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Plante qui fleurit tous les 30 ans

Plante qui fleurit tous les 30 ans; Sur l’île Maurice, l’événement est toujours dans les mémoires comme le One… On estime qu’un million de personnes se rendent chaque année au Jardin botanique de Pamplemousse pour assister à la floraison d’un talipot en fleurs. Vue de loin, elle ressemble à un palmier. Une caractéristique supplémentaire de Lencephalartos altensteinii est qu’il a une apparence de type foulgère. Cette plante à fleurs fleurit aujourd’hui dans l’une des trois serres du Parc Emmanuel Liais à Cherbourg-en-Cotentin, France (Manche). Depuis 1985, elle n’a produit aucune fleur, ce qui en fait un événement très rare. La ville de Cherbourg a acheté le bâtiment il y a plus d’un siècle ; il a entre 120 et 150 ans.

Plante qui fleurit tous les 30 ans
Plante qui fleurit tous les 30 ans

Elle fait partie de la famille des zamiaceae qui compte plus de 200 espèces différentes. Il y a eu des signes de cette plante depuis 300 millions d’années, selon des preuves archéologiques. Plus précisément, l’ancêtre de l’encephalartos altensteinii a évolué pendant une période de 252 millions à 66 millions d’années, période pendant laquelle il a vécu aux côtés des dinosaures.

Une augmentation de taille d’un centimètre par

En général, la floraison de l’encephalartos altensteinii se produit entre 30 et 40 ans et croît à un rythme d’environ un centimètre par an. Après cela, il lui faudrait entre sept et huit mois pour obtenir une forme conique. Pendant ces longs mois, les cônes peuvent atteindre 50 centimètres de diamètre et peser jusqu’à 30 kg.

Il existe certaines similitudes entre ces fleurs et les épingles, c’est pourquoi elles sont appelées fleurs à épingles. Le fait que la plante exposée à Cherbourg soit une femelle est un point de différenciation supplémentaire. Selon la mairie, elle produira des grains rouges “qui sont vraiment des ovules non fécondés”, qui seront récoltés.

Et malgré sa rareté, sa douce floraison se poursuit sans relâche. En raison du braconnage et de la dégradation de l’environnement en Europe, seules quelques exceptions peuvent être faites. Elle peut atteindre jusqu’à six mètres de hauteur dans son milieu naturel sous les tropiques d’Afrique australe. Une plage de température de 15 à 25 degrés Celsius lui permet de se ressourcer à Cherbourg. Les jardiniers de la ville en prennent un soin particulier, veillant à ce qu’il soit conservé dans un milieu humide tout en évitant l’utilisation d’eau pendant toute la durée de la saison de croissance.

Autant dire que ce palmier colossal (Corypha umbraculifera) sait faire patienter. En fait, il faut entre 60 et 70 ans pour que le talipot s’épanouisse en un plumeau massif. La période de floraison dure entre deux et trois mois. Lorsque les fleurs s’étalent, elles tombent aussi doucement que s’il s’agissait d’un léger saupoudrage de poudre. Les fruits, quant à eux, mettent environ un an à mûrir et sont aussi gros que des balles de golf !

Quelle est la menace la plus sérieuse pour l’encephalartos altensteinii ? Les cochenilles sont une sorte de plante que l’on trouve dans de nombreux endroits. Selon la mairie, bien qu’avant les jardiniers cherbourgeois les traitaient avec un savon noir, ils les traitent maintenant avec des “lâchers d’insectes prédateurs afin de les débarrasser”.

Plante qui fleurit tous les 30 ans
Plante qui fleurit tous les 30 ans

Au cas où vous aimeriez la découvrir par vous-même, il est possible de visiter cette plante unique gratuitement et à tout moment de la journée de 9h à 11h et de 14h à 16h tous les jours de la semaine, sauf les lundis et mardis, quand il est fermé. Cependant, gardez à l’esprit que l’encephalartos altensteinii est toxique et qu’il est déconseillé de le contacter. Il sera trop tard si vous attendez après avril : ne tardez pas !

