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Vrai faux debat

Vrai faux debat; En ce qui concerne la société civile, il y a une multitude de questions légitimes et fictives à considérer. Plus précisément, son usage actuel est souvent le résultat d’une application idéologique, aboutissant parfois à une grande platitude, plutôt que le résultat d’une réactivation, ou la réanimation, d’un problème qui a connu auparavant des moments de gloire théorique. Néanmoins, ce sujet de la société civile soulève un certain nombre de questions importantes qui doivent être abordées.

Vrai faux debat
Vrai faux debat

Parfois, on peut rencontrer des considérations sophistiquées (et souvent abstraites) qui placent la société comme source de figures potentiellement nouvelles au cœur de leurs enquêtes, contrairement à ce qui a été vécu jusqu’à présent. Il est impossible d’exclure la possibilité qu’il y ait là des éléments qui contribueront finalement à la formation d’un nouveau paradigme pour comprendre le monde social, ainsi qu’une nouvelle perspective politique. Bien que galvaudé, le mot “abus” se justifie dans son sens le plus élémentaire et dans son usage le plus courant.

Calomnie idéologique

2Il y a, en effet, une certaine « générosité » à prendre au sérieux — je veux dire au sérieux théoriquement — un sujet qui relève avant tout des idées. A cela s’ajoute la notion d’idéologie au sens le plus littéral du terme. Quelles que soient les significations antécédentes, la littérature ou les origines intellectuelles, le thème de la société civile fonctionne presque comme un slogan, déconnecté des débats qui l’ont précédé. C’est un sujet qui est souvent jeté hors de son contexte, semblable au mot « totalitarisme ».

La théorie du totalitarisme est née en même temps que les régimes réels du socialisme, malgré le fait que le mot soit largement et universellement utilisé dans l’hémisphère oriental aujourd’hui. Elle s’est dégradée et, dans l’esprit de nombreux penseurs, elle s’est transformée en une série d’intuitions parfois très stimulantes sur des phénomènes nouveaux et curieux — c’est le moins qu’on puisse dire — qui ont émergé dans les régimes et les sociétés du XXe siècle. Il a progressé au point d’être devenu un terme péjoratif, quelque chose qui est plus ou moins synonyme de l’idée de despotisme extrême.

La première grande soirée électorale a eu lieu lundi 14 mars pour huit des vingt candidats à la présidentielle, dont Emmanuel Macron, qui briguent la présidentielle. Un rassemblement massif consacré principalement au conflit en Ukraine.

Un débat sans débat. Un grand nombre de candidats ont été éliminés de l’émission « La France face à la guerre » après avoir prononcé de longs discours qui ressemblaient à des scènes de pièce de théâtre où les acteurs se suivent et ne se retrouvent jamais. Selon les détracteurs d’Emmanuel Macron, il diffuse une émission spéciale adaptée à ses besoins. Pour rappel, Emmanuel Macron avait déclaré qu’il ne souhaitait pas s’engager dans un conflit avant la deuxième visite.

Il n’y aura pas de confrontation directe. Pas un seul des candidats à la présidence n’était représenté à l’événement. Cependant, il s’agissait du premier événement à grande échelle lié aux élections depuis le début de la campagne électorale. Huit des douze candidats à la présidentielle, dont Emmanuel Macron, ont participé lundi soir à une table ronde sur TFI, où ils ont évoqué le conflit en Ukraine, ainsi que la retraite et la capacité d’achat.

Professions liées à la fidélité
Cet épisode inédit, d’un tout nouveau style, est consacré aux vœux religieux des candidats, qui s’expriment succinctement. Au début du processus, l’ordre de passage des candidats a été déterminé.

Dans le cadre de son préambule rapide, Marine Le Pen, candidate au Rassemblement national, s’est engagée à rendre aux Français leur “pouvoir d’achat” tout en sauvant le système de sécurité sociale du pays. Et pour commencer, “Je vais te ramener dans ton pays.”

Les thèmes de la retraite et du pouvoir

Quelques échanges tendus ont eu lieu au téléphone. D’abord et avant tout, je voudrais parler de la gestion de la crise en Ukraine. Valérie Pécresse estime que la réponse a été “trop ​​tardive et trop isolée”. Emmanuel Macron s’est défendu lors de sa visite en disant : “L’Europe ne peut pas être sûre et pacifique si elle n’a pas de relation avec la Russie”. Plusieurs autres sujets ont été abordés tout au long du débat, notamment l’âge auquel on devrait commencer à planifier sa retraite et la capacité d’être propriétaire d’une maison.

Emmanuel Macron, le candidat à la présidentielle, est revenu des nombreuses crises auxquelles il a été confronté au cours des cinq dernières années. “Le terrorisme, les troubles sociaux, les épidémies et la guerre sont tous en augmentation. Malgré les obstacles, nous avons persévéré et innové. “Je voudrais demander votre confiance une fois de plus.”

Anne Hidalgo, une “femme de gauche”, a appelé à “un temps où la guerre reviendra en Europe, […] à s’unir pour protéger notre pays et se dissocier de ceux qui nous haïssent”.

Selon Valérie Pécresse, « les tentatives diplomatiques ont jusqu’à présent été inefficaces. » “Nous devons ajuster notre stratégie politique afin de devenir plus puissants et plus indépendants.”

Éric Zemmour a justifié sa candidature en précisant qu’il se présente “pour que la France soit la France, pour lutter contre le grand remplacement et le grand déclassement”.

Jean-Luc Mélenchon, mis en cause pour une opération louche, lui a dit qu'”un autre monde est concevable”.

L’artiste français Yannick Jadot a proposé, en son propre nom, “d’affronter” le conflit ukrainien afin de “reprendre le contrôle de notre destin collectif”.

Enfin, selon Fabien Roussel, « il est plus que temps de mettre l’argent au service du développement humain et de la préservation de l’environnement : c’est la France des jours heureux que je propose ».

Vrai faux debat
Vrai faux debat

3La fréquence et la brièveté croissantes de l’emploi du mot « société civile », ainsi que sa prolifération médiale, contribuent au même sens d’appauvrissement. Quand on parle de société civile, on fait souvent référence à l’opposition entre société et État, ou entre société et politique.

La société en opposition à l’État. Il s’agit, à bien des égards, de supposer, plus ou moins implicitement, que la société est dans un état de BLOC contre l’État. Le défi serait quelque chose comme « plus de société contre moins d’État ; plus de société contre moins de politique ».

Cela est particulièrement vrai en ce qui concerne l’application généralisée de la notion de société civile par rapport aux pays de l’hémisphère oriental. La société s’y présente, dans le cadre de ce qui est décrit comme un processus de renaissance, comme un ensemble peu ou pas différent les uns des autres, s’opposant à un État-Parti qui lui a longtemps été hostile.

Ce serait le bloc monolithique de la société s’opposant au bloc monolithique de l’État (de l’État-Parti, du système de partis). Die Demokratie wird durch die société civile, la dictature, parfois appelée tyrannie, et l’État “confisqué” s’émancipent.


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