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quelle solution pour les parents irresponsables

quelle solution pour les parents irresponsables Les parents des enfants « en question » sont tenus de témoigner devant le tribunal au sujet de leur relation avec leurs enfants, des difficultés que les enfants peuvent avoir à l’école et de la façon dont ils comprennent le comportement de leurs enfants. Comme les MJD sont destinés aux délinquants primaires, il va de soi que les jeunes qui sont appelés sont des étrangers à la police et n’ont aucune expérience préalable du système judiciaire. Bien que les parents dont nous parlerons dans ce chapitre n’élèvent pas souvent des enfants qui ont été officiellement étiquetés comme délinquants, leurs traits et leurs réactions mettent en lumière les pressions et les restrictions auxquelles les familles de la classe ouvrière sont confrontées.


La capacité des parents à maintenir la stabilité est diminuée à divers degrés pendant leur séjour au tribunal. La moitié des parents de l’échantillon se trouvent dans une situation sociale relativement sûre et ont des assurances suffisantes quant à l’avenir de leurs enfants; ces parents sont plus susceptibles de minimiser l’importance des actions de leur enfant et de considérer le processus judiciaire comme un revers temporaire (« Cela lui servira de leçon », « Cela lui mettra du plomb dans la tête »). À son arrivée, elle vérifie leurs menaces : « Souvenez-vous, je vous ai prévenus ; Vous l’avez compris, n’est-ce pas? C’est exactement ce que je vous ai expliqué. Certains d’entre eux se sont dits préoccupés par le fait que l’école et d’autres institutions sont trop indulgentes avec leurs règles.
Où les parents n’ont-ils aucune responsabilité civile pour les dommages causés à leur enfant?
En premier lieu, les parents ne sont responsables que du mal causé à leurs enfants mineurs. Même si l’enfant majeur coupable des dommages vit toujours à la maison et reçoit un soutien financier de ses parents, les parents ne seront pas tenus responsables de l’incident.
En outre, le paragraphe 5 de l’article 1384 du Code civil dispose que les parents sont responsables de tout préjudice causé à leur enfant mineur « à moins que les parents ne puissent démontrer qu’ils n’ont pas pu se soustraire aux circonstances qui ont donné naissance à cette responsabilité.
Par conséquent, la loi impose une présomption de responsabilité aux parents, ce qui signifie que leur culpabilité est reconnue à moins qu’ils ne prouvent qu’ils n’ont pas pu éviter le comportement déviant de leur enfant. Dans ce cas, la charge de la preuve passe de la personne qui demande la responsabilité des parents, qui devrait normalement démontrer que les actions des parents étaient mauvaises, aux parents eux-mêmes, qui devraient normalement prouver que leurs actions étaient irréprochables.
Historiquement, les parents qui pouvaient prouver qu’ils surveillaient de près leur enfant et lui fournissaient une éducation solide bénéficiaient d’un procès équitable par le tribunal (et que, par conséquent, malgré leur comportement irréprochable, l’enfant avait néanmoins causé un dommage illicite).
Depuis qu’une volte-face judiciaire s’est produite en France en 1997 et a été suivie par les tribunaux luxembourgeois depuis, un parent ne peut se dégager de la responsabilité des actes de son enfant que s’il peut démontrer que la force majeure l’en a empêché. Des exemples concrets montrent comment la nouvelle règle rend presque impossible pour les parents de réfuter la lourde présomption de responsabilité qui repose sur eux dans le cas où leur enfant mineur cause un préjudice à une autre personne.
On ne saurait trop insister sur la séparation de la responsabilité parentale pour les actes de leur enfant et de la responsabilité individuelle pour ses propres actions. Par conséquent, même si les parents ne peuvent pas être tenus responsables du comportement destructeur de leur enfant, le jeune porte toujours le blâme. La victime peut poursuivre le mineur à titre individuel, les parents du mineur étant ses administrateurs légaux, et obtenir une peine qui ne peut être exécutée que sur les biens du mineur. Un jugement peut être exécuté pendant une période maximale de 30 ans, ce qui permet au titulaire du jugement d’attendre que le mineur soit majeur et ait obtenu un emploi avant de saisir ses gains.
Les parents toxiques sont ceux qui, à partir d’un jeune âge et jusqu’à l’âge adulte, sabotent activement la croissance et le développement de leur enfant. Ils agissent de manière destructrice pour prendre le contrôle de leur enfant. En ce qui concerne les styles parentaux, quelles caractéristiques définissent les parents toxiques? Qu’est-ce qui rend un père toxique? De quelle façon traite-t-il son (ses) enfant(s)? Réponses.
Définissez un parent qui est toxique.
Il n’y a pas de meilleur mot que « toxique » pour décrire les parents qui exposent régulièrement leurs enfants à des traumatismes, des abus et des critiques de tout type et qui, dans la plupart des cas, ne changent pas leur comportement même après que leurs enfants ont grandi. La psychologue américaine Susan Forward utilise cette expression pour décrire les parents abusifs. Toxic Parents auteur ici. Sur la façon de se libérer de leur contrôle, l’expert identifie de nombreux types de parents abusifs.
Les parents tout-puissants. Ils sont extrêmement arrogants et abusifs de leur position de parents.
Parentalité médiocre. Ce parent n’est pas impliqué ou n’aide pas la scolarité de son enfant.
Problèmes de contrôle parental. Pour empêcher leur enfant de développer sa propre identité, ils veulent microgérer chaque instant de son éveil. Susan Forward soutient que de nombreux parents autoritaires le font par peur profonde d’être remplacés, et perpétuent ainsi l’impuissance de leurs enfants.
Parents toxicomanes ou alcooliques. Ils sont incapables d’être des parents efficaces en raison de leurs dépendances, ce qui affecte leur capacité à être là pour leur enfant. Un enfant toxicomane se sent souvent impuissant et souffre beaucoup en raison de son état.
Parents violents, physiquement ou émotionnellement.
Inceste parental.
Pensez à ce que vous ressentez en ce moment.


Figures paternelles :
Certains des traits parentaux toxiques ci-dessus sont plus répandus chez les pères que chez les mères.
Le handicap du père. C’est le père absent qui privilégie son travail, ses passe-temps ou sa vie sociale plutôt que sa famille. Ce type de parent accorde une grande confiance à la mère pour prendre soin de son enfant et le guider. Son implication en tant que père est minime même quand il est là physiquement.
Père, alcoolique. En raison de la prévalence plus élevée des alcooliques masculins par rapport aux femmes, les pères alcooliques ont tendance à dominer les graphiques de l’arbre généalogique. Ces pères sont souvent incapables de participer à la scolarité de leur enfant à cause de leur alcoolisme. Susan Forward note que prendre soin d’un alcoolique et maintenir son apparence nécessite tellement de temps et d’efforts que cela laisse peu de choses pour les besoins fondamentaux des enfants. En conséquence, il peut arriver que l’enfant d’un père alcoolique doive intervenir et prendre soin de la famille (mettre son père au lit, éviter tout ennui pour lui, lui cuisiner, etc.).
Comme dans, le parent violent. Certains pères violents sont influencés par la conviction qu’ils ont plus le droit d’exercer l’autorité parentale que leurs épouses. Ils agissent avec arrogance parce qu’ils pensent qu’ils sont tout-puissants. Le traumatisme de subir de la violence physique en tant que jeune est une cause fréquente de ce comportement. Selon Susan Forward, les parents qui abusent physiquement de leurs enfants souffrent d’un grave manque de contrôle des impulsions, frappant leurs enfants chaque fois qu’ils éprouvent des émotions négatives intenses qui doivent être libérées.


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