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Jean gabin mort de quoi

Jean gabin mort de quoi; attaque cardiaque

Jean Gabin est une actrice et écrivaine française. Alexis Moncorgé, plus connu sous son nom de scène Jean Gabin, était un acteur français né le 17 mai 1904 dans le 9e arrondissement de Paris et mort le 15 novembre 1976 à Neuilly-sur-Seine. Débutant sa carrière professionnelle comme chanteur de revue et d’opérette, il se dirige finalement vers le grand écran, où il devient une vedette du cinéma français, grâce à sa “gueule d’amour”, qui le voit collaborer avec les plus grands réalisateurs de l’époque, dont Julien Duvivier, Marcel Carné et Jean Renoir.

Daniel Riolo Taille
Jean gabin mort de quoi

Alors qu’il servait dans les forces de combat françaises pendant la Seconde Guerre mondiale, il fut promu au grade de capitaine puis au grade de chef d’état-major du régiment aveuglé de fusiliers-marines, poste qu’il occupa jusqu’en janvier 1944. Après la Seconde Guerre mondiale , il traverse une période difficile. Depuis 1954, date de la sortie de Touchez pas au grisbi, il s’est imposé comme un acteur intimidant au regard sombre, incarnant pour la plupart des rôles de vagabonds ou de policiers, toujours avec le sens de la justice, dans des films souvent dialogués par Michel Audiard, qui a écrit et réalisé plusieurs de ses films.

Sa filmographie, qui compte 95 films, comprend

Des classiques tels que Gueule d’amour, La Bête humaine, Pépé le Moko, Le Quai des brumes, La Grande Illusion, Un singe en hiver, Le Chat, Le Pacha et La Traversée de Paris. , ainsi que des œuvres moins connues. Il travaille avec la majorité des meilleurs acteurs de l’époque, dont Fernandel, Lino Ventura, Bernard Blier, Jean-Paul Belmondo et Alain Delon, qu’il considère tous comme des amis. Avec plus de 161 millions de spectateurs dans les salles d’after-movie à son actif, il faut aussi lui rendre hommage pour ses nombreux succès dans les centaines de films sortis avant la première guerre mondiale. Le nombre exact de spectateurs pour ses films de la première guerre mondiale est inconnu.

Il a remporté trois prix à la Mostra de Venise, en 1951 pour La nuit est mon royaume et en 1954 pour L’Air de Paris et Touchez pas au grisbi, ainsi que deux Ours d’or à la Berlinale, en 1959 pour Archimède le clochard et en 1971 pour Le Chat. Il a également remporté trois prix à la Mostra de Venise, en 1951 pour La nuit est mon royaume et en 1954 pour L’Air de Paris et Touchez pas

“J’ai été assis sur les planches de bois contre le mur. Je suis entré dans la production de mon premier film avec un manque d’enthousiasme et d’optimisme. En ce moment, c’est comme ça : je suis de mauvaise humeur”.. … Cette personne n’était autre que Jean Gabin, décédé le 15 novembre 1976, après avoir réalisé 95 longs métrages et un court métrage au cours des années précédant la Seconde Guerre mondiale. Le public a été choqué, et l’industrie cinématographique française a été profondément déprimée lorsque les derniers grands saints sont décédés les uns après les autres, au point que le mot “monstre sacré” a commencé à s’effacer du lexique.

Daniel Riolo Taille
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Qui est la dernière personne debout ? Mais qui peut être comparé aux arrière-grands-pères d’une époque authentiquement trépidante, à ces mecs dotés d’un charisme capable de battre le cils de la caméra ? C’est aussi le cas à Hollywood, où les vraies stars gardent également une trace de leurs journées sur leurs doigts. Il n’était pas entré dans la profession le cœur léger, mais plutôt celui qui lui avait été imposé par la volonté de son père de devenir tenancier de café à la place.

