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Nicolas bedos drogue

Nicolas bedos drogue; Interprète, metteur en scène, expert et auteur de pièces de théâtre… Le fils de Guy Bedos est un homme très actif malgré ses 38 ans. Sur France 5, Nicolas Bedos a pu faire une apparition sur le plateau de l’émission Passage des Arts, animée quotidiennement par Claire Chazal. L’individu qui avait provoqué la colère du ministre de la Santé quelques mois plus tôt a décidé de remonter les vingt dernières années de sa vie afin d’identifier les personnes qui avaient contribué à le façonner en la personne qu’il est aujourd’hui.

Nicolas bedos drogue
Nicolas bedos drogue

De toute évidence, l’humoriste, aujourd’hui âgé de quarante et un ans, est revenu au personnage puissant de son père, Guy Bedos, qui a joué un rôle important dans le développement de son image de « grande gueule ».

Cependant, ce dernier individu n’était pas le seul à avoir saupoudré de poussière magique le berceau du petit Nicolas alors qu’il dormait. En effet, celui qui fut l’ancien complice de Doria Tillier a passé beaucoup de temps à écouter, lire et analyser les propos d’auteurs ou d’avocats tels que Jean-Loup Dabadie et Gisèle Halimi, tous deux décédés en juillet dernier. . Claire Chazal tient à leur témoigner sa reconnaissance en leur rendant hommage…

Après ça, es-tu partant pour me droguer ?

L’animatrice de France 5 a finalement mis l’écrivain mal à l’aise en conjurant l’avocate et militante féministe Gisèle Halimi, qui était aussi la marraine de l’écrivain. Elle avait espéré qu’en agissant ainsi, elle le satisferait. “Elle a lancé : “Notre actualité culturelle nous pousse à parler de cet avocat dont on a parlé…”, mais Nicolas Bedos l’a interrompue au milieu de sa peine.

Il lâcha sa main et fit face à son interlocuteur, visiblement mal à l’aise. ” C’est bien de me faire voyager au milieu de tous les décès récents de ma vie, Claire ! ” dit-il. Claire Chazal, avec un sourire un peu forcé, s’est dessinée en disant : “Oui, on a cru qu’il fallait se souvenir de ça…”

“Je ne sais pas si ça vient avant ou après… Tu veux essayer des drogues avec moi ?”, a-t-il demandé, montrant beaucoup de cynisme dans sa démarche. Amusé, l’ancien partenaire de Patrick Poivre d’Arvor choisit de ne pas participer à son jeu malgré son amusement : « Non, mais non ! Ce serait un acte d’impudence de la part de Nicolas Bedos que de provoquer son pote Olivier Véran, le ministre de la Santé. « Vous avez raison, sinon on risquerait d’avoir des difficultés avec Olivier Véran ! était la déclaration conclusive de Nicolas Bedos. “Bien sûr!” dit Claire Chazal, qui a avoué qu’elle aurait aimé pouvoir creuser un trou et s’y cacher…

A 31 ans, Nicolas Bedos est l’un des chroniqueurs les plus en vogue, et à l’heure où l’émission Semaine Critique de Franz-Olivier Giesbert vient d’être retirée des grilles de France 2 — émission dans laquelle il a tout brillé le vendredi avec son Semaine mythomane – ce génie impertinent est délirant et très demandé. Nicolas Bedos est l’un des chroniqueurs les plus en vogue.

Les suggestions se combinent, mais Bedos n’a pas encore décidé d’un plan d’action à titre officiel. Une seule chose peut être dite avec certitude, c’est qu’il ne succèdera pas à Eric Naulleau ou Eric Zemmour dans son rôle. Nous ne couchons pas avec Laurent Ruquier et n’avons pas l’intention d’intégrer le Grand Journal. Si Nicolas Bedos réussit aujourd’hui dans tous les domaines, la belle brune à l’allure troublante avoue qu’elle n’a pas toujours su sourire aux lèvres…

Dans le numéro de mars de Technikart, il avait précédemment accordé une interview désarmante puisqu’elle revenait sur sa tristesse : “Avant de m’enregistrer à l’hôpital, j’avais une grave dépression. Ma vie a été une horreur vivante de 20 à 23 ans.” J’ai pensé sérieusement à mettre fin à mes jours.” Nicolas Bedos a de nouveau évoqué cette période poignante lors de son apparition en tant qu’invité de l’émission de France 2 Thé ou Café animée par Catherine Ceylac hier matin (samedi 11 juin).