En général, la floraison de l’encephalartos altensteinii se produit entre 30 et 40 ans et croît à un rythme d’environ un centimètre par an. Après cela, il lui faudrait entre sept et huit mois pour obtenir une forme conique. Pendant ces longs mois, les cônes peuvent atteindre 50 centimètres de diamètre et peser jusqu’à 30 kg.

Il existe certaines similitudes entre ces fleurs et les épingles, c’est pourquoi elles sont appelées fleurs à épingles. Le fait que la plante exposée à Cherbourg soit une femelle est un point de différenciation supplémentaire. Selon la mairie, elle produira des grains rouges “qui sont vraiment des ovules non fécondés”, qui seront récoltés.

Et malgré sa rareté, sa douce floraison se poursuit sans relâche. En raison du braconnage et de la dégradation de l’environnement en Europe, seules quelques exceptions peuvent être faites. Elle peut atteindre jusqu’à six mètres de hauteur dans son milieu naturel sous les tropiques d’Afrique australe. Une plage de température de 15 à 25 degrés Celsius lui permet de se ressourcer à Cherbourg. Les jardiniers de la ville en prennent un soin particulier, veillant à ce qu’il soit conservé dans un milieu humide tout en évitant l’utilisation d’eau pendant toute la durée de la saison de croissance.

L’encephalartos altensteinii, niché dans un coin

D’une des serres du parc Liais de Cherbourg-en-Emmanuel Cotentin, est facilement identifiable car il ressemble au premier abord à un palmier, mais il s’agit bien d’un cactus. Il est difficile de les séparer pour le moment. Parce que le plante est en pleine floraison et que l’événement ne se produit qu’une fois tous les 30 ans, il convient de s’habiller en tenue de soirée. Elle a été achetée par la ville il y a plus d’un siècle et on l’estimait entre 120 et 150 ans.

Marc Pignal travaille comme botaniste. Il est prévu de profiter de cette opportunité pour mener des recherches sur une plante rare dont l’espèce existe depuis plusieurs millions d’années. Selon lui, “c’est une plante qui a d’abord colonisé la Terre il y a 250 millions d’années et qui est maintenant un vestige rare de cette colonisation”. “Il existe encore 350 espèces de ce groupe particulier”, poursuit-il, “mais il est difficile d’imaginer à quelle vitesse il aurait pu coloniser toute la planète”. En conséquence, les dinosaures étaient connus de la plante.

Pendant les sept à huit premiers mois de l’année, les fleurs sont visibles. La fleur ressemble à une pomme de pin pincée d’un diamètre d’environ 50 centimètres. Frédéric Galdabon travaille dans ces égouts municipaux depuis 25 ans. Réussir à prendre soin de cette plante originaire du continent africain demande du dévouement.

Aujourd’hui, il est rempli de la satisfaction d’avoir accompli sa mission. « C’est une plante qui a survécu pendant des siècles grâce au dévouement des jardiniers de la ville. Toutes les générations précédentes de jardiniers sont décédées. C’est une source de plaisir au travail car faire vivre une plante pendant 100 ans n’est pas une mince affaire. tâche », affirme Frédéric, l’édile en charge de la gestion des eaux pluviales de la ville.

Quelle est la menace la plus sérieuse pour l’encephalartos altensteinii ? Les cochenilles sont une sorte de plante que l’on trouve dans de nombreux endroits. Selon la mairie, bien qu’avant les jardiniers cherbourgeois les traitaient avec un savon noir, ils les traitent maintenant avec des “lâchers d’insectes prédateurs afin de les débarrasser”.

Au cas où vous aimeriez la découvrir par vous-même, il est possible de visiter cette plante unique gratuitement et à tout moment de la journée de 9h à 11h et de 14h à 16h tous les jours de la semaine, sauf les lundis et mardis, quand il est fermé. Cependant, gardez à l’esprit que l’encephalartos altensteinii est toxique et qu’il est déconseillé de le contacter. Il sera trop tard si vous attendez après avril : ne tardez pas !

Les talipots, comme les bambous et les agaves, meurent après la floraison et disparaissent. Pour éviter qu’ils ne tombent sur les visiteurs et… qu’ils n’écrasent les bébés talipot qui se heurtent à eux dans le Jardin de Pamplemousse, ils sont coupés à une cinquantaine de centimètres de leur base.


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