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Cela se produit le jour où le père Moncorgé – de son vrai nom Jean Gabin, né le 17 mai 1904 – est expulsé du théâtre des Folies-Bergère. Fréjol, l’ancien collègue du père, a été le réalisateur du film. Celui-ci fait entrer son enfant dans un tourbillon de coulisses, le présentateur déclarant : « Tiens, voici mon fiston pour toi. Il est intéressé à jouer au théâtre. Pouvez-vous m’aider ? ça, tu seras bien récompensé. Moi, par contre, je m’en repens “….. A cause de sa piètre performance en improvisation, Jean a accepté d’être jeté dans une pièce dont les répétitions recommenceraient bientôt à être jouées.

Il enchaîne, tâta du music-hall, tour de chant, et opérette, le pied bien planté dans l’engrenage. En 1930, le parlant, qui avait désespérément besoin de matériel nouveau, recrute « sachant dire un texte, chanter et danser », comme le dit l’annexe. Et comme il n’avait de véritable passion pour aucun métier, à l’exception peut-être de la boxe (qu’il partageait avec un grand nombre de comédiens, ce qui était étrange), il se contentait de se livrer à une douce violence. Après tout, le théâtre et le cinéma nourrissaient abondamment ceux qui s’y livraient. Alors…

Il devait dire quelque chose de temps en temps en arrivant à l’usine : « Cette fois, c’est la fin de la ligne : plus de films pour moi ! J’ai un certain nombre d’autres vocations qui piquent encore plus mon intérêt »… .. La vie d’un agriculteur à la campagne était une douleur rongeante dans sa poitrine. Il a retrouvé un groupe d’amis avec qui il entretenait de bonnes relations : « Jean, nous avons désespérément besoin de ton aide. Il n’y a qu’une seule personne.

Idual qui peut jouer un tel rôle dans mon prochain film

Jean Gabin est contraint d’accepter les insignes d’officier de la Légion d’Honneur des mains de l’amiral Gelinet, qui lui a servi comme commandant pendant la Seconde Guerre mondiale, le 12 novembre 1976, à la demande de sa famille. Le “Dabe”, qui méprise la reconnaissance officielle, n’atteindra jamais l’Elysée à la fin de sa carrière. L’acteur de 72 ans a été admis à l’hôpital le lendemain après avoir ressenti des symptômes d’hypertension. Il décède quatre jours plus tard à l’hôpital américain de Neuilly. Persuadé par sa famille qu’il serait oublié en peu de temps…

C’est précisément le contraire qui se produit. Le 17 novembre, au milieu d’un rassemblement tumultueux devant sa pierre tombale au cimetière du Père-Lachaise, une foule nombreuse se rassemble. Un orchestre à cordes interprète la bande originale de ses films, sa voix étouffée et solennelle assurant la narration. Cette cérémonie télévisée est au summum de la grandeur mystique. Au niveau de celui qui, pendant plus d’un siècle, a incarné la détresse de la paysannerie française dans son ensemble. Et il continue d’inspirer un grand nombre d’humoristes en 2016.

Il accepte après avoir été ronchonné, et c’est ainsi qu’il réalise 95 clichés, dont un court métrage. Entier, d’un têtu plus clairvoyant, il déclara : « Je me contente un peu d’une bonne dizaine, mais pas plus que ça. Et le reste ? Ma famille et moi avons besoin d’un steak pour tenir la journée » ….. Chaque année, chacun attendait avec impatience le jour où il se déclarerait libre de toute obligation puisqu’il n’avait pas eu besoin de travailler depuis longtemps.

Chaque année, cependant, il y avait aussi un nouveau Gabin à voir sur grand écran. En proportion directe de son vieillissement, il est devenu plus étonnant. « Il ne cesse de rétablir son ancien numéro, qui est toujours le même », disait le jaloux, et le public, seul juge à la fin, applaudit avec enthousiasme, les deux mains en l’air. Car il n’y a jamais eu plus d’un Gabin. Comme s’il n’y avait qu’un Jouvet, un Harru Baur et un Pierre Fresnay dans le monde entier.


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