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quelle place beau parent naissance

quelle place beau parent naissance Peut-on dire que l’espèce des beaux-parents est en danger d’extinction ? L’apparence du beau-parent suffit à indiquer la présence d’un mutant, et celui-ci est singulier. Le passage du pluriel au singulier souligne les changements récents qui ont eu lieu au sein de la cellule familiale : le beau-parent est le nouveau conjoint de l’un des parents ; Après le divorce, il représente la figure archétypale des recompositions familiales.


Les études sociologiques indiquent souvent que les recompositions familiales sont des preuves de la santé de la vie sociale; Sans aucun doute, ils modifient la dynamique familiale. Un signe visible de ce changement est le défi accru de définir le rôle du beau-parent. Découvrir cela tôt aide à établir la place d’une personne dans la nouvelle famille. Aucune réponse unique ne fonctionnera pour toutes les familles; Ce qui importe le plus, c’est que la question soit soulevée et que toutes les personnes impliquées travaillent pour trouver une solution. L’acceptation nécessitera du tact, mais utiliser la complicité et le copinage est une tentation risquée.
Est-il probable qu’une loi sur les tiers proposée par le gouvernement (mars 2009) aidera les familles modernes à trouver un juste milieu? Il y a de plus en plus de familles recomposées, et le Ministre de la famille a fait valoir qu’il fallait en tenir compte. Puisqu’il semble y avoir un consensus sur la réalité actuelle, la seule question qui reste est de savoir si oui ou non et, dans l’affirmative, quel type de traduction juridique, et par conséquent d’interprétation symbolique, devrait être appliqué.
Un emplacement pour définir le beau-parent :
Dans certains cas, le beau-parent est accueilli par l’enfant comme un père ou une mère de substitution, tandis que dans d’autres, l’enfant déclare ouvertement que la relation aurait été meilleure sans le beau-parent. D’abord et avant tout, être un beau-parent efficace exige de comprendre les difficultés qu’un enfant peut éprouver à la suite du divorce de ses parents et de la séparation qui en résulte d’avec son père biologique (ou sa mère).
Pour cette raison, il n’est pas courant pour une mère de donner naissance à un enfant (des deux sexes) après une aventure teenybopper, seulement pour que le père apparaisse brièvement, reconnaisse l’enfant, puis disparaisse à nouveau, ne laissant derrière lui que son nom. Lorsque sa mère commence un nouveau chapitre heureux de sa vie avec un homme qui non seulement l’accepte émotionnellement, mais l’accueille également comme « sien », même s’il est l’enfant d’une union précédente, le garçon commence à en vouloir au poids de son nom. Le beau-père doit alors trouver un moyen de rassurer l’enfant sans lui mentir, en disant à l’enfant que s’il est son père en esprit, il ne sera jamais son père biologique. Parce que devenir parent est fondé sur le rapport d’endettement vis-à-vis de ses propres parents, la recherche d’un soutien intérieur qui soulève la question de savoir qui était mon « vrai » père bégaie souvent au moment où, presque devenu adulte, son propre désir de devenir parent émerge (on voit le même scénario émerger chez l’enfant adopté à propos de sa mère biologique). La famille a résolu le problème en appelant affectueusement le beau-père « Ti’father », évitant ainsi la confusion avec le père qui avait disparu en fait mais pas en droit et démontrant la chaleur d’un père qui avait été adoptif de fait bien qu’il n’ait pas été père biologique. L’utilisation du mot « plus » crée un contraste modeste avec les grands-parents, comme par une touche de modestie (petit/grand), qui intègre émotionnellement ce beau-père comme un père pour l’enfant.
D’accord, mais qu’en est-il en France ?
Le rôle du beau-parent n’est pas reconnu en droit français. Par conséquent, le statut de « belle-mère » ou de « beau-père » n’est que de facto et ne confère aucune obligation légale ou morale à l’un ou l’autre parent envers la progéniture de son époux, de son partenaire PACS ou de son conjoint de fait.

Néanmoins, le code civil permet, sous certaines conditions, de donner des effets juridiques au lien qui a été établi, de fait, entre le beau-parent et l’enfant de son conjoint, avec son partenaire PACS, ou avec son partenaire, sans reconnaître de statut au beau-parent.

L’objectif sera que la « belle-mère » ou le « beau-père » fasse un choix de relation juridique qui affectera soit la filiation (c’est-à-dire l’existence d’un lien juridique entre l’enfant et le beau-parent tel que l’enfant est concerné par sa succession), soit l’exercice de l’autorité parentale, en fonction de leur situation personnelle et de l’histoire avec le parent et l’enfant (ensemble de droits et de devoirs dont l’objet est l’intérêt du enfant).


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