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quelle relation voulez vous construit avec les parents

quelle relation voulez vous construit avec les parents Il faut un couple pour fonder une famille, mais cela ne signifie pas que tous les couples vont fonder une famille. De ce fait, le couple coparental, qui se concentre sur les relations entre père et mère et soutient l’accord mutuel donné, ou non, dans leurs rôles de parents, sera le premier sous-système ajouté au couple conjugal (mari et femme) lors de l’accouchement. Concevoir un enfant est un projet qui intègre ce plan, et une fois que le bébé est né, il peut être mis en action. Les deux sous-systèmes d’un couple sont donc greffés l’un sur l’autre. Cependant, la durée de leur vie individuelle peut varier. Même si un divorce met fin à la relation conjugale, l’homme et la femme continuent de partager les responsabilités parentales envers leur enfant. Même si les parents ne se revoient jamais, les choses qu’ils disent ou ne disent pas à leurs enfants au sujet de l’autre parent resteront avec eux. Deuxièmement, il y a le sous-système mère-enfant et le sous-système père-enfant, qui sont construits parallèlement à une variété d’influences mutuelles.


L’ajout de ces nouvelles relations à la dynamique du couple nécessite des changements importants dans la façon dont elles sont représentées et dont elles interagissent l’une avec l’autre. Les sous-systèmes conjugaux, coparentaux et parentaux ont tous des influences mutuelles les uns sur les autres. L’impact de l’état matrimonial des parents sur l’enfant semble être modéré par la relation coparentale. Il y a une certaine séparation entre les sphères conjugale et coparentale, de sorte que le déclin de l’un n’entraîne pas automatiquement le déclin de l’autre. Le système familial dans son ensemble sera influencé par la mesure dans laquelle chaque partenaire et chaque couple priorise l’un ou l’autre des deux sous-systèmes. Les effets de devenir parents sur les mariages de couple seront examinés en premier.
Situation de famille:
De nombreux auteurs affirment que lorsqu’un couple devient parent, la satisfaction conjugale diminue et les conflits entre eux augmentent (Belsky et coll., 1983; Belsky et Isabella, 1985; Shapiro et coll., 2000). Selon Cowan et Cowan (1992, 1995), cette détérioration peut être identifiée par une diminution de la fréquence des interactions positives entre partenaires. Les conflits peuvent être alimentés par des attentes non satisfaites et des défis liés à la répartition du travail. Par conséquent, une baisse de satisfaction pouvant conduire à un conflit établi est susceptible d’être exacerbée par des difficultés de communication entre les partenaires, et en particulier dans la façon dont ils gèrent les conflits (Belsky et Isabella, 1985; Gottman, 1979). D’autre part, les couples qui sont capables de discuter d’un problème majeur, tout en éprouvant les émotions liées et en restant engagés dans la discussion pour arriver à une solution, avant la naissance de leur premier enfant, ont tendance à maintenir ces qualités après la naissance de leur premier enfant. naissance (Heinicke & Guthrie, 1996). (Heinicke et Guthrie, 1996).
4Le partage de sentiments d’affection, de tendresse et d’admiration est associé à une augmentation du bonheur d’un couple après la naissance d’un enfant, comme le rapportent Shapiro et al. (2000). Lorsque le mari d’une femme leur montre de l’affection et de l’attention émotionnelle, elle ressent un sentiment de sécurité dans leur mariage qui persiste même après être devenue mère. D’autre part, lorsque les maris sont critiques et expriment des critiques envers leurs femmes, leurs femmes sont moins satisfaites dans leur mariage. Avec des résultats similaires, Buehlman et al. (1992) tirent la conclusion que la tendresse et l’admiration du couple l’un pour l’autre se renforcent à mesure qu’ils deviennent parents. Ajoutons que, selon Gottman (1993), le bonheur conjugal est associé à l’équilibre des émotions positives et négatives communiquées entre les partenaires. Il soutient que le rapport d’émotions négatives / positives est plus révélateur du bonheur conjugal que la présence d’émotions négatives seules. Les personnes mariées heureuses éprouvent cinq fois plus d’émotions positives que négatives.
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Il existe une corrélation entre le sexe de l’enfant et l’état de bonheur conjugal. Par conséquent, comparativement aux couples qui accueillent un fils, ceux dont la femme donne naissance à une fille sont plus susceptibles de connaître un déclin de leur relation (Morgan et coll., 1988). Morgan et ses collègues attribuent ces résultats à l’implication accrue des pères dans l’éducation de leurs fils; Cette implication peut servir de garantie d’une plus grande cohésion conjugale. Cependant, il y a un certain débat sur ces résultats. Nos propres recherches (Favez et al., 2002) et celles de McHale (1995) montrent que lorsque les relations parentales d’un couple sont tendues, le père retire son investissement si l’enfant est une fille, mais reste plus impliqué lorsque l’enfant est un garçon. Cela pourrait expliquer pourquoi les fils sont plus susceptibles de présenter des symptômes de conflit parental que les filles (Amato, 2001).
6Si avoir un enfant implique beaucoup d’ajustements pour un couple marié, il est important de se rappeler que la qualité de cette relation, et surtout la présence d’un conflit conjugal, peut avoir un effet négatif sur le développement de l’enfant et entraîner des problèmes de comportement (Katz & Gottman, 1993 ; Katz et Woodin, 2002; Emery, 1982; Belsky et coll., 1995). Toutefois, il apparaît que la qualité de la coparentalité, qui fera l’objet du paragraphe suivant, est le moyen par lequel la relation conjugale affecte le développement de l’enfant.


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