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sylvie testud chirurgie esthétique


sylvie testud chirurgie esthétique Ce dimanche 17 janvier 2021, c’est la fête des 50 ans de Sylvie Testud. En 2004, alors qu’elle venait de remporter son deuxième César et attendait son premier enfant, l’actrice… Découvrez les derniers événements du passé de Paris Match avec Retro Match.
Pour Sylvie Testud, 2004 restera comme l’année la plus heureuse de sa vie. Après avoir remporté son deuxième Csar, l’actrice attendait son premier enfant en décembre, lorsqu’elle a été jumelée avec son partenaire idéal. Sylvie Testud, nommée Meilleur espoir féminin en 2001 pour « Les Blessures assassines », a remporté le Csar de la meilleure actrice dans une adaptation cinématographique d’un roman d’Amlie Nothomb écrit par Alain Corneau en février. Le natif de la Croix-Rousse, Lyon, a terminé l’année avec un bébé en route. L’événement a été marqué par une superbe séance photo pour Match, signée Hubert Fanthomme.
Le 17 janvier 2021, Sylvie Testud fête ses 50 ans.
Elle jongle entre la maternité et une carrière dans le cinéma. Elle n’aime rien de plus que de jongler avec deux identités distinctes.
L’une des actrices les plus talentueuses de sa génération, elle est connue comme la « petite fée » du cinéma français pour sa beauté innocente et son air de « ne pas y toucher ». Sylvie Testud a connu une année 2004 très réussie avec une série de développements positifs et un coffret à trophées rempli d’honneurs, dont le Csar de la meilleure actrice pour son travail dans Amazement and Tremors. Elle tient un rôle principal dans le prochain film « Victoire », dont la première aura lieu le 22 décembre aux côtés de Pierre Arditi, Aurore Clment et Catherine Samie. La réalisatrice, Stphanie Murat, insiste sur le fait que malgré le contenu violent du film, il ne tolère pas la violence. Si l’acteur emblématique qui a joué le rôle principal dans « La captive », « Karnaval » et « Les Blessures assassines », rôles qui lui ont valu le Csar du meilleur espoir en 2001, est heureux d’avoir prêté son image à ce tueur aux circonstances malheureuses, alors il a de quoi se réjouir.
Sylvie ne peut pas assister aux sets à cause du bal qui la met sous les projecteurs aujourd’hui. Extrait du numéro du 15 décembre 2004 de Paris Match n2900
Malheureusement pour Sylvie, celui qui la met sous les projecteurs aujourd’hui l’éloigne aussi des plateaux : le zoo. Article de Paris Match n2900, 15 décembre 2004 Photos par Hubert Fanthomme pour Paris Match
C’est un match fait à Paris. Vous êtes deux Césars à l’âge de 33 ans. Une histoire qui correspond à vos objectifs professionnels?
Testud, Sylvie. Pas question. Ces événements inattendus m’ont rempli de joie. Et naturellement, j’étais ravi. Ces honneurs m’ont été donnés en cadeau pour mes efforts. J’ai trouvé les jurés amicaux et serviables.
PM C’est 30 films en 10 ans. Vous continuez et continuez. Vous regardez des films en séquence. Je ne comprends pas pourquoi vous avez la boulimie.
ST Je dois agir si je veux un jour faire une différence dans ce monde. Bien que je sois une personne qui s’en tient à la même routine jour après jour, j’ai besoin de pouvoir m’échapper dans des environnements nouveaux et, parfois, bizarres pour mon travail. Cela m’a aidé à trouver un équilibre et un sens du but dans la vie.
PM Pouvez-vous expliquer comment vous choisissez les rôles que vous jouez? La façon dont vous dites non donne l’impression que vous n’avez aucune maîtrise de soi…
ST Instinctivement, je suis d’accord et je dis oui. La raison pour laquelle je l’apprécie autant est insaisissable. J’apprécie si je peux m’identifier au protagoniste. Quand tout est à sa place, cependant, et que mon personnage n’a plus besoin de moi, je refuse poliment. Cela ne sert à rien. Je lui souhaite une vie heureuse et tourne la page. Je ressens une pression innée pour contribuer de manière significative à l’intrigue et au personnage. Les clés, un soupçon de mystère et la capacité d’avancer dans une relation, qu’elle soit platonique ou romantique, sont toutes les choses dont j’ai besoin. Produire un film prend du temps, généralement des mois. Chaque jour à 6 heures du matin, nous nous levons et partons pour une nouvelle aventure passionnante. L’absence de cela le rend inutile.
Elle joue actuellement dans la production théâtrale de « Biographie sans Antoinette”* et sera prochainement vue dans un film de Diane Kurys dans le rôle de Franoise Sagan en mars de l’année prochaine. Ce qu’une femme de premier plan ne veut pas que vous sachiez sur la formation d’une présence parfaite sur scène.
Vous a-t-on dit que vous dormez beaucoup?
Très! Ma chambre est comme un temple pour dormir; J’ai un lit king-size, une pléthore d’oreillers et non pas une, mais trois couettes. Si je n’ai pas à me lever avant midi, je dors habituellement. Cela peut parfois être frustrant, surtout quand je me réveille pour constater que tout le monde a fait beaucoup de choses pendant que je dormais.
Pouvez-vous décrire ce que vous ressentez lorsque vous n’avez pas assez dormi?
Rien. Je commence à agir comme des enfants privés de sommeil, devenant irrationnel et incapable d’arrêter de rire. C’est ennuyeux pour l’autre personne, et cela se résout toujours à « Si vous plaisantez, dites-moi! » dans les cas de paranoïa généralisée.

Pouvez-vous me parler de votre repas du matin?
Café pour tremper mon sandwich au beurre et au camembert. C’était délicieux!

Essayez-vous de manger sainement?
C’est entièrement à moi de décider ce que je mets dans mon corps. Quand ça fait un moment que je n’ai pas mangé de carottes, je ne me dis jamais : « Hé, ça fait une semaine, peut-être que je devrais en manger. » Cependant, si j’ai envie de jambon, je vais avaler cinq tranches à la fois. Malgré mon aversion pour tout ce qui est modifié (je trouve le surimi répugnant), je mange une alimentation raisonnablement saine dans l’ensemble. Seuls les bonbons sont ma seule forme de malbouffe. Théâtre, films et stylo…


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