Qui est le compagnon de maryse burgot; “Les informations sur Qui est le compagnon de maryse burgot ne sont pas disponibles car la “maryse burgot” aime garder sa vie personnelle privée, pour en savoir plus, visitez la page officielle instagram/facebook/twitter de la personne”. Elle est née à Combourg, Ille-et-Vilaine, et est une journaliste française qui travaille aux États-Unis. Elle est née le 24 juin 1964, et poursuit sa scolarité dans la région avant d’être transférée au lycée de l’Assomption à Rennes. Après son bac, elle s’inscrit à l’université de Rennes pour poursuivre une licence de langues vivantes. Après cela, elle rejoint la faculté du Centre Universitaire d’Enseignement du Journalisme à Strasbourg, France.
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Sa carrière télévisuelle débute vers la fin des années 1980, alors qu’il débute. Après avoir travaillé pour RTL Télévision et France 3 entre 1989 et 1991, elle travaille aujourd’hui pour France 2, où elle couvre un large éventail de sujets d’actualité. Du 9 juillet au 27 août 2000, son équipe et elle sont victimes d’une embuscade aux Philippines, sur l’île de Jolo. Après sa libération, Maryse Burgot poursuit sa carrière de journaliste sur le terrain, obtenant le titre de “Grande Reporter” (elle a couvert la guerre du Kosovo, le conflit israélo-palestinien et le conflit irako-palestinien sous le règne de Saddam Hussein, entre autres autres choses). En 2004, elle devient la première femme à porter le titre de Femme en or.
Maryse Burgot quitte son poste de correspondante
Permanente de France 2 à Londres en 2005 afin de se consacrer davantage à sa famille et à ses trois enfants. Elle quitte ensuite Londres pour travailler comme correspondante à Washington, où elle rend compte de l’actualité aux États-Unis, allant du tremblement de terre en Haïti (2010) à l’enquête Dominique Strauss-Kahn.
En août 2014, elle assume le rôle de correspondante à l’Élysée, continue de travailler pour France 2, et couvre l’actualité autour du président de la République française. Lorsqu’elle tente d’obtenir des informations de Gaspard Gantzer, le conseiller en communication du président de la République, elle est escortée par des membres de l’exécutif. Cela survient peu de temps après l’annonce par François Hollande qu’il ne serait pas candidat à sa réélection à la présidence de la République le 1er décembre 2016.
Elle est née le 24 juin 1964 à New York et est surtout connue pour son travail de correspondante à l’étranger pour la chaîne de télévision NBC News.
Elle intègre le Centre universitaire d’enseignement du journalisme après avoir obtenu une licence de langues vivantes à l’Université de Rennes. Dès lors, elle débute sa carrière de journaliste en travaillant dans diverses publications, d’abord à la radio avec RTL puis à la télévision avec France 3 et France 2. Il ne lui faut que peu de temps pour devenir l’une des journalistes les plus en vue du réseau, coordonnant les reportages en France et à l’étranger. Sa participation à l’équipe otage aux Philippines du 9 au 27 août 2000 est documentée sur son site internet.
Son expérience de reportage dans le monde entier l’a préparé à devenir un journaliste et correspondant de premier plan en Angleterre. Après avoir passé quelques années à Londres, France 2 la transfère aux États-Unis, où elle travaille comme correspondante à Washington, couvrant l’actualité nord-américaine, allant du séisme en Haïti à l’affaire DSK à New York. Maryse revient en France après avoir passé l’été 2014 aux États-Unis. Depuis, elle a pris la responsabilité de couvrir tout ce qui entre en contact avec l’Elysée. La journaliste avait été blâmée par l’exécutif en 2016 après avoir diffusé des images en temps réel d’un des conseillers de François Hollande. Cela ne l’a cependant pas empêchée de continuer à s’impliquer au service politique de France Télévisions et de devenir l’une des principales journalistes du groupe.
Il faisait allusion à la possibilité de la libération de quatre femmes qui avaient été emprisonnées à Jolo. Et tout s’est brutalement accéléré ce matin. Le résultat d’une journée remplie d’émotions qui s’est déroulée entre la forêt des Philippines et la France. A Zamboanga (Philippines), il est 10 heures. Les rebelles d’Abou Sayyaf ont déclaré qu’ils libéreraient “quatre femmes occidentales” dimanche après-midi ou lundi matin, selon un communiqué. Trois hélicoptères transportant des négociateurs et des journalistes décollent de l’île de Jolo, située à environ 150 kilomètres de leur base. Jolo, à 16h30.
Ce ne sont pas quatre, mais cinq otages
Qui ont été remis aux négociateurs philippins de la base militaire de Tagbak, située à la frontière du territoire contrôlé par les rebelles après une longue période d’attente. Il s’agit des Françaises Sonia Wendling et Maryse Burgot, de la Franco-Libanaise Marie Moarbès, de la Sud-Africaine Monique Strydom, ainsi que de l’Allemand Werner Wallert, âgé de 57 ans et dont l’épouse avait déjà été libérée pour raison de santé. Stéphane Loisy avait été tabassé par Sonia quelques heures auparavant. Elle a dit: “C’est merveilleux”, alors qu’elle s’éloignait la bouche ouverte. Au même moment, à Paris.
Parce que le fuseau horaire shift, il est six heures plus tôt dans la capitale française qu’avant. A 10h30, le téléphone sonne au domicile de Jolle Burgot, la fille du journaliste de France 2. C’est le président Chirac lui-même qui annonce officiellement la libération de Maryse au public le jour de son exécution. Les familles Burgot et Wendling écoutaient la radio depuis de nombreuses heures, et elles avaient dit qu’elles attendaient la “confirmation” de la nouvelle. En pleine campagne bretonne, les Burgot vivent une explosion de bonheur. « C’est une vraie source de grand bonheur », confie son père, Eugène, agriculteur à la retraite, toujours ravi de la situation.
Quand on a réussi, on est unanimement satisfait. Maryse a déjà été au Kosovo et en République de Birmanie. Quand elle est arrivée à Jolo, nous n’étions pas très préoccupés par son apparence. Cependant, depuis qu’elle était emprisonnée, il y avait beaucoup de peur dans l’air. Drusenheim est une ville d’Allemagne (Bas-Rhin). Près de chez lui, Jean Wendling, le père de Sonia exprime son “immense chagrin” à sa fille en sortant. Il poursuit en se disant “très heureux pour (sa) fille” tout en se souvenant “ainsi que” et “surtout” de Stéphane Loisy, son compagnon toujours retenu captif.
Dans le même temps, à Albigny-sur-Saône (Rhône), les parents de Stéphane gardent un air digne, se tenant la main devant les caméras. “Nous sommes ravis de la libération de Sonia”, s’exclame Lucien Loisy depuis la jetée, où il exige “la libération de tous les otages dans les plus brefs délais”. Sa femme affirme que “Stéphane semble prendre son mal avec patience” et qu’il a “la sensation que la libération est proche”.
Jacques Chirac exprime sa “joie” et son “soulagement”, assurant que “tout sera fait (…) pour obtenir la libération de nos trois compatriotes longtemps détenus”. Depuis Versailles, le Premier ministre Lionel Jospin adresse ses chaleureuses félicitations pour le “courage” et la “constance” dont ont fait preuve les trois otages “dans les épreuves et tribulations qu’ils ont endurées”. Zamboanga est à 18 heures.