Qui sont les parents de mila: “Les informations sur Qui sont les parents de mila ne sont pas disponibles car la “mila” aime garder sa vie personnelle privée, pour en savoir plus, visitez la page officielle instagram/facebook/twitter de la personne”. L’histoire de Mila commence le 18 janvier 2020, lorsque Mila, une adolescente de seize ans, attaque avec véhémence l’islam sur Instagram. Elle avait récemment décliné les démarches d’un internaute, et de ce fait, elle a été accusée de racisme et d’offensant envers les lesbiennes.

Alors que la vidéo dans laquelle elle critique l’islam et tient des propos insultants est devenue populaire sur les réseaux sociaux, ses propos ont été perçus comme désobligeants par certains internautes, et elle a reçu des dizaines de milliers de messages homophobes, misogynes et d’appels à la violence, au viol, et meurtre. Cette circonstance l’oblige à se retirer de l’école et à se retirer dans sa maison, où elle est placée sous protection judiciaire.
Au cours de plusieurs jours, l’incident a pris une dimension nationale, suscitant de multiples commentaires dans les secteurs politique, médiatique et religieux, notamment sur l’islamophobie, le droit au blasphème et la liberté d’expression dans la culture française contemporaine.
Simultanément, deux enquêtes judiciaires sont ouvertes : l’une contre Mila pour incitation à la haine raciale – qui est immédiatement classée sans suite – et l’autre sur les harcèlements et menaces de mort dont elle a fait l’objet. En juin 2021, treize de ses cyber-attaquants seront jugés.
En novembre 2020, l’affaire est rouverte avec de nouvelles menaces de meurtre proférées contre l’adolescente en réponse à une nouvelle vidéo de Mila.

Mila n’est apparue dans les médias qu’une seule fois pendant la polémique : le 3 février 2020, dans l’émission Quotidien de TMC. Alors qu’elle vit recluse avec ses parents depuis plusieurs jours, elle accepte ses propos et revendique son “droit au blasphème”, tout en soulignant qu’elle n’avait pas l’intention de “cibler les êtres humains”, regrettant “de l’avoir dit aussi bien”. . vulgaire », et s’excusant auprès de ceux qui « pratiquent leur religion en paix ».
Mila demande à être transférée du lycée Léonard-de-Vinci de Villefontaine après que l’Éducation nationale a déterminé qu’elle mettait en danger ses camarades de classe 16.
Pourtant, en juin 2020, ses parents reprochent à l’Éducation nationale son « inertie » : ils constatent qu’elle est déscolarisée depuis quatre mois et que tous les établissements publics de la région affirment ne pas être en mesure de garantir la sécurité.
Un an après les déclarations anti-islamiques de la petite Mila, les menaces continuent de ponctuer sa vie et celle de ses parents. La famille admet avoir subi des « hauts et des bas » entre le dépôt d’une plainte et l’obtention d’une protection.
La vie de Mila est bouleversée depuis près d’un an jour pour jour. Cette adolescente de la région lyonnaise a discuté en direct sur Instagram le 18 janvier 2020.
Plusieurs heures après avoir tenu des propos négatifs sur l’islam, elle a reçu des milliers de menaces de mort. “J’ai perdu la vie”, a-t-elle déclaré au Point dans une longue interview. Elle dresse une sorte de bilan un an après les faits, accompagnée de ses parents. Toute la famille partage le rythme des menaces et des attaques.
Un an après le début de “l’affaire Mila”, les parents de la jeune femme affirment avoir subi “une douloureuse désillusion”. Aujourd’hui encore, leur fille admet qu’elle est consciente qu’elle “risque de mourir chaque jour la gorge tranchée dans le monde réel”.
Qu’il s’agisse de parler de l’islam, des réseaux sociaux ou de la société en général, Mila garde son franc-parler : « Je qualifie les lyncheurs des réseaux sociaux d’insatisfaits et de suicidaires », dit-elle. L’individu qui a été forcé de changer plusieurs fois d’école secondaire pense que “ceux qui sont vraiment heureux ne cherchent pas à causer des problèmes aux autres”.
Même en vacances, à son grand dam, ses mots méchants la suivent. Cet été, lors d’un séjour linguistique à Malte, elle a été “la cible de menaces de mort et de viol”, selon Audrey Quey, procureure de Vienne. “Son agresseur a été appréhendé et jugé à Malte, où il a été condamné à un an de prison avec sursis”, a indiqué le magistrat.
Les parents de Mila, une jeune fille qui avait insulté l’islam avec véhémence sur les réseaux sociaux, ont exprimé lundi leur mécontentement au palais de justice alors que les harceeurs de Mila étaient traduits en justice.
Mila, une jeune femme qui avait critiqué l’islam
Dans deux vidéos diffusées sur internet les 28 janvier et 14 novembre 2020, est harcelée et parfois menacée de mort depuis lundi. Trois personnes ont été arrêtées et inculpées de son meurtre à Paris. Pour l’heure, 8 personnes ont été entendues lundi, avant les 5 autres personnes. Nous avons passé environ 14 heures à débattre lors de cette première journée de participation du public, qui incluait la présence des parents de Mila.
Bien que le père de Mila ne parlait pas, il ne semblait pas moins expressif en écoutant chaque annonce de l’avenir. Il était possible de le voir trépigner sur son banc, même s’il ne semblait pas d’accord avec leurs raisons.
Par la suite, la mère de Mila a été entendue pendant plus de deux heures, marquant sa première implication publique dans l’affaire depuis qu’elle a été révélée pour la première fois il y a un an et demi. Au début, elle déclare que “le ciel nous est tombé sur la tête et nous sommes au milieu d’une calamité”.
Qui sont les parents de mila
Mila vit désormais dans une grotte, dans un autre monde, selon elle, qui raconte l’histoire. Il est regrettable que sa mère soit incapable d’envisager un avenir pour sa fille dans lequel elle serait sous protection policière constante.
Le père de François Mila, menacé de mort en raison de ses opinions anti-islamiques, s’est exprimé sur BFMTV sur le traitement de sa fille par le présentateur Cyril Hanouna, qu’il a accusé d’avoir “essuyé les pieds” sur elle “dans une odieuse manière.”
Mila avait accepté une demande unique et
Inhabituelle d’apparaître dans une émission de télévision, malgré le fait qu’elle était mêlée à une tempête de controverse après ses remarques sur l’islam. De plus, sur BMTV le vendredi 27 août, son père a expliqué pourquoi il avait été contraint d’accepter l’offre : « Au bout de quelques semaines, j’ai réalisé qu’il serait bénéfique pour Mila d’avoir le l’occasion de s’exprimer.”
Cette fois, la famille opte pour le plateau “Quotidien” sur TMC. “Ça a un peu amélioré les choses depuis que les gens se sont rendus compte que ce n’était qu’un toc comme tous les autres”, confie son père maintenant que la situation s’est améliorée. Les propos tenus cette fois par Cyril Hanouna, animateur de C8, n’ont en revanche pas été bien accueillis par le public.
“Certaines personnes, agacées que Mila n’ait pas été incluse dans leur programme, l’ont piétinée de manière odieuse. Ils avaient tenté au moins dix fois de la faire apparaître dans leur émission, affirmant à chaque fois que ses propositions étaient ‘inadmissibles’. et qu’elle avait besoin de « se cacher ».« Je parle de monsieur Hanouna, et il a Touche pas à mon poste », dit le père de l’adolescente.