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qui sont les parent de didier lallement


qui sont les parent de didier lallement Le préfet de police de Paris, Didier Lallement, figure éminente de la politique et de la société françaises et père de plusieurs enfants, devrait démissionner de son poste dans un proche avenir.
Didier Lallement, préfet de police de Paris et père de nombreuses enfants, possède sans aucun doute un haut niveau de formation, comme en témoigne sa capacité à maintenir l’ordre lors des différents conflits sociaux qui secouent la France depuis 2019, date de sa nomination. Bien qu’il ait une réputation d’autoritarisme, il semble que même l’homme d’État garde certains secrets de sa propre famille.
Père de cinq enfants et passionné de Harley Didier Lallement
Il est de notoriété publique que le cœur des gens n’est pas aussi dur que leurs extérieurs le suggèrent. Il est difficile d’imaginer Didier Lallement, comme certains papas Instagram, allaiter son enfant ou se déguiser en sirène. En tant que père de cinq enfants, son respect pour l’autorité a été tempéré par son fandom de Harley Davidson. Mais les motos ne sont pas son seul intérêt; Il a également un œil aiguisé pour les vêtements de cérémonie, commandant six ensembles de chaque costume à porter lors de ses divers événements.
Relations et apprentissage :
L’anniversaire de Didier Lallement est le 27 août et il est né dans le 6ème arrondissement de Lyon. Son père et sa mère travaillaient tous deux pour La Samaritaine; Il était représentant des ventes et elle était employée.
Il est titulaire d’un DESS en gestion et administration des gouvernements municipaux, ayant terminé des études à l’Institut supérieur de gestion.
Il est marié et père de cinq enfants.
La politique et les jeunes :
Il était l’ancien chef des étudiants socialistes CERES et membre de la délégation que la faction chevnementiste du Parti socialiste a envoyée au Nicaragua révolutionnaire à l’été 1984 pour montrer son soutien au mouvement sandiniste.
Après avoir quitté CERES, il devient un habitué de la loge parisienne du Grand Orient franc-maçon.
Sous-préfet :
En 1981, il fait ses débuts sur le marché du travail en tant que chef de cabinet de la municipalité de Pinay-sur-Seine. Jusqu’en 1988, il est secrétaire général puis secrétaire général adjoint du syndicat intercommunal d’Epinay-sur-Seine.
Il a été secrétaire d’État à la Jeunesse et aux Sports Roger Bambuck en 1988 et 1989. Il a rejoint le cabinet du secrétaire d’État aux Collectivités locales de l’époque, Jean-Michel Baylet, en tant que conseiller technique en 1989. Sous-préfet et chef de cabinet du préfet de l’Essonne, il entre en préfecture l’année suivante.
De retour à l’administration préfectorale en tant que secrétaire général de la préfecture de la Marne entre 1993 et 1996, il avait auparavant travaillé comme chef de projet et directeur au cabinet du secrétaire d’État aux collectivités locales de l’époque, Jean-Pierre Sueur, à partir de 1991. Lorsqu’il a quitté la DATAR, il était responsable du service d’action régionale et rurale de l’organisation.
Conseiller technique au Ministère de l’Intérieur dans l’administration Jean-Pierre Chevnement 8 de 1997 jusqu’à sa promotion au poste de Directeur Général des Collectivités Locales en 2000. De 1997 à 2000, il a occupé ce poste, période au cours de laquelle on lui attribue la proposition au ministre de l’accélération des regroupements intercommunaux, menant au vote de la loi relative au renforcement et à la simplification de la coopération intercommunale le 12 juillet 19991.
Adjoint au chef de département :
Sa promotion au poste de préfet de l’Aisne a eu lieu en 2000. Ce n’est que l’année suivante qu’il a été promu au poste de directeur de l’administration pénitentiaire, poste qu’il a occupé jusqu’en 2004. Didier Lallement, en collaboration avec Dominique Perben, alors gardien des phoques, a fondé à la fois le Bureau du renseignement pénitentiaire et les équipes régionales d’intervention et de sécurité (RIS).
Sa carrière politique débute en 2004 lorsqu’il est nommé préfet de Sane-et-Loire, et se poursuit en 2005 lorsqu’il est nommé directeur de cabinet de Dominique Perben, alors ministre des Transports, de l’Equipement, du Tourisme et de la Mer (en 2007, fonctions assurées par le ministre de l’Écologie, à l’exception de celle du tourisme). En ce qui concerne l’équipement, Lallement a joué un rôle déterminant dans la dissolution du département des routes et dans la combinaison du corps d’ingénierie des ponts et des routes avec le département du génie rural, de l’eau et des forêts en 2009.

Il a ensuite travaillé pour Aroports de Paris en tant que directeur général de l’aviation civile et commissaire du gouvernement pendant une brève période à partir de février 2007.

Entre octobre 2007 et octobre 2010, il a été secrétaire général du ministère de l’Écologie sous Jean-Louis Borloo et a supervisé la mise en œuvre de la nouvelle structure du ministère pour ses services administratifs. Il a également été haut fonctionnaire dans les départements de la défense et de la sécurité du ministère entre 2008 et 2010.


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