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qui sont les parent du petit bastien


qui sont les parent du petit bastien La naissance du petit Bastien fut plus que malvenue ; on l’a activement souhaité. La mère de Charlne COTTE a nié la grossesse, et le père de Christophe CHAMPENOIS a nié la paternité. Le jour de la naissance est le premier jour où les parents doivent faire face à la vérité : ils sont parents. Ce que d’autres personnes peuvent considérer comme leur devoir, cependant, se sent comme une obligation ici. Le coût de la naissance de Bastien sera avec lui pour le reste de sa brève vie.
Un père avec des antécédents de violence bien documentés :
Le père de Bastien, Christophe CHAMPENOIS, n’est pas quelqu’un que la police n’a jamais eu affaire auparavant. En fait, il a un total de six condamnations à son casier, dont une pour violence conjugale contre sa partenaire Charlne COTTE. Ses problèmes d’alcoolisme et de consommation de cannabis sont des facteurs supplémentaires. Les services sociaux, qui surveillaient déjà la famille, n’ont trouvé aucune preuve de violence conjugale après avoir reçu trois signalements d’un enfant en danger, dont le plus récent a été déposé le 18 juillet 2011 et impliquait Bastien. Alors que la violence du père s’intensifie, son ami ou son partenaire finit par se joindre à lui et l’aide à faire du mal à leur enfant. Le couple qui a Bastien et sa sœur aînée Maud multiplie les abus sur leur deuxième enfant. Chaque fois que Bastien fait quelque chose de stupide, il est puni en étant enfermé dans un placard pendant plusieurs heures avec ses mains scotchées pour qu’il ne puisse pas s’échapper et un pot à ses côtés pour pouvoir utiliser les toilettes. Bastien connaît chaque détail de cette horrible punition. Le 25 novembre 2011, cependant, à Germigny-l’Evque, les choses seront bien pires pour le jeune garçon. Il en est arrivé au point où il ne peut pas survivre. Depuis qu’il se comporte à l’école, son père veut lui donner une punition plus sévère que d’habitude. Il met son enfant dans la laveuse, sélectionne le cycle d’essorage approprié, puis allume la machine. L’épreuve dont Bastien a été témoin a duré une demi-heure. Le petit garçon ne fait pas de bruit lorsque son père ouvre le hublot et l’emmène dehors. Son corps bleu démembré. A 18h20, quand il alerte les pompiers et les gendarmes, il est trop tard : Bastien, 3,5 ans, a déjà péri.
Une mère qui joue à un jeu de puzzle avec son enfant pendant l’action peut être considérée comme une participante.
Si Christophe CHAMPENOIS est le père, il aurait laissé l’enfant dans la machine à laver sans aucune résistance de la mère. Pire encore, elle a ignoré les cris de son fils tout le temps et a continué à jouer à des puzzles avec sa fille, Maud. Lorsque les gendarmes arrivent et découvrent le corps de l’enfant, ils placent les parents en garde à vue et ouvrent une enquête. Les deux parents ont donné des explications contradictoires: Bastien est tombé dans les escaliers, puis son père a essayé de le ranimer en le mettant dans la baignoire. En fin de compte, ce sera la sœur aînée de Bastien, Maud, la petite fille innocente, qui révélera l’incroyable avec sa déclaration. Père a fait laver Bastien. Mais où est allée maman ? Pendant ce temps, maman et fille s’amusaient à résoudre des énigmes. L’enquête est gâchée par ces nouvelles informations; Le père est accusé de meurtre et la mère est accusée de complicité.
Au procès, le père a été reconnu coupable, mais la mère a été graciée.
Du 8 au 11 septembre 2015, les parents de Bastien seront jugés par le même tribunal de Melun qui a traité l’affaire Inaya. Il s’agit de la cour d’assises de Seine-et-Marne. L’avocat général M. Ric de VALROGER a demandé que la mère soit déclarée non coupable de complicité et condamnée à cinq ans de prison pour violence, tout en demandant que le père soit condamné à perpétuité. Comparées aux trente années d’emprisonnement criminel infligées au père, les douze années d’emprisonnement infligées à la mère pour sa complicité vont bien au-delà des exigences de l’avocat général. Une punition plus sévère que celle exigée par le ministère public. Un acte de complicité est tout aussi cruel que le crime lui-même.
Charlne COTTE a interjeté appel du verdict et a été libérée sous caution par la Chambre de l’instruction de la Cour d’appel de Paris le 11 mars 2016 ; La date du procès en appel n’a pas encore été fixée. fixe. Le parquet a également interjeté appel de la condamnation de Christophe CHAMPENOIS.
Ce groupe est comme une famille pour nous, car beaucoup d’entre nous sont liés.
Merci de m’avoir entendue, dit-elle, la voix claire mais tremblante. Elle explique l’objectif des services sociaux aux conseils départementaux en utilisant un jargon administratif qu’elle tente de rendre compréhensible. Faites une liste des points principaux et des sous-points de son histoire. Ceci est un rappel que les services sociaux ne sont pas responsables de la réalisation de l’enquête de quartier. Et rejoint le clan des Champenois-Cottes. C’est le genre de famille que nous avons vue plusieurs fois auparavant : vulnérable, vivant dans des conditions sales. Chaque année, les travailleurs sociaux de Seine-et-Marne suivent les progrès d’environ 5 000 enfants. Nous proposons de faire venir un travailleur social pour vous aider à cuisiner, à nettoyer et à prendre soin de vos enfants.

« N’y a-t-il pas un décalage choquant entre les signes avant-coureurs et l’offre d’un atelier de maquillage et de coiffure à Madame Cotte ? » Rodolphe Costantino, avocat de la partie civile Childhood and Sharing, Inc., a déposé un recours. « Nous devons veiller à ce que les gens continuent d’exister afin qu’ils puissent transmettre le don de la vie à leur progéniture. À mon avis, l’indépendance et l’instinct maternel de Madame Cotte se sont estompés avec le temps. Donc, cela pourrait sembler absurde, mais je ne le vois pas de cette façon. Nous sommes aussi allés au marché avec Madame Cotte et avons acheté des lits pour les enfants », répond Christine Boubet.


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