qui sont les parents de nadine morano Nadine Morano, qui aura 59 ans le dimanche 6 novembre, avait un nom de famille plutôt humoristique avant de prendre le nom de son ex-dernier mari. La difficulté de le porter a incité son père à en acheter un nouveau dans les années 1970.
À ce jour, Nadine Morano est toujours aux prises avec la stigmatisation associée à son ancien nom de famille. En fait, son père a déjà envisagé de le modifier. Dans les années 1970, Michel Pucelle décide de changer une seule lettre, transformant son nom de famille en « Pugelle », afin d’éviter qu’elle ne soit utilisée comme punchline pour des blagues et des commentaires en tout genre. Selon le livre Le Tout politique du généalogiste Jean-Louis Beaucarnot, Jacques Chirac a signé le décret constatant ce changement en 1976. Nadine Morano, qui aura 59 ans le 6 novembre, est née en 1963, et le camionneur et ses enfants mineurs ont été touchés par le changement.
Nadine Morano n’est jamais revenue à son nom de famille d’origine, qui venait de la plaine des Vosges. La députée, née Nadine Pucelle en Lorraine (qui, combinée à ses cheveux roux, pourrait faire penser à une certaine Jeanne d’Arc), a en effet conservé le patronyme de son ex-mari, Angelo Morano.
Les fonctionnaires français et leurs secrets de famille :
L’ancien secrétaire d’État n’est pas le seul homme politique français de premier plan au passé trouble. Selon L’Est Rpublicain, le généalogiste Jean-Louis Beaucarnot révèle dans son livre Le Tout politique qu’Arnaud Montebourg a failli s’appeler Letoquard. L’expert a également partagé la nouvelle que Marine Le Pen et Jean-Louis Borloo sont probablement des cousins éloignés, tout comme Dominique Strauss-Kahn et Sgolne Royal partagent des parents. Plus surprenant encore, les ancêtres de Nicolas Sarkozy dans le Dauphin auraient vécu à côté des ancêtres de François Hollande. C’est une coïncidence remarquable que les deux hommes se soient rencontrés à nouveau à la lyse plusieurs décennies plus tard.
La secrétaire d’État à la Famille et à la Solidarité renoue régulièrement avec l’homme qui a fait d’elle la reine.
Cette femme troublante défie toute catégorisation à chaque tournant. Une nuit de silhouette de danseuse folle au milieu de la jeune UMP à Royan ; l’attrait d’une catéchiste aux funérailles de sœur Emmanuelle deux mois plus tard; des joues potelées comme Madame Sans-pendant la semaine de Gne; Le dévouement d’une fille au devoir envers ses parents le week-end -end. Nadine Morano, 45 ans, ne cesse de monter et descendre en politique, comme personne, mais toujours au service de son idole, Nicolas Sarkozy.
Elle a été furieuse en juin de l’année dernière lorsque la secrétaire à la famille, qui occupait ce poste à l’époque, a reçu encore plus de solidarité. La première est de découvrir qu’elles sont sur un pied d’égalité avec deux autres femmes : Fadela Amara et Nora Berra. Et il est particulièrement regrettable de continuer à recevoir les ordres du nouveau ministre du Travail, Xavier Darcos, après le départ de Brice Hortefeux. L’ex-Chiraquienne qui a soutenu Nicolas Sarkozy dès sa traversée du désert en 1995 pense qu’elle mérite un ministère complet et ambitieux : l’Education et la Famille. Son manque de conscience que son naturel, son énergie et son assurance non seulement séduisent, mais confondent et, parfois, irritent, incluent ceux qui occupent des postes de pouvoir.
Il est vrai qu’elle a atteint ce point en prenant la décision consciente à un jeune âge de ne jamais douter de ses croyances et de romancer plutôt tous les aspects de la vie. J’ai passé mes années de formation dans une HLM dans la ville de Haut-du-Livre, qui se trouve au-dessus de Nancy, jusqu’à l’âge de 23 ans. Pendant le week-end, son père, Michel, fervent gaulliste et chauffeur de camion de 38 tonnes, l’a conduite avec mes poupées dans son engin. Pendant notre temps d’arrêt, nous avons écouté les camionneurs amicaux abonder. « Comme tout parent, j’ai dû fixer des limites à Nadine pour qu’elle respecte les heures de retour et de sortie, qu’elle ne se maquille pas trop et qu’elle s’habille correctement », explique Monique, la mère de Nadine, 70 ans, d’origine italienne et ancienne opératrice téléphonique. En tant que mère, j’espérais qu’elle réussirait bien à l’école. Il n’y avait aucun défi pour elle. Sa mémoire était superbe dès le début.
Le jeune n’a pas perdu de temps à dire la vérité. Ses ambitions sont connues du public depuis longtemps, dit franchement Monique. À 18 ans, elle m’a surpris un matin en m’appelant de l’Assemblée nationale. Un jour, j’ai l’intention de me joindre à vous. Ainsi, j’ai décidé de le soutenir professionnellement. Je me suis occupée de ses trois enfants après son accouchement. Je suis une arrière-grand-mère et je l’ai toujours été. Son adorable fille est ainsi devenue députée de Meurthe-et-Moselle en 2002.
Où sont les parents ? On ne les entend jamais ..
— Nadine Morano (@nadine__morano) August 18, 2019
Quand j’y arrive un vendredi soir, il enroule son bras fort autour de moi comme il le faisait quand j’étais enfant :
Est-ce bien cela, Nadine? Je ne supporte pas que les gens fassent des grimaces, dit-elle à plusieurs reprises. Bien que le monde des Moranos ne se soit pas terminé le 1er septembre 2000, il a considérablement changé. Ce matin, Michel, 78 ans, a eu un accident vasculaire cérébral. Comme l’hôpital de Toul n’avait pas de scanner à l’époque (il en a maintenant), il doit attendre 24 heures, même s’il ne faut que 4 heures au maximum pour prévenir les complications. Michel a été confiné à un fauteuil roulant et est devenu presque muet et sans voix depuis. Nadine Morano, dont les soins profonds à son égard sont touchants, explique comment elle s’est rendue à l’hôpital tous les jours entre midi et 14 heures pendant quatre mois alors qu’elle travaillait à Pont-Mousson. Ses yeux étaient remplis de larmes. La situation a atteint un niveau intolérable. Il serait mort maintenant si je l’avais placé dans une maison de retraite.
En 2012, Tornado Morano a vendu la maison de ses parents et en a acheté une nouvelle, selon les exigences militaires de son frère. Elle s’y est installée avec ses enfants. Avec une suite médicale privée et des soins matin et soir pour son père âgé. Elle cultive ses propres tomates beefsteak et s’installe maintenant dans le garage converti à côté de sa belle maison. Et ainsi, la vie continue. Mon père prend du Prozac tout le temps. De temps en temps, il ressent juste le blues. Mais il a aussi des moments de bonheur. L’absence de ma fille de ses baisers matinaux l’envoie dans une spirale émotionnelle, et il crie pour qu’elle revienne. Quand j’arrive le vendredi soir, il m’entoure de son bras fort comme si j’avais 10 ans.