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quels sont les droits et les devoirs des parents


quels sont les droits et les devoirs des parents Aussi vastes soient-ils, les droits des parents d’exercer leur autorité ont des limites. Le meilleur intérêt de l’enfant doit toujours être prioritaire.
Localisez la résidence principale de l’enfant :
Parce que ses parents ont le droit et la responsabilité de la garde, l’enfant doit vivre avec eux. La maison de leur enfant est réparée. La capacité d’appliquer les règles est un élément crucial du rôle de parent. Aussi, « l’enfant ne peut, sans l’accord des père et mère, quitter le domicile familial et ne peut être transféré que dans les cas de nécessité définis par la loi » (article 371-3 du Code civil).
L’enfant et toute autre partie sont soumis à ce règlement. Sans le consentement de ses parents, l’enfant ne peut pas vivre avec n’importe qui. Ses parents peuvent lui accorder la permission de passer du temps loin de la maison, par exemple dans un pensionnat, un apprentissage, un travail ou en vacances.
Le jeune homme considère toujours la maison de ses parents comme sa maison, même s’il vit loin d’eux. En réalité, les parents peuvent intenter une action en justice et impliquer la force publique (la police) pour ramener leur enfant à la maison.
De plus, en tant que parent, vous avez la responsabilité de la garde :
L’obligation de fournir un foyer sûr et stable à son enfant va de pair avec le droit de le faire, si la garde est un droit. L’objectif ici est d’assurer la sécurité du mineur. L’absence d’autorité parentale peut être retirée aux parents qui n’ont pas assumé leurs responsabilités. Dans des situations extrêmes, un tribunal criminel peut maintenir l’abandon d’une accusation mineure, qui est passible d’une peine maximale de sept ans d’emprisonnement et d’une amende de 100 000 $.
Il y a une responsabilité à surveiller :
Il est de la responsabilité de surveiller les mineurs pour assurer leur bien-être physique et moral. Les parents surveillent de près leur progéniture, surveillant ses allées et venues, ses interactions avec les autres (pas seulement les parents et les amis proches), ainsi que la correspondance et d’autres formes de communication (réseaux sociaux, courriels, téléphone).
En conséquence, les parents peuvent interdire à leur enfant mineur de rester en contact avec des personnes spécifiques s’ils estiment que cela nuira au développement de l’enfant. Le droit de garde est inextricablement lié à la responsabilité de la surveillance parce qu’il permet d’exercer une influence sur la vie quotidienne de l’enfant, non seulement à la maison mais aussi dans la communauté au sens large.
Mais les droits parentaux à cet égard ne sont pas sans limites. Une fois qu’un enfant a atteint un certain niveau de maturité, il peut affirmer une certaine indépendance et devrait être inclus dans les décisions qui le concernent.
Contraintes imposées par les parents pour le bien de leurs enfants :
L’intérêt supérieur de l’enfant et ses droits passent avant tout lorsque les parents exercent leur autorité. Quelques-unes d’entre elles sont décrites dans la Convention internationale relative aux droits de l’enfant du 20 novembre 1989.
Il garantit qu’aucun mineur ne sera violé dans son droit à la vie privée, à la famille, au domicile ou à la correspondance et que la dignité d’aucun mineur ne sera entachée, conformément à l’article 16. L’âge de l’enfant et le développement de son caractère moral sont d’autres considérations importantes lors de sa surveillance. Le droit de l’enfant d’avoir des contacts significatifs avec ses grands-parents constitue également une contrainte.
Un juge des enfants est habilité à intervenir et à ordonner une action éducative en faveur d’un mineur, y compris le placement, si les parents manquent à leur devoir de surveillance et que le jeune se trouve en danger. Un juge d’un tribunal de la famille a le pouvoir de révoquer la garde légale d’un parent.
Établissements d’enseignement et d’enseignement :
Les parents sont les premiers et les plus influents enseignants d’un enfant. À cette fin, il n’est pas nécessaire d’aller à l’école. De plus, cela comprend l’enseignement de la sexualité, de la religion et de l’éducation civique. Le plan est de lui donner toute l’éducation dont il a besoin pour qu’il puisse fonctionner normalement dans la société et développer l’indépendance pour être un jour lui-même. Adulte égal.
L’éducation des enfants âgés de trois à seize ans est une obligation légale française. Ainsi, les parents devraient inscrire leurs enfants à l’école de leur choix au plus tard en troisième année. Pourtant, ils n’excluent pas l’option de l’enseignement à domicile pour leurs enfants.
Mesures disciplinaires et pédagogiques possibles :

S’ils enfreignent ce règlement, le juge peut leur imposer des conséquences comme leur retirer l’accès aux services de soutien éducatif ou même une peine d’emprisonnement. Ce dernier intervient lorsque la sécurité, le bien-être ou les possibilités d’éducation et de développement de l’enfant sont gravement menacés. Par exemple, il peut décider que l’enfant devrait être placé dans une autre famille ou que les parents devraient recevoir l’aide d’un service professionnel qui peut leur fournir des conseils et un soutien pendant qu’ils travaillent sur leurs problèmes.
Une fois que le jeune atteint l’âge où il souhaite conclure un contrat d’apprentissage, il doit d’abord obtenir le consentement parental. L’enseignement technique étend l’exigence de scolarité.

N’oubliez pas de tenir compte des préférences de l’enfant :
Par conséquent, les tuteurs légaux ont encore un certain pouvoir, mais ils doivent tenir compte des souhaits de leur enfant adulte: une fois que l’enfant a terminé ses études formelles, les parents ne peuvent pas l’obliger à trouver un emploi ou à poursuivre un cheminement de carrière particulier. Même si leur enfant mineur décide d’entrer sur le marché du travail, il signera son contrat de travail sans leur présence.


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