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quelle parenté nicolas hulot et hulot de tati


quelle parenté nicolas hulot et hulot de tati Deux journalistes du Monde, Grard Davet et Fabrice Lhomme, ont publié un livre intitulé « Un président ne doit pas dire ça », dans lequel ils révèlent les pensées et les sentiments privés de François Hollande. D’autre part, « Un ministre peut-il dire quelque chose ? » est le titre d’un article fantastique écrit par Jade Lindgaard et publié dans Mediapart le 6 juillet 2017 ; cet article, je me sens obligé de l’admettre, m’a arraché le blog sous les doigts. Parce que son article était si complet, j’ai décidé d’attendre une semaine avant de revenir sur le sujet.
Ne prenez pas le titre de ce blog au sérieux; C’est un jeu de mots. Le grand-père de la mère de N. Hulot était un voisin de Jacques Tati, qui a basé son personnage de Monsieur Hulot dans le film de 1953, « Les Vacances de Monsieur Hulot ». Nicolas Hulot revendique volontiers lui-même cette relation : « Mon grand-père était l’architecte de l’immeuble dans lequel vivait Jacques Tati. Le préposé lui rappelait constamment: « Vous devez appeler Monsieur Hulot! » chaque fois qu’il y avait un problème. Cela me revenait sans cesse, presque comme un leitmotiv. Mon grand-père avait apparemment un profil intéressant qui a impressionné Tati. Non seulement cela, mais il a gardé le nom à l’esprit lors du développement de son personnage bien connu et a recherché les approbations nécessaires.
Et cela devient une habitude dans notre gouvernement, où la réponse d’un premier ministre à une question d’un député qui devrait durer, en principe, deux minutes en prend une douzaine), prévue pour vingt minutes, s’étend sur beaucoup plus d’une heure, bien qu’elle soit présentée comme l’exercice d’un funambule qui risque, selon ses propres mots, de « basculer à tout moment ». Nicolas Hulot s’en est très bien sorti le 6 juillet 2017. En conséquence, j’ai décidé de réserver mon jugement sur le nouveau caractère ministériel de Nicolas Hulot jusqu’à ce que je voie comment il a traité le sujet lors des questions au gouvernement. La différence la plus frappante, c’est que notre ministre a coupé et soigneusement glissé sa frange, mettant à jour sa coiffure.
Certes, « écologique » est maintenant le mot à la mode, même à la Poste, où l’on peut trouver des timbres « écologiques » à prix intermédiaire entre les timbres « prioritaires » les plus chers et les timbres « économiques » moins chers. Le « caractère écologique » de ces timbres n’est pas du tout dû à leur mode de fabrication, par un certain recyclage comme on pourrait le penser, mais plutôt à leur mode de livraison, car la voie aérienne leur est interdite sans toutefois utiliser d’animaux (pigeons voyageurs ?
Selon la mode néo-macronienne désormais courante et appliquée notamment dans les réponses aux questions posées au Gouvernement, Nicolas Hulot a joué au registre de la communication lors de sa présentation de son « plan climat » le 6 juillet 2017. En d’autres termes, si vous ne pouvez pas faire la différence entre le « cap » déclaré par le gouvernement et la voie réelle qu’il implique, alors vous êtes trop stupide pour vous gouverner vous-même, un fait que nous préférerions ne pas admettre.
Notre M. Hulot aime à dire : « Beaucoup d’options ne sont pas immédiatement compréhensibles si vous n’avez pas une vision à long terme. Arrêtez de parler, vous retardez !
Entre d’une part, l’impact croissant du changement climatique sur l’écosystème mondial, appelant à une réglementation et des contraintes fortes, et d’autre part, la volonté affichée du gouvernement de trouver un « esprit de conquête » et d’attirer les banques et le monde de la finance en France, il [notre M. Hulot] avance dans un couloir extrêmement étroit, », comme l’écrit justement Jade Lindgaard. Où se situe exactement « l’écologiste convaincu » autoproclamé de cette entreprise au sein d’une équipe dirigeante si réticente à aborder les enjeux de la transition écologique ? Depuis leur entrée en fonction, le ministre et ses équipes ont fait preuve d’un silence inhabituel, laissant la question en suspens. Hulot déclare d’emblée que le changement climatique est un sujet particulièrement compliqué, […] L’issue positive ou négative du combat n’est pas connue tout de suite. Le danger est partout, imprévisible et impossible à prévoir.
Le mérite du leadership écologique de la France revient en grande partie à M. Hulot, mais le pays dans son ensemble a également bénéficié de l’aide internationale. M. Trump lui-même est devenu un allié aussi surprenant que puissant, car l’annonce du retrait des États-Unis de l’accord de Paris nous a catapultés dans une position de leadership que notre président n’avait pas. Ceux qui ont essayé d’emménager n’ont pas réussi tout de suite. Plus impressionnant encore, étant donné la précarité de la position du président des États-Unis dans son propre pays, il a réussi à l’amener, sinon à Canossa, du moins à Paris pour célébrer avec nous – et non sans pompe, comme nous l’avons vu ce matin lors de notre 14 juillet. Comme l’a souligné M. Hulot, « Notre réception nationale est à la hauteur de notre responsabilité.


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