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Yvan colonna mort corse

Yvan colonna mort corse; Yvan Colonna, 61 ans, est mort lundi soir à Marseille, où il avait été transféré après avoir été agressé par un codétenu le 2 mars au pénitencier d’Arles (Bouches-du-Rhône). Il avait été transporté d’urgence à l’hôpital à la suite de l’incident. Son implication dans l’assassinat du maire d’Ajaccio Claude Erignac en 1998 lui a valu d’être condamné à la prison à vie. Mercredi soir, suite à un voyage depuis Marseille, sa dépouille serait transférée en Corse par hélicoptère. Selon l’AFP, qui s’est renseignée auprès de personnes proches de l’enquête, ses obsèques auront lieu le vendredi 25 mars, à 15 heures dans son village ancestral de Cargèse, en France (Corse du Sud). Selon Me Patrice Spinosi, l’un des avocats de la famille du défunt, qui s’est entretenu avec l’Associated Press, ces histoires ont été “confirmées” par la famille du défunt.

Yvan colonna mort corse
Yvan colonna mort corse

A cause de la mort d’Yvan Colonna le lundi 21 mars, des suites de son agression à la prison d’Arles le 2 mars, le mouvement nationaliste corse éclate en funérailles politiques officieuses, de petits meetings se déroulant au milieu du silence. Selon les médias locaux, environ 60 000 personnes se sont rassemblées devant l’église d’Ajaccio, où elles ont déposé des couronnes sur les marches de l’édifice et drapé deux rideaux sur la tête de Sainte Maure.

Selon l’un des participants, « il est plus

Que temps de rendre hommage et de récolter de l’argent ». Malgré le fait que la préfecture n’était qu’à quelques centaines de mètres, les bombes agricoles et les cocktails Molotov qui y avaient fait des ravages avaient été remplacés par des croix et des prières 10 jours auparavant. Les véhicules CRS et les gendarmes mobiles étaient stationnés à proximité des lieux critiques en même temps les uns que les autres afin d’éliminer tout risque de malentendu. L’absence de tout événement notable a été enregistrée tout au long de la nuit.

Consultez également un article exclusivement accessible à nos clients payants. Visant l’indépendance, Yvan Colonna assassine le préfet Erignac, concrétisant ses ambitions.
En plus de ces manifestations, il y en a eu d’autres dans l’île, dont une à Bastia, où un incendie s’est déclaré devant le palais de justice. Depuis l’emprisonnement d’un nationaliste en 1980, les manifestants dans les rues de Paris scandent le terme “statu francese assassinu” (qui signifie “l’État français est assassin”), agités par des images de guérilla urbaine (vengement).

Ces trois phrases capturent parfaitement l’anxiété ressentie par de nombreux jeunes nationalistes, qui a le potentiel de devenir beaucoup plus évidente lorsque le temps du deuil sera passé. Il a notamment été demandé par la famille d’Yvan Colonna, qui n’a pas voulu faire de remarque publique à ce moment, que la “période de deuil” soit honorée, comme le transmettent les voix de leurs avocats.

Une violente agression contre un insurgé corse a eu lieu dans la salle de sport de la prison, et le fervent indépendantiste a été la cible de l’attaque. Parmi les détenus figure un Camerounais de 36 ans qui a écopé de plusieurs peines de prison, dont neuf ans de prison pour “lien avec des terroristes” et autres délits, entre autres. Depuis son arrestation, ce détenu radicalisé fait l’objet d’une enquête sur un probable attentat terroriste contre sa vie. Le Comité national antiterroriste a demandé lundi, au lendemain de l’assassinat d’Yvan Colonna, que cette enquête pour “assassinat en association avec une organisation terroriste” soit requalifiée et rouverte, affirmant qu’elle avait été close.

