quelle parenté entre catherine de médicis et marie de médicis Henri IV épouse Marie de Mdicis — et sa dot — le 16 décembre 1600.
Récemment, le roi de France Louis XVI avait décidé de rejeter son épouse, Marguerite de Valois (la « reine Margot »). Le 18 août 1572, à la veille du massacre de Saint-Barthlemy (24 août), il épouse la fille de Catherine de Médicis. Néanmoins, le couple n’a pas pu concevoir d’enfants et a finalement divorcé.
Après 30 ans de conflits religieux, le ministre Maximilien de Bthune, futur duc de Sully, contemple la situation morose des finances du royaume.
Puisqu’il essaie d’arranger un mariage riche pour le roi, il commence naturellement sa quête à Florence.
Marie de Mdicis est la nouvelle mariée et la fille du grand-duc de Toscane. Elle n’a que 25 ans, ce qui la rend plus jeune que le roi de 22 ans.
Le grand écuyer d’Henri IV, le duc de Bellegarde, assista à l’union du 5 mai 1600 à Florence en son nom, car une action rapide était nécessaire devant le pape opposé à ce remariage.
600 000 couronnes est la somme de la dot. La mariée est magnifique en apparence mais mesquine, arrogante et un peu ridicule. Lorsqu’elle prendra ses fonctions de régente après la mort du roi, ses nombreuses faiblesses seront enfin exposées.
Jean de Médicis, qui a établi la dynastie des Médicis à la fin du 14ème siècle, était un parent éloigné de Catherine et de Marie de Médicis.
Cosme Ier de Médicis, père de François Ier de Médicis et grand-père de Marie de Médicis, est né en 1519, la même année que Catherine de Médicis. Il y a un énorme fossé générationnel entre Catherine et Marie.
Catherine avait 56 ans et était mère de 10 enfants à la naissance de Marie; ses autres enfants comprenaient les futurs membres de la famille royale française Claude et Marguerite.
Christine de Lorraine, fille de Claude de France, épousera Ferdinand 1er de Mdicis, l’oncle de Marie de Mdicis. Christine sera l’instructrice de Marie de Mdici car elle a perdu ses deux parents en bas âge.
La première épouse d’Henri de Navarre sera Marguerite de France, plus souvent connue aujourd’hui sous le nom de reine Margot. Après être devenu roi et s’être rendu compte qu’il n’avait pas d’héritiers, Henri IV fit annuler son mariage avec Marguerite et épousa Marie de Mdicis en 1600. Ils prévoient d’avoir six enfants.
Caterina Maria Romola di Lorenzo de’ Medici est née le 13 avril 1519 à Florence (République florentine) et elle est décédée le 5 janvier 1589 à Blois (France).
Elle est née en Italie de Laurent II de Médicis (1492-1519), duc d’Urbino, et de Madeleine de la Tour d’Auvergne (1498-1519). Duchesse d’Urbino et comtesse de Lauragais avec le décès de ses parents; Comtesse d’Auvergne à la mort de sa tante Anne d’Auvergne en 1524.
Elle fut dauphine et duchesse de Bretagne de 1536 à 1547 et reine de France de 1547 à 1559 après avoir épousé le futur Henri II. De 1560 à 1563, elle est reine mère et régente de France. Elle était la mère des rois François II, Charles IX et Henri III, ainsi que des reines Elisabeth (reine d’Espagne) et Marguerite (dite « reine Margot », épouse du futur Henri IV), et de Claude, duchesse de Lorraine et de Bar.
Catherine de Médicis a été un acteur majeur du développement de la France et du monde dans les années 1600. Tout au long de l’histoire, chaque fois que catholiques et protestants étaient en désaccord, son nom y serait toujours associé. Néanmoins, elle est dépeinte dans une légende urbaine persistante comme une vieille femme aigre qui est jalouse du pouvoir et aura recours à tous les crimes nécessaires pour maintenir son emprise sur l’autorité. Les études récentes ont eu tendance à justifier les actions de cette reine et régente, qui a exercé le pouvoir à une époque tumultueuse.
Elle est responsable de l’établissement du droit des protestants à la liberté religieuse en France, et elle s’est battue à plusieurs reprises pour l’acceptation du principe de tolérance civile. La proclamation qu’elle publia en janvier 1562 pour assurer la tolérance religieuse ne parvint pas à éviter la guerre. Sa détermination et sa méfiance à l’égard des protestants se durcirent après le choc de Meaux en 1567. En raison de son implication présumée dans le massacre de la Saint-Barthélemy de 1572, il est une figure de division dans l’histoire de France.