accordées la même année.


error: Content is protected !!