Dans l’un de ses étonnants mémoires, l’auteur qui n’a pas hésité à qualifier Nicolas Sarkozy de “VRP Overcocaïne” veut remettre les pendules à l’heure et dire qu’il ne consomme plus de drogue. Cette période s’est produite “il y a très, très longtemps”. A propos de ces rumeurs, il confie ceci : “Ils voient que je bouge sur mon siège, et ils se disent : “Il doit y avoir quelque chose qui lui est coincé dans le nez.”

Je n’en ai pas besoin puisque, tout comme Obélix, je suis tombé dans le monde de la beauté quand j’étais enfant.” C’est vrai, avoue-t-il : “Cela me donne un tel sentiment de paranoïa. Quand j’avais 20 ans et que je souffrais de dépression depuis près d’un an et demi, j’ai fait ça. Qu’est-ce que tu dis qu’on pose la coke ?

En train d’écrire un livre, il tire maintenant des idées et des motivations de cette période. Un livre qui fera le tour de cette phase dépressive qu’il a traversée à Cannes alors qu’il travaillait sur des dessins pour Canal +.

Nicolas Bedos revient avec son deuxième long métrage

“La belle époque”, qu’il a écrit, réalisé et également joué, deux ans après ses débuts avec “Monsieur et Madame”.Adelman”, un film qu’il a écrit, réalisé et dans lequel il a également joué.

Il y a une rumeur persistante qui le suit depuis de nombreuses années, et voilà que l’ami de Doria Tillier a la chance de renverser la situation… “On me soupçonnait communément que je prenais de la cocaïne, mais c’est simplement la conséquence du stress ,” il a insisté. “C’est juste la façon dont mon corps réagit quand je suis sous pression.”

“Ne pas être acteur m’a permis de prendre du recul”, affirme-t-il dans les colonnes du Journal du Dimanche. “J’ai toujours été un écrivain dans l’âme”, dit-il. Et encore une chose : « C’est un soulagement de ne pas avoir à se soucier du placement de la caméra ainsi que de sa coupe de cheveux en même temps ! ». Nicolas Bedos se dit “moins fébrile” et “j’ai l’impression de mieux comprendre la machine” quant à la réalisation de son nouveau long métrage, rendue possible par un “budget plus confortable”.

Mais pas de quoi mettre fin à ses soucis. Un “énorme chagrin de la vie” attend celui qui a réussi à recoller les morceaux avec Frédéric Beigbeder. Ce qui lui manquait parfois, ce qui contribuait à une réputation qui n’était pas dans son intérêt supérieur. “On a souvent considéré que je faisais de la cocaïne, mais c’est simplement la conséquence du stress”, explique-t-il. “On a pensé que je prenais de la cocaïne.” Et nos collègues attestent de ce fait en disant: “Vous n’avez qu’à le regarder faire les cent pas sur le plateau, la tête entre les épaules comme un combattant se préparant à entrer sur le ring.”

A première vue, l’homme de 30 ans peut sembler avoir beaucoup d’assurance. Cependant, Nicolas Bedos affirme qu’il est “un immense chagrin de la vie” au plus profond de son moi robustement masculin. “Ils me voient bouger sur mon siège et ils se disent ‘il doit y avoir une paille dans le nez'”, a-t-il déclaré en 2011, alors qu’il tournait “Thé ou café”…

Un comportement que l’adulte de trente ans n’est pas prêt à accepter… Le jeune homme a une aversion tout à fait raisonnable pour la poudre blanche, qui en est la cause. Il y a huit ans, il avait enfoncé le clou en disant : « Je suis l’un des individus qui détestent le plus la cocaïne.

Nicolas bedos drogue
Nicolas bedos drogue

Quelle est la source de cette aversion profonde ? Une première crise de tristesse provoquée par la consommation de drogue… “Quand j’avais 20 ans, je l’ai fait, et ça m’a conduit à faire une dépression pendant un an et demi. Qu’est-ce que tu dis qu’on pose la coke ?”. Nicolas Bedos avait même envisagé de se suicider à deux reprises alors qu’il était au fond du gouffre…


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