Yvan Colonna est de retour en Corse après une longue absence. Sa dépouille est arrivée mercredi soir à Ajaccio, où elle a été accueillie par un important contingent de sympathisants avant les obsèques du militant indépendantiste condamné à mort en 1998 pour l’assassinat du maire de Cargèse Erignac, qui auront lieu vendredi à 15 heures à Cargèse. Sa dépouille est arrivée mercredi soir à Ajaccio, où elle a été accueillie par un important contingent de sympathisants avant les obsèques du militant indépendantiste qui

Au total, 1.500 personnes se sont rassemblées

Long de la route s’éloignant de l’aéroport pour présenter leurs respects, selon la police. Des centaines de corse drapeaux, chacun représentant une Maure avec un bandeau blanc, ont été drapés des arbres, et des centaines de lumignons rouges ont été soigneusement disposés le long du parcours. Le corbillard amenant le cercueil qui avait été sauvé d’un corse passe devant le public immobile, et quelques membres de la foule s’approchent du véhicule et le touchent, tandis que d’autres font le signe des bras croisés pour marquer leur accord.

Nous sommes tous là quand l’un de nous touche l’un des autres, dit le groupe.
« Nous voulons démontrer au gouvernement français qu’il existe un mouvement populaire corse et que “quand on touche à l’un des nôtres, on est tous là, quelles que soient les fractures qui peuvent exister”, a déclaré Jean Mattei, une figure bien connue dans les scènes musicales et théâtrales de l’île. “W Quand on touche l’un des nôtres, on est tous là, peu importe les clivages qui peuvent exister », a-t-il ajouté. se décrit comme se sentant “entre la rage et le désespoir” pour le reste de la journée.

Selon les informations recueillies par France Bleu RCFM mercredi auprès de l’entourage du militant corse indépendantiste Yvan Colonna, les obsèques d’Yvan Colonna auront lieu le vendredi 25 mars, en fin d’après-midi, dans sa ville natale de Cargèse, dans le nord-ouest de la province d’Ajaccio. (Corse du Sud). Yvan Colonna a été assassiné le 25 mars à Cargèse, dans le nord-ouest de la province d’Ajaccio (

Yvan colonna mort corse
Yvan colonna mort corse

Yvan Colonna est décédé aux dernières heures du lundi 21 mars. Il est hospitalisé à Marseille depuis 19 jours suite à un incident avec un co-détenu à la prison d’Arles. Il a été reconnu coupable du meurtre du maire d’Arles Claude Erignac en février 1998. Il est en prison depuis cette date. Son agresseur est recherché par le Parquet national antiterroriste, qui enquête sur “des tentatives d’assassinat en association avec une organisation terroriste”. L’enquête est menée par le Parquet National Anti-Terroriste.

Immédiatement après cet acte d’agression, un grand nombre de manifestations violentes ont eu lieu dans toute la Corse, en grande partie à l’instigation des nationalistes et des mouvements de jeunesse, notamment à Bastia et Ajaccio, en soutien à Yvan Colonna, mais aussi plus largement afin d’exiger une plus grande reconnaissance et l’autonomie de l’île.

Suite à la révélation de sa mort, l’île a été dominée par le rassemblement de ses affaires, contrairement aux images de violence qui ont consumé les nombreux rassemblements de soutien au militant corse au cours des presque deux dernières semaines.

En réponse aux circonstances de son agression, notamment le temps passé sans être interféré par les agents de sécurité, la fureur et la polémique ont éclaté, et il fait aujourd’hui l’objet d’une enquête pénale, d’une enquête administrative et d’auditions parlementaires.

102 personnes ont été blessées lors d’un rassemblement à Bastia le 13 mars, dont 77 venant du côté des forces de l’ordre, selon les chiffres officiels. Cette rébellion était dirigée contre un «État français», que les manifestants appelaient une «escouade d’assassinats».

Gérald Darmanin, le ministre de l’Intérieur, a effectué une visite de trois jours en Corse la semaine dernière et s’est engagé à avoir des discussions avec les élus et les groupes indigènes de l’île concernant le potentiel d’accession à l’indépendance du pays.


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