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qui sont les parents de jonathan daval

qui sont les parents de jonathan daval Martine Henry, la mère de Jonathann Daval, a décidé d’écrire un livre intitulé « Moi, la mère de Jonathann » cinq ans après le meurtre d’Alexia pour raconter sa version de l’histoire. Elle se concentre à nouveau sur son fils et le déroulement des faits dans ce livre. Elle représente non seulement les parents de la victime, qu’elle est prête à qualifier volontairement, mais aussi l’ancienne belle-fille de l’agresseur.


Selon vous, quel respect la mère d’un meurtrier mérite-t-elle ? C’est une question à laquelle il est difficile de répondre, mais la mère de Jonathann Daval, Martine Henry, a commencé à écrire sur son expérience à la suite de la mort de son fils. Son livre, co-écrit avec Plana Radenovic et intitulé simplement Me, Jonathann’s mother, a été publié un an après le livre des parents d’Alexia (éditions Michalon). Elle veut brosser un tableau différent de son fils, si elle ne veut pas nier carrément les faits. En conséquence, elle brosse un tableau unique d’Alexia et de ses proches, même si tout le monde n’est pas d’accord avec elle.
Une conférence de presse a eu lieu à l’hôtel de ville de Gray le 2 novembre 2017. Martine Henry détaille ce qui s’est passé et souligne un geste posé par la mère et la sœur d’Alexia qui l’a marquée durablement : « Nous étions chez le Fouillot juste avant que Florent et moi entrions dans l’arène. Quand j’ai entendu Isabelle Fouillot dire à la sœur d’Alexia, Stphanie Gay, qu’elle et sa sœur devaient sécher avant de quitter la maison, j’étais stupéfaite. Considérer son apparence en ce moment dépasse ma compréhension. Complètement. Non, ce point de vue n’est pas partagé par moi. »
SON INTENTION D’AJOUTER UNE OMBRE AU PASSÉ :
Martine Henry écrit dans le livre sur sa vie avant et après la naissance de son fils, ainsi que sur sa relation avec Alexia, qu’il a épousée en 2015 mais qu’il voyait depuis 2004. Elle a l’intention de couvrir tout, de la découverte initiale de la scène de crime et de l’enquête au procès et à l’incarcération (l’auteur est actuellement détenu au centre de détention provisoire de Dijon), en passant par la couverture médiatique ultérieure de l’affaire et la réponse positive qu’elle a reçue. Pour montrer que, dans ce terrible drame, rien n’est noir ou blanc, elle a décidé de présenter l’affaire sous un angle différent de celui de la famille de la victime. Elle travaille également dur pour dissiper les rumeurs sur le manque d’amour et de soutien qu’elle a pour son fils.
Isabelle et Jean-Pierre Fouillot, dans leur livre Alexia, notre fille (éditions Robert Lafont, 28 octobre 2021) sur Jonathann Daval (condamné pour le meurtre de sa femme Alexia), révèlent que Daval a également espionné sa belle-famille.
Depuis le jeudi 28 octobre 2021, les médias couvrent à nouveau le meurtre d’Alexia Daval en 2017. Ce jour-là, Robert Laffont sort Alexia, notre fille, écrit par les parents de la jeune fille, Isabelle et Jean-Pierre Fouillot. Dans ce livre, les parents réfléchissent non seulement à la mort tragique de leur fille aux mains de son mari Jonathann Daval, mais aussi à son caractère unique. De plus, les parents d’Alexia ont profité de ce livre pour partager quelques secrets de famille sur leur gendre. La preuve la plus notable que Jonathann Daval espionnait Isabelle et Jean-Pierre Fouillot provenait de leurs propres mots.
En effet, lorsqu’Alexia Daval et sa famille ont emménagé avec leur fille et son petit ami, ce dernier a mis ses compétences en informatique à profit pour garder un œil sur tout le monde. « Nous, Isabelle et moi, n’en savions pas grand-chose, et nous étions complètement déconcertés par un problème de connexion, même mineur. Toujours, lui, informaticien, s’en occupait « Dans Alexia, notre fille, explique Jean-Pierre Fouillot. Jonathann Daval s’est même occupé de « toute l’installation pour [eux] au bar et à la maison », comme l’a déclaré le mari d’Isabelle Fouillot.
« Il faisait vraiment partie de nos vies », disent Isabelle et Jean-Pierre Fouillot à propos de leur défunt fils Jonathann Daval.

« Il avait mis en place un système de caméras connectées qui nous permettait de voir depuis notre ordinateur ce qui se passait », a-t-il ajouté. En conséquence, le gendre d’Isabelle et Jean-Pierre Fouillot avait « tous les codes d’accès » à leurs appareils électroniques et à leur correspondance. On a très vite eu une confiance totale en lui », a avoué le père d’Alexia Daval, avant d’ajouter que toutes les informations glanées par Jonathann Daval lui servaient à « espionner l’intérieur du café, pour savoir qui est là. trouvé et s’il pouvait s’y rendre sans risque ». Le gendre des Fouillot « savait vraiment comment faire en sorte que nous l’acceptions avec nous, et, bien sûr, le fait qu’il ait vécu dans nos murs pendant un an a facilité les choses », écrivent-ils dans leur livre. Ils ont dit: « Il faisait vraiment partie de nos vies. conclue enfin.


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