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qui sont les parents dantoine hoang

qui sont les parents dantoine hoang Comme apprendre une nouvelle langue, commencer tôt le tennis augmentera vos chances de succès. Si, comme Antoine Hoang, vous passez votre enfance à marteler les courts en terre battue du domaine familial, il n’est pas surprenant que vous serviez et volleyiez un jour à Roland-Garros. Cependant, tous les enfants qui commencent à jouer au tennis avant l’école primaire ne passeront pas au troisième tour des Internationaux de France. Ce n’est pas si facile, après tout.


Samedi prochain, Hoang affrontera Gal Monfils au troisième tour sur l’impressionnant court Philippe-Chatrier. Dès l’âge de 6 ans, elle commence à fréquenter le club La Garde dans le Var. Puis, dès l’âge de 10 ans, il s’entraîne au Tennis club du littoral de Toulon sous la tutelle d’Olivier Boudeau, qui restera son entraîneur pendant près d’une décennie. L’entraîneur s’extasie sur sa fierté envers son ancien élève, notant que le père du joueur l’a formé dès son plus jeune âge. C’était une entreprise très familiale, et nous avons pu la récupérer. Aujourd’hui, j’ai l’impression d’un enfant en pleine maturité et en développement.
Pendant un certain temps, le père d’Antoine Hoang, dentiste comme sa mère, a été pensé pour garder son joyau dans la collection familiale. Tant dans le contexte parent-enfant que dans celui d’entraîneur-joueur, Olivier Boudeau reconnaît que la communication peut être difficile. Antoine, je crois, s’est senti plus à l’aise de séparer les deux camps en consultant des tiers. Une caractéristique déterminante des habitants du sud qui persiste jusqu’à nos jours. Selon Hoang, son père a exprimé un fort désir d’y assister. Quand je suis sur le terrain et qu’il est dans les gradins, mon esprit vagabonde vers les choses qu’il doit considérer plutôt que vers le jeu à jouer. Par conséquent, j’ai poliment demandé qu’il ne soit pas présent. Pour mon propre bien, je crois qu’il l’accepte.
Dans ses propres temps, il a fait des progrès constants:
Comme en témoignent deux titres du Grand Chelem pour la première fois, cette stratégie semble être couronnée de succès. Le joueur qui, il y a quelques jours à peine, s’est classé n ° 238, mais qui grimpera au classement après ce tournoi, continue de maintenir la concentration intense qu’il recherche toujours. De la même manière qu’il n’a pas adouci son attitude réservée ou sa nature intransigeante. Son ami et partenaire de double Louis Tessa peut attester que Hoang est modeste et réservé dans sa personnalité. Il déploie énormément d’efforts. Beaucoup plus que d’autres. Tonio est le genre de gars qui, en novembre, apportera un seau de balles et refusera de quitter le court tant qu’il n’aura pas perfectionné son service.
Olivier Boudeau se souvient de lui comme l’un des jeunes Français les plus prometteurs. Champion d’Europe, il atteint la finale du Championnat de France garçons et filles de 13 et 14 ans. Il n’est pas un inconnu. Mais il n’a pas fait de découvertes majeures; au contraire, il s’est développé normalement. S’il n’atteint pas le niveau de tennis professionnel, il peut continuer à jouer et à apprendre (bac S, licence Staps). Pour cette raison, le public n’a appris l’existence de Hoang qu’à l’âge de 23 ans. Le nouvel objectif n’est rien de moins que de percer le top 100. Louis Tessa a promis à Tonio qu’il se rendrait immédiatement à Paris s’il gagnait son match contre Monfils. Ce sera forcément une aventure passionnante. Ce n’est que le début de ce qui sera sûrement une vie d’aventures incroyables pour lui.
Où et quand as-tu pris une raquette de tennis pour la première fois, Antoine ?
Quand j’avais environ trois ans, mon père et ma famille ont commencé. Toute ma famille était ici, et mon père était dans la deuxième série. J’étais le dernier de mes parents. Mon père, mon frère aîné Baptiste et ma sœur aînée Delphine se réunissaient fréquemment sur le terrain pour travailler. C’est ainsi que j’ai recueilli beaucoup d’informations utiles. Compte tenu de son ancienneté, mon frère aîné avait naturellement plus de punch dans son swing. Sans aucun doute, cela m’a poussé vers l’avant. Mon père m’a formé à la maison près de Toulon jusqu’à mes 14 ans. Ma formation s’est déroulée au TC du Littoral. Quand j’avais 15 ans, l’entraîneur du club a pris la relève de mon père et est resté avec moi jusqu’à mes 22 ans.
Votre premier entraîneur était qui ?
Le premier n’était pas du tout professeur de tennis, mais plutôt mon père, qui était dentiste. Et puis il y avait Olivier Boudeau, mon entraîneur de club ; il a été suivi par Lionel Zimbler, mon entraîneur actuel. Quand j’étais jeune, je n’avais pas beaucoup de mentors. Puisque je suis le genre de personne qui valorise l’engagement à court terme, cette description me convient parfaitement. C’est important pour moi que mes entraîneurs aient ma confiance et qu’ils sachent qu’ils peuvent compter sur la mienne.
Si votre père a joué un rôle dans votre succès, quel était-il?
C’est lui qui m’a montré la bonne façon de saisir une raquette, où placer mes supports et comment faire les mouvements appropriés. C’est un perfectionniste, et cette attitude envers le travail est quelque chose qu’il m’a inculqué. Il a constamment poussé pour notre croissance. Je lui dois beaucoup de la personnalité axée sur l’amélioration que j’ai aujourd’hui.


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