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qui sont les parents du mulet

qui sont les parents du mulet Il est généralement admis que la reproduction sexuée est limitée aux individus de la même espèce. Cependant, il y a quelques exceptions à cette règle, et certaines espèces sont capables de se reproduire avec un autre membre du même genre mais une espèce différente.
La mule hybride femelle et la mule mâle entrent toutes deux dans cette catégorie (hybride mâle). L’âne mâle (Equus asinus) et la femelle (Equus caballus) sont tous deux membres du genre Equus et de la famille Equidae, d’où provient cet hybride.
Mulet, également connu sous le nom d’hybride âne x jument:


L’animal qui résulte de l’accouplement d’un âne et d’un cheval est appelé un hinny et n’est pas classé comme étant de la même espèce que le mulet, même s’ils sont tous deux membres de la famille équine.
Mais qu’est-ce qui distingue exactement cette croix obscure des autres ? Vous trouverez ici des informations complètes sur le mulet.
Les caractéristiques physiques de la mule sont un composite de celles de ses deux parents. Selon la taille des parents, la hauteur du poulain au garrot sera comprise entre 120 centimètres et 150 centimètres. Il en va de même pour son poids, qui sera d’environ 450 kilogrammes, reflétant à nouveau celui de ses parents. Cet animal a une durée de vie similaire à celle d’un cheval ou d’un âne, autour de 25-30 ans.
Il peut porter une variété de tenues. Les manteaux de pangar laurier et noir sont les plus courants, les manteaux marron, gris et dun apparaissant beaucoup moins fréquemment. En Amérique, vous pouvez trouver un large éventail de personnes, y compris celles avec des motifs de pelage inhabituels comme les taches ou le piébaldisme. Sa queue et sa crinière ressembleront plus à celles d’un cheval qu’à celles d’un âne.
Son visage présente également des traits hybrides, avec des éléments des deux espèces. Ainsi, ils ont un front large comme les chevaux mais un museau plus long, des crêtes sourcilières prononcées et des narines légèrement élargies comme les ânes.
Ses oreilles sont pointues et redressées, ce qui le fait ressembler plus à un âne qu’à un cheval.
Les membres de la mule sont fins et secs, et ils ont de gros sabots, ce qui les rend idéaux pour le travail que les humains exigent d’eux.
La mule bénéficie grandement de ces caractéristiques, car elle hérite de la force supérieure du cheval et de la résistance supérieure aux maladies de l’âne.
Il y a, cependant, un revers à tous ces avantages, dont le moindre n’est pas que la mule est généralement stérile. En fait, les différences chromosomiques entre la jument et l’âne rendent leur progéniture incapable de se reproduire; En 500 ans, seulement une soixantaine de naissances ont été enregistrées à la suite de la reproduction. comportement normal chez les mules.
Hommes et leurs compagnons mulets :
Mules à travers le temps:
Bien que l’existence de la mule soit attestée jusqu’à l’Antiquité, ce n’est qu’au Ve siècle que son utilisation généralisée commence à émerger. Cela signifie que jusqu’au début du 20ème siècle, lorsque la motorisation et, par extension, toutes sortes de machines capables de les remplacer dans leurs tâches laborieuses, réduiront leur utilisation, la population dans son ensemble continuera de croître.
La plupart des fermes muletiers en France sont situées en Poitou, où la nature robuste des chevaux locaux se traduit par une progéniture qui est elle-même plus forte, plus grande et plus durable.

Il existe également des fermes muletiers dans le Massif Central, le Dauphin et les Pyrénées; cependant, ces mules sont élevées pour un travail plus léger car elles ne sont pas aussi robustes que leurs parents poitewanais.
Comme leur ancêtre âne, les mules sont beaucoup mieux adaptées à la circulation en montagne et seront utilisées dans une variété d’activités humaines exigeantes.
Nous avons donc des mules de bât, dont le travail consiste à transporter des charges sur de longues distances, et des mules de selle, qui sont utilisées dans de nombreuses pratiques équestres, en particulier aux États-Unis.
Les forces militaires, en particulier celles de la France et de l’Italie, continueront de compter sur les mulets jusqu’au tournant du siècle pour transporter des fournitures lourdes sur un terrain montagneux.


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